Avec La Tragédie de Chabot (1639), George Chapman s'emparait d'un épisode du règne de François Ier qui lui permettait d'interroger à nouveau les rapports entre monarque et favori, dans un contexte où l'absolutisme se traduisait par des procès guidés par l'arbitraire de la raison d'Etat.

La tragédie de Chabot, amiral de France

James Shirley (Londres, septembre 1596 – Londres, octobre 1666) est un poète et dramaturge anglais, appartenant à la dernière période du théâtre élisabéthain.

Hark, comment la cloche qui passe! Il n'y a pas de musique à un gloussement; Tous les autres sons que nous entendons, plus flattés et nous trompons notre oreille. Cela nous a mis encore à l'esprit que notre chair doit être résignée et, un silence général fait, le monde est étouffé à une teinte.

À quel peu de place prenons-nous dans la mort, que, vivant, ne connaissez pas de limites!

Les knaves prospéreront lorsque la clarté honnête ne sait pas vivre.

Lorsque nos âmes quitteront cette habitation, la gloire d'une action équitable et vertueuse est avant tout les «Scutcheons sur notre tombeau, ou bannières en soie sur nous.

La mort vous appelle à la foule des hommes ordinaires.

Les gloires de notre sang et de notre état sont des ombres, pas des choses substantielles; Il n'y a pas d'armure contre le destin, la mort pose sa main glacée sur les rois. Le sceptre et la couronne doivent dégringoler et, dans la poussière, être égaux avec la mauvaise faux tordue et la bêche.

La mort pose sa main glacée sur les rois.

L'honneur est trop payé, lorsque lui qui a fait l'acte est un commentateur.

Seules les actions des justes, sentent sucrées et fleurissent dans leur poussière.

https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Shirley

Ses oeuvres