Jason Blum est un producteur de cinéma américain, né le 20 février 1969 à Los Angeles.
Principalement spécialisé dans les films d'horreur à petits budgets, il est le fondateur et directeur de Blumhouse Productions, société de production basée à Los Angeles.

Si vous allez à l'école de commerce et que vous mettez un produit dans le monde et que cela fonctionne, la logique est de continuer à mettre le même produit. Et je pense que cela se heurte vraiment au processus créatif - et à la création de mouvements, en général. Et je pense que notre entreprise va vraiment contre cela.

Rotten Tomatoes est la meilleure chose qui soit arrivée au cinéma, car cela signifie que vous devez faire de bons films.

Lorsque vous travaillez dans un petit budget, vous pouvez faire des trucs étranges.

Mon jugement le plus simple pour un script est «Est-ce que je veux continuer à le lire?

Je pense que si vous alliez dans un studio et que vous aviez lancé le premier «insidieux», cela n'aurait jamais été fait parce que c'était tellement décalé.

Les gens se plaignent que les films hollywoodiens soient similaires. Cela va jusqu'au processus de lumière verte fondamentale, car le processus implique de devoir le comparer à trois autres films.

Je pense que, généralement, le processus créatif est blessé si vous pensez à la fin plutôt que de vous concentrer sur les décisions quotidiennes.

Quand il y a un grand film d'horreur, les gens sont comme «Horror's Back! Et quand il y a une série de pas si bons, «Horror's Dead». Je pense que c'est une question de qualité. Lorsqu'il y a un ou deux bons films d'horreur d'affilée, les gens se rémettent à nouveau.

J'essaie de travailler avec des gens que vous n'êtes pas habitués à voir dans des films effrayants. Je pense que cela fait un mélange plus intéressant, lorsque vous regardez le film.

Il est facile d'obtenir une version théâtrale qui se présente dans un théâtre pendant une semaine. Mais il n'y a pas de publicité, et personne ne voit le film. Il est difficile d'obtenir une vraie version théâtrale. La distribution de films indépendants est, pour moi, extraordinairement frustrant.

Sundance est une telle expérience franc et centrée sur l'industrie, et à SXSW, de nombreux films ont une distribution. Et l'accent est davantage mis sur le positionnement du film plutôt que de les vendre. Les gens sont plus détendus.

Ce que j'aime dans les films à petit budget, ce sont mes intérêts et les intérêts du réalisateur et les intérêts des acteurs sont alignés. Personne ne gagne de l'argent à moins que le film ne fonctionne, ce qui informe toutes les décisions créatives.

J'adore les films effrayants et je respecte les cinéastes de films effrayants, et il est tout aussi difficile de faire un grand film effrayant que de faire une grande comédie ou un drame ou autre chose.

Halloween était définitivement la plus grande fête où j'étais enfant. Nous avons commencé à faire nos costumes d'Halloween en août. Ma mère et moi. Ma mère était une mère célibataire; C'était juste elle et moi.

Ce que j'ai adoré dans les «chiens de guerre», c'est le fait que le ton - transformer cette histoire en un tour spectaculaire de deux heures est une chose tellement compliquée à faire.

Je pense qu'il y a une limite. Les gens veulent avoir peur, mais pas tous les week-ends, peut-être chaque troisième week-end.

Vous devez penser à des histoires amusantes, et si l'histoire amusante a eu une leçon, c'est une bonne chose. Si vous construisez un film autour d'une leçon, vous avez vraiment des ennuis.

Il est difficile de rendre un film drôle et effrayant en même temps.

Il est difficile de faire un film très cher et de ne pas penser aux résultats tout le temps.

Il est vraiment difficile de faire un film original de toutes sortes qui réussit sur le marché théâtral, sur le marché à large publication.

Personnellement, j'aime les livres, et je suis intéressé par l'idée que les histoires sont mieux racontées dans différents médias en fonction de l'histoire.

Les gens se regardent, mais j'aime la communauté de l'horreur. Les écrivains et les réalisateurs sont un groupe serré de personnes, et nous nous aidons et nous soutenons mutuellement.

Je ne crois pas aux fantômes ou à l'activité paranormale, mais une fois je pense que j'ai vu - j'aurais peut-être vu - non, je pense que j'ai vu un fantôme.

Je n'étais pas un fanboy d'horreur. Je n'ai pas grandi sur des films d'horreur. J'ai grandi en aimant tous les films. J'aime toujours tous les films, mais j'aime particulièrement les films effrayants - autant pour la culture qui les entoure que les films eux-mêmes.

L'une des choses est que vous devez espacer des films effrayants.

Vous savez comment sur les ensembles de films il y a des chaises spécifiques pour chaque personne? Je déteste ça. Nous n'avons pas de noms sur nos chaises. Nous avons cinq chaises. Tout le monde peut s'asseoir dessus. Je pense que l'idée de noms sur des chaises sur un ensemble est terrible. C'est tellement stupide. Nous nous en sommes donc débarrassés.

Tous nos films ne fonctionnent pas, mais nous prenons des photos, et nous sommes en mesure de le faire parce que nous nous en tenons vraiment à des budgets bas.

Il est de plus en plus difficile d'effrayer les gens, et les cinéastes en sont conscients, et ils améliorent les films, et je pense qu'ils se sentent plus originaux, ce que j'aime toujours.

Je pense que lorsque les gens ont peur, ils aiment voir des films où les peurs ne sont pas réelles.

Ryan Murphy et moi partageons notre amour de l'horreur et des comédies musicales. Je pense que ces choses vont en quelque sorte ensemble.

Ses oeuvres