CityZen: an eco-friendly city that uses its incredible trees to heal a post-apocalyptic Earth. Amal, an ultra-committed high school student, is ready to do her part as soon as she finishes her studies. But she'll have to contend with her sister, Sana, an activist who's determined to destroy this ethical city-a bastion of short supply chains and degrowth... Torn between her love for her sister and her environmental beliefs, Amal will have to choose a side!French singer Jain steps away from the world of music to write this unexpected, entertaining, and uncompromising reflection on environmentalism.

CityZen

Le monde, écrasé de pollution, s'est effondré au cours de la WWW : la World Weather War, conjonction de terribles phénomènes climatiques. Heureusement, CityZen, ville écoresponsable révolutionnaire, répare la Terre grâce à des arbres recyclant la pollution et la réinjectant dans le sol sous la forme d'hydrocarbures. Amal, une lycéenne modèle, se prépare à s'impliquer dans les actions militantes de CityZen sitôt ses études finies. Mais le jour où l'on découvre qu'elle héberge un oiseau de l'« extérieur » - donc pollué - et que sa sour a probablement rejoint la « DicNature », une bande d'activistes souhaitant détruire CityZen, la vie de la jeune fille bascule... Entre l'amour de sa sour et ses convictions écologistes, Amal va devoir choisir ! Vous connaissiez l'univers de la chanteuse Jain ? Découvrez l'univers de la scénariste, subtile observatrice des problématiques écologistes de notre temps. Artiste aux multiples facettes, la chanteuse Jain explore en compagnie de sa sour Léa l'univers de la BD, épaulée par Damien Perez. Toledano, avec Robledo, creuse le sillon esthétique et futuriste d'albums tels que Tebori.

Je travaille tranquillement avec mon ordinateur dans le bus touristique, puis j'ai attendu pour faire mes rythmes plus naturels quand je rentre à la maison.

Eh bien, le truc, c'est que j'ai toujours écouté la musique américaine bien plus que la musique française.

La musique est ouverte d'esprit et a toujours voyagé, chaque pays prend quelque chose d'une autre, et c'est ce qui fait la richesse de la musique.

Je suis français. Je suis né ici, je vis ici et la France est mon identité culturelle.

Ce que je veux dire aux gens, c'est que vous pouvez mélanger la culture un peu et ce n'est pas toujours l'appropriation.

En déménageant à Dubaï à l'âge de 9 ans puis au Congo, ils étaient deux pays entièrement opposés. Mais cela m'a amené à la musique et m'a appris des choses que je n'aurais jamais appris autrement. Et il s'agissait toujours du rythme de ces deux pays - c'est pourquoi je les aime.

Quand j'ai commencé à faire de la musique, je voulais en profiter et faire en sorte que les autres l'apprécient. Mais c'est juste de la musique. Je ne sauve pas le monde.

Quand j'avais neuf ans, je passais par un cours de batterie et je les ai vus jouer et j'ai été ému. C'est pourquoi j'ai commencé à faire de la musique.

Ma musique serait très, très différente si je ne voyais pas.

Je veux avoir des influences congolaises mais aussi des influences de Dubaï et d'Abu Dhabi et de la France. Pour tout mélanger.

J'ai grandi dans une famille où, quand nous avons écouté de la musique, tout le monde danserait, donc pour moi, c'est une chose très naturelle à faire.

J'ai réalisé que j'aimais vraiment être sur scène et que je voulais le poursuivre.

Ma mère est à moitié française, à moitié Malagouie, donc j'écoute de la musique africaine, comme la musique malienne et congolaise, depuis que je suis enfant.

Je pensais que c'était beau de pouvoir pardonner et donner de l'amour et de se battre uniquement avec des fleurs. J'ai donc créé l'idée d'un «Souldier», qui est comme un gars de l'armée mais se bat pour l'amour.

Ma musique consistait à voyager beaucoup et à se connecter avec d'autres personnes, et l'anglais est la voix de voyager.

Je suis quelqu'un qui est assez timide et sur scène, je suis assez ... extraverti.

J'ai commencé à écrire mes chansons à 15 ans et à vivre au Congo.

Quand j'étais petit, j'écoutais les Beatles, Bob Marley, Janis Joplin et tout ça. J'avais une grande culture musicale de l'âme, et pas tellement française.

Quand j'étais très jeune, j'ai adoré l'idée de taper sur des trucs, donc je faisais toujours beaucoup de bruit.

Je ne pourrais jamais imaginer dans ma vie que je serais du côté du Louvre.

Depuis que je suis enfant, je aspirais à en savoir plus sur les percussions parce que c'est ce que j'aimais.

Je suis allé en Inde, en Jordanie, en Afrique du Sud, en Namibie, au Sénégal, en Australie, à Madagascar, à Oman, aux États et à de nombreux pays en Europe, juste pour visiter ... Je voulais faire de la musique pour relier toutes ces influences , et faites une musique multiculturelle avec ces expériences.

Mon endroit préféré était au Congo. C'est là que j'ai commencé à écrire des chansons et à me construire en tant qu'adulte.

Parfois, vous rencontrez des gens qui essaient de vous expliquer votre travail, et comment écrire une chanson et comment le chanter, et ils expliquent que vous le faites dans le mauvais sens. Et oui, c'est toujours super frustrant.

Je viens d'une petite ville de la pointe sud de la France, pour pouvoir jouer à Coachella et rencontrer d'autres artistes du monde entier et me connecter avec des gens que j'aime de ma ville natale est quelque chose d'incroyable.

Je suis du sud-ouest, et dans le sud-ouest de la France, vous n'êtes pas censé aimer Paris.

J'écris toujours sur quelque chose qui m'émoure.

Ses oeuvres

Ses derniers livres