Su richiesta della sua analista, Andrea Bern si definisce: sono una donna, una designer, un'amica; sono tecnicamente ebrea, sono una figlia, una sorella, e vivo a New York. Ma quello che pensa davvero dentro di sé è: sono sola, sono un'ex artista, una bevitrice, un'urlatrice a letto, il capitano di una nave che affonda, e ci vuole un gran coraggio per vivere quando tutti intorno a te sembrano avere chiaro cosa significhi essere adulto, quando amici e parenti si sposano e mettono al mondo dei bambini e tu continui a lottare con l'esistenza, a voler vivere secondo le tue regole e sei pronta a qualsiasi espediente pur di trovare un po' di pace per il presente e un po' di riparo dal passato. A un certo momento però la vita ti costringe a riesaminare tutto e a decidere cosa conta davvero. Allora finalmente la compassione troverà la via per venire fuori e prevalere su tutto il resto."Un romanzo meraviglioso da leggere tutto d'un fiato"NEWSWEEK"Vi farà ridere e piangere allo stesso tempo"THE NEW YORK TIMES"Potente, con una grande capacità di osservazione"VOGUE"Un romanzo arguto e divertente che ti cattura fin dalla primapagina"THE WASHINGTON POSTJami Attenberg (1971) è autrice di cinque romanzi. Laureata alla John Hopkins University, collabora con riviste e giornali tra cui il New York Times e Nerve. Per la Giuntina ha giàpubblicato I Middlestein e Santa Mazie.

Da grande

Les tribulations d'une New-Yorkaise bien décidée à vivre selon ses propres règles.
Autour d'Andréa, célibataire légèrement alcoolique ayant renoncé à sa vocation artistique, tout le monde semble avoir une idée bien précise de ce que signifie " être adulte " : Indigo, sa meilleure amie, a choisi de se marier, son frère vient de devenir papa, et son ami Matthew consacre tout son temps à la peinture en espérant percer un jour.
 Pour Andréa, la vie d'adulte ressemble surtout à une lutte permanente. À l'ombre de l'Empire State Building, elle cherche sa voie. Comment tracer son chemin à New-York quand on aime les pas de côté ? Existe-t-il vraiment un âge de raison ?
 " Un régal. "
Elle (US)
 " Un roman intelligent, addictif, hilarant et pertinent ! "
The Washington Post " Bravo à Attenberg, qui, de manière hilarante et honnête, raconte l'histoire d'une femme qui veut ce qu'elle veut et non ce qu'elle devrait vouloir. "
Marie Claire (US)

L'âge de raison

Autour d'Andrea, célibataire légèrement alcoolique ayant renoncé à sa vocation artistique, tout le monde semble avoir une idée bien précise de ce que signifie "être adulte" : Indigo, sa meilleure amie, a choisi de se marier, son frère vient de devenir papa et son ami Matthew consacre tout son temps à la peinture en espérant percer un jour. Pour Andrea, la vie d'adulte ressemble surtout à une lutte permanente. A l'ombre de l'Empire State Building, elle cherche sa voie. Comment tracer son chemin à New York quand on aime les pas de côté ? Existe-t-il vraiment un âge de raison ?

L'âge de raison - Occasion

Personnage haut en couleur, Mazie Phillips tient la billetterie du Venice, cinéma new-yorkais du Bowery, quartier populaire du sud de Manhattan où l'on croise diseuses de bonne aventure, mafieux, ouvriers, etc. Le jazz vit son âge d'or, les idylles et la consommation d'alcool - malgré la prohibition - vont bon train. Avec l'arrivée de la Grande Dépression, les sans-abri affluent dans le quartier et la vie de Mazie bascule. Elle aide sans relâche les plus démunis et décide d'ouvrir les portes du Venice à ceux qui ont tout perdu. "Lecteur, lectrice, si vous commencez ce livre, sachez que vous allez tomber amoureux ! Mazie fait partie de ces personnages dont on a du mal à se séparer : généreuse, intrépide et terriblement émouvante !" Marie-Laure Turoche, Page des libraires.

Mazie, sainte patronne des fauchés et des assoiffés

Partez à la rencontre de Mazie Phillips, inoubliable héroïne à la gouaille mordante du New York des années folles.Personnage haut en couleur, Mazie Phillips tient la billetterie du Venice, cinéma new-yorkais du Bowery, quartier populaire du sud de Manhattan où l'on croise diseuse de bonne aventure, mafieux, ouvriers, etc. Le jazz vit son âge d'or, les idylles et la consommation d'alcool – malgré la Prohibition – vont bon train. Mazie aime la vie, et ne se fait jamais prier pour quitter sa " cage " et faire la fête, notamment avec son amant " le capitaine ".Avec l'arrivée de la Grande Dépression, les sans-abri affluent dans le quartier et la vie de Mazie bascule. Elle aide sans relâche les plus démunis et décide d'ouvrir les portes du Venice à ceux qui ont tout perdu. Surnommée " la reine du Bowery ", elle devient alors une personnalité incontournable de New York.Dans ce roman polyphonique, Jami Attenberg nous fait découvrir Mazie – dont on entend la gouaille à travers les lignes de son journal intime –, mais aussi Sœur Ti, son unique amie, sa sœur Jeanie, l'agent Mack Walters, porté sur la bibine et qui aime flirter avec elle... Le lecteur découvre, fasciné, une personnalité hors du commun et tout un monde bigarré et terriblement attachant.

Difficile non restare affascinati da Mazie Phillips, grande cuore, corpo esuberante, passione sfrenata per la vita, libera da ogni conformismo. Di giorno nel gabbiotto del Cinema Venice a vendere biglietti, a osservare la gente. Di notte per le strade in cerca di avventure, buone bevute e un modo per dimenticare le fatiche della vita. Tutti conoscevano Mazie Phillips, era la regina del quartiere, perché aveva sempre una parola, una sigaretta, un goccio di liquore o qualche centesimo per tutti i barboni, i poveri, i diseredati che pullulavano nelle strade di New York City negli anni della Grande Depressione e del proibizionismo. Mazie Phillips dal cuore misericordioso è parte della storia di New York; una storia, la sua, quasi dimenticata, che Jami Attenberg con empatia e una scintillante immaginazione ha saputo salvare dall'oblio. "Un libro magnifico e coraggioso sulla famiglia, l'altruismo, le donne e la libertà, e anche una lettera d'amore a New York e, non ultimo, un manifesto sociale per il XXI secolo". The Guardian

Santa Mazie

Bienvenue chez les Middlestein, une famille aussi irrésistible que dysfonctionnelle, minée par l'appétit hors norme de la matriarche. Un roman à dévorer d'une traite !

Bienvenue chez les Middlestein, une famille au bord de la crise de nerfs depuis que Edie, la mère, risque d'y passer si elle ne prend pas au sérieux ses problèmes d'obésité. Cerise sur le gâteau, le père la quitte pour découvrir à soixante ans les affres du speed dating. 
Une trahison impardonnable pour leur célibataire invétérée de fille, un rebondissement que voudrait bien oublier le fils en fumant son joint quotidien, si sa femme ne s'était pas mis en tête de sauver Edie à grand renfort de Pilates et de Weight Watchers, quand elle n'oblige pas leurs jumeaux à répéter leur chorégraphie hip-hop pour leur bar-mitsvah. 
Une question taraude toutefois les Middlestein : et s'ils étaient tous un peu responsables du sort d'Edie. 

Best-seller du New York Times, dans la lignée de Jonathan Franzen, un livre universel sur le mariage, la filiation et l'obsession de notre société pour la nourriture, porté par un humour aussi cinglant que désopilant et une humanité débordante.

La famille Middlestein

Bienvenue chez les Middlestein, une famille au bord de la crise de nerfs depuis qu'Edie, la mère, risque d'y passer si elle ne prend pas au sérieux ses problèmes d'obésité. Le pompon ? Le père la quitte pour découvrir à soixante ans les affres du speed dating. Une trahison impardonnable pour leur célibataire de fille, un rebondissement que voudrait bien oublier le fils en fumant son joint quotidien, si sa femme ne s'était pas mis en tête de sauver Edie à grand renfort de Pilates et de Weight Watchers. Une question taraude toutefois les Middlestein : et s'ils étaient tous un peu responsables du sort d'Edie ? Un roman désopilant et savoureux qui croque avec une verve acérée et une tendresse désarmante les obsessions d'une famille et d'une Amérique déboussolées

La Famille Middlestein

Et on s'embourbe tous dans les conneries, les bizarreries de la personnalité, les troubles de la personnalité (les nôtres et ceux des autres), la jalousie, la déception, les blocages, la lutte financière, nos égos, je le fais aussi, je le fais aussi, mais si vous ne vous en souvenez pas, tout est une question de travail et rien d'autre, alors je ne peux pas vous aider et vous ne pouvez pas vous aider et vous perdrez. Je vous promets. Tu vas perdre.

Nous sommes des êtres humains, pas des fourmis.

Mon dernier livre était spéculatif. Je ne sais tout simplement pas ce que je fais. Mais j'y arriverai. J'ai une liste de choses que j'aimerais écrire.

Je pense juste que la structure peut faire en sorte qu'un livre se sente beaucoup plus grand. C'est l'architecture. Vous pouvez utiliser des matériaux fragiles si vous le vouliez, même, mais il pourrait toujours se sentir grand.

Je le dis toujours aux gens lorsqu'ils recherchent un agent - ils devraient aimer votre travail. Vous avez le droit de travailler avec quelqu'un qui croit en vous. Pourquoi faire des affaires avec quelqu'un qui est ambivalent envers vous et votre art?

Est-ce que tout dans cette vie commence et se termine par Judy Blume? Peut-être.

Je invente des histoires sur des gens qui sont imaginaires ou une variation de moi-même.

Mon fil Twitter est probablement ma plus grande ressource de nouvelles. D'autres personnes parcourent le Web, donc je n'ai pas à le faire, et je les en remercie.

La chose intéressante à propos de la suralimentation ou d'être obèse est qu'il y en a cette manifestation physique.

Les romans pour jeunes adultes ne craignent pas la discussion des problèmes de poids, et «Blubber», l'histoire d'un surpondération, pas si sympathique de cinquième année intimidé par ses pairs, est une prise rafraîchissante.

Écoutez: je vais bien mignon. Je ne suis pas étonnant.

C'est bien d'essayer des trucs. J'ai écrit un livre que j'ai jeté, et je pense que je viens de l'écrire pour que je puisse essayer des trucs dedans et ne pas avoir peur

J'étais gros parce que mes parents étaient un peu gros eux-mêmes à ce moment-là de leur vie, et j'ai mangé ce qu'ils ont mangé.

J'aimerais pouvoir écrire pendant que je suis sur la route mais cela ne fonctionne jamais pour moi. J'ai besoin d'être assis immobile.

Je trouve que les nouvelles sont presque comme des nettoyants en palais ou des nettoyants cérébraux.

Mes parents sont toujours mariés. Ils ne pèsent pas 350 livres; Ils vont au gymnase tout le temps.

La meilleure chose à propos du Web est le son de toutes les voix individuelles qui montent.

Les écrivains ont un travail à faire. Les éditeurs le font aussi. Vous devez vous tenir debout et céder le terrain au cas par cas. Lorsqu'un éditeur me dit que quelque chose ne fonctionne pas et que j'y crois toujours, j'ai tendance à penser que cela ne fonctionne tout simplement pas assez dur.

Quand un objet devient-il un symbole? Tout ce que je sais, c'est que vous ne pouvez pas le forcer.

Je pense qu'il est presque impossible d'écrire quelque chose de fictif sans l'avoir à propos de vous d'une manière ou d'une autre.

Je me souviens avoir été banni des autres maisons en tant qu'enfant plus jeune pendant la saison des vacances d'hiver; J'étais le seul à ne pas croire au Père Noël, et je ruinais le Noël de tout le monde.

Une ellipse est un immense océan de possibilités.

Je suis une personne vraiment égoïste. Mais je ferais n'importe quoi pour mes amis.

Mon amour peut être facilement acheté avec un steak de Peter Luger.

Il y a quelque chose à dire pour un auteur qui respecte clairement un lecteur.

Pendant des années, j'ai conduit le cross-country, des allers-retours une douzaine de fois, parfois en tournée de livres, parfois juste pour se perdre et trouver.

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