On a rainy afternoon on Killiney Hill, a man out walking without his overcoat happens upon a woman gazing out into Dublin Bay, standing perilously close to the edge. From this chance encounter develops a remarkable friendship which will enable each to face afresh their very different, damaged pasts, and look towards the future.

Petite musique des adieux

Suite à un accident de voiture, Henry, la cinquantaine, se réveille à l'hôpital, amnésique... Vont peu à peu se succéder à son chevet celles et ceux qui ont traversé sa vie : est-il encore marié à Stephanie, cette femme énergique, à l'allure autoritaire ? Quelles étaient vraiment ses relations avec Ciara, sa fille de seize ans ? Son fils Donough lui cacherait-il quelque chose ? Et qui est Sebastien, ce bel homme qui le veille jour et nuit ? Au fur et à mesure que son corps se répare, ses souvenirs reviennent et, avec eux, des sentiments d'urgence et de culpabilité. Il faudra un peu de temps, un drame et la magie d'un soir de Noël pour que les liens se renouent...

Un Noël en famille

Un simple roman d'amour entre un garçon, Joe, et une jeune professeur d'anglais, la tendresse de leurs rapports, leurs promenades et leur complicité... c'est le livre qu'aurait pu être Les Ombres sur la peau, s'il ne s'était déroulé dans cette Irlande déchirée par les haines séculaires. Au fil du récit, les menaces s'accumulent sur cette paisible idylle, menaces personnifiées par le retour de Brendan, grand frère de Joe, proche des milieux terroristes et prêt à évincer son petit frère auprès de son amie. De cette histoire tendre, Jennifer Johnston fait peu à peu un thriller haletant où deux jeunesses aveugles se précipitent vers leur destin.

Les ombres sur la peau - Occasion

Une femme, dans une maison isolée, à la sortie d'un village, au bord de la mer, en Irlande.
Il y a comme une magie du roman irlandais, qui place les êtres au cœur de tensions extrêmes. Dans ce pays, chaque élément réclame sa part aux vivants : les exigences de la politique, du paysage, de l'amour, de tout ce qui, au terme du récit, prendra le nom de destin.
Chacun des personnages de ce livre paraît précieux, fragile. Son héroïne, Helen, femme mélancolique, son fils, Jack, proche des milieux politiques extrémistes, ce jeune Damian, faune étrange qui ne semble que passer. L'Anglais enfin, original défiguré par la vie et qui retape les gares désaffectées.
Avec Un homme sur la plage, Jennifer Johnston nous offre une violente romance.

Un Homme Sur La Plage - Occasion

Noel blanc (un)

SANCTUAIRE DES FOUS

L'illusionniste - Occasion

Une ville d'Irlande livrée à la guerre civile. Un adolescent amoureux d'une femme. La vie quotidienne des habitants de Londonderry, qui prend soudain la dimension d'une tragédie... Attention chef-d'oeuvre. Jennifer Johnston n'a pas encore, en France, la notoriété de Jean Rhys, mais c'est un écrivain de la même qualité, de la même sensibilité. En quelques phrases, l'une et l'autre savent donner à leurs personnages la densité de la vie et créer un climat d'une vérité exceptionnelle. Nous n'oublierons pas le jeune Joe Logan qui, à treize ans, s'attache Kathleen, une institutrice, sans comprendre qu'il joue le jeu de l'amour. Ce jeu deviendra d'autant plus dangereux que, la jalousie
intervenant, Joe Logan déclenchera un drame entre les partisans de l'I.R.A. et ceux de l'armée anglaise. La richesse du dialogue, la crédibilité des personnages, la justesse de ton, ront de ce court roman un très grand livre.

Les ombres sur la peau

J'avais une bague émeraude que ma mère m'a donné quatre ou cinq ans avant sa mort. Elle le portait toujours, je l'ai toujours porté, et je l'ai donné à ma fille, et elle le porte toujours. Cette bague appartenait à l'origine à mon arrière-arrière-grand-père. Il a bien plus de 150 ans.

Regardez autour des pays d'Europe, et vous constaterez que pratiquement tous ont des passés qui sont aussi tragiques que celui de l'Irlande, mais les gens semblent capables de trouver un moyen créatif pour aller dans le futur.

Écrire sur le transport du passé sur le dos est une manifestation de mon irlandais, car nous continuons et nous allons encore et nous le ferons pour deux ou trois générations supplémentaires.

J'ai des photos partout dans les pièces dans lesquelles je m'assois. J'ai une photo très folle d'un chien debout sur une chose noire sur un morceau de corde. Il a été dessiné et peint par un poète roumain qui était en résidence surveillée, et c'est formidable.

Je ne croyais pas en un ange gardien quand j'étais jeune. J'ai été élevé dans la foi protestante, et la seule chose que vous avez eue sur vos amis catholiques, c'est que vous n'aviez pas ces horribles saints vous chivvant.

Mon père était un peu effrayant - un homme énorme, six pieds quatre - et il ressemblait à Dieu. Il a toujours été un visiteur, en ce qui me concerne, parce que mes parents se sont séparés à neuf ans. Nous ne sommes devenus amis que quand il était vieux et avons commencé à rétrécir. Pendant la guerre, il était correspondant de la BBC War et a fait des émissions extraordinaires.

Je ne veux pas du genre de funérailles que tout le monde a, mais il y a un hymne, un bon hymne protestant, et il est chanté à toutes les funérailles protestantes, et je pense que je devrais la faire chanter au mien. On l'appelle «le jour où vous nous a donné le Seigneur est terminé».

Je pense que j'ai un très bon sens de l'humour; Les autres ne le font pas, mais je le fais. Je ris aussi de mes propres blagues.

Ses oeuvres

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