Voici la plus émouvante des confessions, le plus dérangeant des témoignages et la plus importante des réflexions sur l'homosexualité au sein de l'Eglise. Anglais converti au catholicisme, devenu prêtre par vocation, et bien avant d'être reconnu comme un théologien majeur, James Alison a décidé de ne plus être le complice du mensonge ecclésiastique. Maintenu, malgré tout, dans son sacerdoce par l'intervention personnelle du pape François, ce spécialiste de René Girard, et donc de la violence et du sacré, nous met au défi, à la première personne, de l'entendre sur la foi en tant que "gay". Passant de l'exégèse à l'anthropologie, de la réflexion biblique sur les fausses interprétations de l'amour au récit personnel sur les épreuves avec l'institution, ce livre crucial sur la richesse de la vie, sur l'acceptation de soi, sur le pardon, constitue aussi une méditation universelle sur le ressentiment et sur l'antidote qu'offre l'Evangile. Une démonstration éblouissante de la vitalité du christianisme au xxie siècle. ? Théologien catholique de réputation internationale, enseignant à Madrid, spécialiste de René Girard, James Alison s'est illustré par ses travaux novateurs sur les questions LGBTQI+.

La foi au-dela du ressentiment - Fragments catholiques et gays

Parler aujourd'hui du péché originel " dans une perspective à la fois d'une complète fidélité à la tradition et d'une complète fraîcheur, selon laquelle je pourrais vivre en chrétien catholique " du XXIe siècle, telle est la recherche de .James Alison dans ce livre.
Cet ouvrage novateur rend ici la doctrine du péché originel accessible en tant qu'elle constitue toute la manière d'envisager l'histoire de l'humanité... à la lumière de la Résurrection. Partant de la conception des rapports humains proposée par le modèle mimétique de René Girard, l'auteur suit à la trace, dans les Écritures, le progrès d'une compréhension toujours plus complète et nouvelle des phénomènes victimaires.
Alison examine ensuite cette anthropologie théologique à la lumière du salut, puis la met en perspective avec le magistère de l'Eglise et deux théologiens de premier plan, Augustin et Thomas d'Aquin. Il fait apparaître la cohérence de ces écrits avec une interprétation du péché originel recevable par la foi et la raison. Il montre ainsi, toujours à l'aune de la rédemption, que le péché originel ne peut être compris que du point de vue du pardon : il est ce qui nous est pardonné.

Le péché originel à la lumière de la résurrection ; "bienheureuse faute d'Adam..."

Connais-tu Jésus ? As-tu une relation personnelle avec le Christ ? Comment le fait qu'il soit ressuscité change-t-il ta vie ? Ces questions sont sans aucun doute au coeur de toute vie chrétienne. James Alison y répond avec sa clarté et sa pédagogie habituelles. En disciple de René Girard, il renouvelle en profondeur la compréhension du sacrifice du Christ, victime qui pardonne, et montre comment l'expérience pascale peut bouleverser notre existence. Afin de favoriser la méditation des groupes de prières, l'auteur propose à la fin de chaque chapitre une série de questions. James Alison est un prêtre catholique anglais, théologien et écrivain. Il s'est fait connaître par ses travaux sur les applications de la théorie mimétique à la théologie. Il est l'auteur de nombreux ouvrages traduits en différentes langues, dont 12 leçons sur le christianisme paru en 2015 chez Desclée de Brouwer.

Connaître Jésus

Connais-tu Jésus ? As-tu une relation personnelle avec le Christ ? Comment le fait qu'il soit ressuscité change-t-il ta vie ? Ces questions sont sans aucun doute au coeur de toute vie chrétienne. James Alison y répond avec sa clarté et sa pédagogie habituelles. En disciple de René Girard, il renouvelle en profondeur la compréhension du sacrifice du Christ, victime qui pardonne, et montre comment l'expérience pascale peut bouleverser notre existence.Afin de favoriser la méditation des groupes de prières, l'auteur propose à la fin de chaque chapitre une série de questions.
James Alison est un prêtre catholique anglais, théologien et écrivain. Il s'est fait connaître par ses travaux sur les applications de la théorie mimétique à la théologie. Il est l'auteur de nombreux ouvrages traduits en différentes langues, dont 12 leçons sur le christianisme paru en 2015 chez Desclée de Brouwer.

Celui qui est vivant vient vers nous avec enthousiasme. Il nous saisit par surprise pour nous délivrer de chaînes dont nous ne sentions même pas qu'elles nous entravaient, et nous amène ainsi à la vie. Telle est la vision renouvelée du christianisme que propose avec audace James Alison à travers ces 12 leçons. En s'appuyant de manière brillamment créative sur l'anthropologie de René Girard, l'auteur propose une lecture innovante et roborative, résolument et sereinement orthodoxe, de l'Ancien et du Nouveau Testaments, au terme de laquelle des textes mille fois ressassés et commentés s'éclairent d'un jour nouveau. Loin de s'adresser aux seuls chrétiens convaincus, sa démarche engage dans une étonnante épreuve de vérité, un voyage initiatique qui mène ses lecteurs au plus près du coeur obscur et lumineux de la condition humaine. Un voyage dont le but est de se "laisser découvrir" par le regard aimant de la victime innocente. James Alison, né à Londres en 1959, est prêtre catholique, théologien et écrivain. Il est reconnu pour ses travaux sur les applications de la théorie mimétique de René Girard en théologie. Il a étudié chez les dominicains à Oxford et à la faculté de théologie jésuite de Belo Horizonte, au Brésil. Il est l'auteur de nombreux ouvrages en anglais, dont plusieurs ont déjà été traduits en différentes langues.

12 leçons sur le christianisme

J'essaie de faire valoir que l'Église peut en effet, à l'intérieur de ses propres ressources, sortir d'un faux, et souvent d'une caractérisation et d'un ensemble d'attitudes envers les homosexuels et lesbiennes.

Je pense que j'ai des opinions assez traditionnelles sur le péché original, la grâce et la nature réelle mais difficile de nous, les humains, pouvons apprendre quelque chose de vrai sur le fait d'être humain que nous ne savions pas auparavant. Et pourtant, les conséquences de cette vision traditionnelle sont vraiment assez radicales.

Je ne suis pas sûr d'avoir été attiré par la vie académique en tant que telle. La théologie a été une question de survie pour moi. Si j'ai une carapace de présentabilité académique, c'est grâce aux merveilleux professeurs que j'avais.

Le silence de ceux qui ont des positions d'influence dans l'Église qui connaissent ou qui ont une forte suspicion, qu'être gay est une variante minoritaire non pathologique dans la condition humaine me rend fou, beaucoup plus fou que je ne suis motivé par tout pourvoyeur de la bouche bruyante de Haineful absurdité.

Une partie de ma motivation dans la recherche d'une cause d'être gay a été la nécessité de trouver "quelque chose qui a mal tourné que je peux bien dire", et c'était bon, spirituellement fructueux, de découvrir que la question "ce qui s'est passé dans l'endroit Je venais de?" n'est en fait pas utile.

Je ne suis pas vraiment un multitâche, et quand je suis en mode productif, les choses organisationnelles souffrent.

Ma propre croyance est que le fait d'être gay est une variante minoritaire non pathologique régulière dans la condition humaine, et qu'une analogie appropriée est la gaucherie, qui, comme cela se produit, était considérée comme une sorte de défaut dans une droite normativement Humanité remise.

Honnêtement, je ne suis pas sûr d'avoir essayé de parler en tant que théologien des "actes homosexuels", en soi. Mon désaccord avec l'enseignement actuel des congrégations romaines concerne ce que je considère comme leur prémisse fondamentalement erronée de la nature objectivement désordonnée de l'inclinaison.

Donnez aux gens un ennemi commun et vous leur donnerez une identité commune. Les priver d'un ennemi et vous les priverez de la béquille par laquelle ils savent qui ils sont.

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