Grace est une petite fille reveuse qui percoit le monde comme plein d'etranges merveilles. Sa mere Anna, ornithologue, y contribue en transformant a ses yeux leur ville du Vermont en un lieu de mysteres empli de langages secrets. L'esprit indompte d'Anna s'oppose a celui de son mari, Robert, un professeur de chimie avide de rationalite. Alors qu'Anna sombre dans la folie, en nourrissant sa fille de fables et d'histoires oniriques, Robert se refugie derriere les theoremes qui fondent son existence, jusqu'a fuir femme et enfant. Quand sa famille se dechire, Grace comprend qu'elle va se retrouver seule aux cotes de sa mere qui derive. Commence alors un voyage bouleversant jusqu'au coeur meme de sa propre imagination sans limite.Avec une plume aussi delicate qu' epoustouflante, Jenny Offill nous offre un bouleversant portrait de l'innocence propre a l' enfance et une vision excentrique de la folie.

Le livre des songes

Grace est une petite fille rêveuse qui perçoit le monde comme plein d’étranges merveilles. Sa mère Anna, ornithologue, y contribue en transformant à ses yeux leur ville du Vermont en un lieu de mystères empli de langages secrets. L’esprit indompté d’Anna s’oppose à celui de son mari, Robert, un professeur de chimie avide de rationalité. Alors qu’Anna sombre dans la folie, en nourrissant sa fille de fables et d’histoires oniriques, Robert se réfugie derrière les théorèmes qui fondent son existence, jusqu’à fuir femme et enfant. Quand sa famille se déchire, Grace comprend qu’elle va se retrouver seule aux côtés de sa mère qui dérive. Commence alors un voyage bouleversant jusqu’au coeur même de sa propre imagination sans limite.Avec une plume aussi délicate qu’ époustouflante, Jenny Offill nous offre un bouleversant portrait de l’innocence propre à l’ enfance et une vision excentrique de la folie.

Ils se sont aimes, ont fonde une famille, mais les fissures apparaissent. Elle a oublie ses reves, est ecrasee par les aleas de son quotidien - un logement insalubre, un bebe qui souffre de coliques, l'infidelite.Alors elle adresse a son mari des lettres au dos desquelles elle indique, en guise d'expediteur: Bureau des speculations . Avec des mots d'ou sourdent la rage, l'ironie et le desir, elle dissemine des souvenirs parcellaires, des maximes litteraires, des bribes de chansons et de conversations. Pour apaiser son mal-etre et eviter d'etre engloutie par ses angoisses, elle s'en remet a la sagesse des grands penseurs. Afin de se sauver elle-meme et, peut-etre, de sauver son couple du naufrage annonce.

Bureau des spéculations

Bureau des spéculations est la radiographie d’une histoire d’amour. Une femme adresse à son mari des lettres au dos desquelles elle indique, en guise d’expéditeur : « Bureau des spéculations ». Ils se sont aimés, ont fondé une famille, mais les fissures apparaissent. Elle a oublié ses rêves, est écrasée par les aléas de son quotidien – un logement insalubre, un bébé qui souffre de coliques, l’infidélité.Alors elle s’en remet à la sagesse des grands penseurs. Pour apaiser son mal-être et éviter d’être engloutie par ses angoisses. Pour se sauver elle-même et, peut-être, sauver son couple du naufrage annoncé.Chef-d’oeuvre de concision, ce roman se dévore d’une seule traite. Dans une langue d’où sourdent la rage, l’ironie et le désir, Jenny Offill dissémine des souvenirs parcellaires, des maximes littéraires, des bribes de chansons et de conversations. Au lecteur de suivre le flux de conscience : la forme éclatée fait écho à l’état émotionnel de l’héroïne. Un véritable tour de force.

« Bureau des spéculations est souvent extrêmement drôle et souvent triste ; carrément direct, malicieusement ironique, voire capricieux. Sa profondeur et son intensité ont vite fait de prendre le lecteur dans ses filets. » The New Yorker Bureau des spéculations est la radiographie d'une histoire d'amour. Une femme adresse à son mari des lettres au dos desquelles elle indique, en guise d'expéditeur : « Bureau des spéculations ». Ils se sont aimés, ont fondé une famille, mais les fissures apparaissent. Elle a oublié ses rêves, est écrasée par les aléas de son quotidien - un logement insalubre, un bébé qui souffre de coliques, l'infidélité. Alors elle s'en remet à la sagesse des grands penseurs. Pour apaiser son mal-être et éviter d'être engloutie par ses angoisses. Pour se sauver elle-même et, peut-être, sauver son couple du naufrage annoncé. Chef-d'oeuvre de concision, ce roman se dévore d'une seule traite. Dans une langue d'où sourdent la rage, l'ironie et le désir, Jenny Offill dissémine des souvenirs parcellaires, des maximes littéraires, des bribes de chansons et de conversations. Au lecteur de suivre le flux de conscience : la forme éclatée fait écho à l'état émotionnel de l'héroïne. Un véritable tour de force.« Un roman miraculeux, qui vous transperce et vous illumine à la fois. » The Guardian

Bureau des spéculations est la radiographie d’une histoire d’amour. Une femme adresse à son mari des lettres au dos desquelles elle indique, en guise d’expéditeur : « Bureau des spéculations ». Ils se sont aimés, ont fondé une famille, mais les fissures apparaissent. Elle a oublié ses rêves, est écrasée par les aléas de son quotidien – un logement insalubre, un bébé qui souffre de coliques, l’infidélité.Alors elle s’en remet à la sagesse des grands penseurs. Pour apaiser son mal-être et éviter d’être engloutie par ses angoisses. Pour se sauver elle-même et, peut-être, sauver son couple du naufrage annoncé.

Elle a également renoncé au droit de s'autodétruire il y a des années. Les petits caractères sur le certificat de naissance, comme l'appellent ses amis.

Mon plan était de ne jamais se marier. J'allais être un monstre d'art à la place.

Oh, je collectionne des faits et des citations quand je ne peux pas écrire, et je ne peux pas écrire la plupart du temps. Je fais parfois un peu de chance où je parcoure les livres de référence obsolètes pour voir si quelque chose me semble beau ou important. Bibliothèque Roulette, je l'appelle.

Mon plan était de ne jamais se marier. J'allais être un monstre d'art à la place. Les femmes ne deviennent presque jamais des monstres d'art parce que les monstres d'art ne se préoccupent que de l'art, jamais des choses banales. Nabokov n'a même pas replié son propre parapluie. Vera lui a léché des timbres.

La raison d'avoir une maison est de garder certaines personnes et tout le monde.

Certaines femmes rendent les choses si faciles, la façon dont elles jettent l'ambition comme un manteau cher qui ne s'adapte plus.

Je pense qu'une partie de ce que j'aime d'être un écrivain de fiction est que je peux habiter quelque chose qui dépasse les limites de ma propre personnalité.

Le seul amour qui ressemble à l'amour est le genre condamné. (Fait amusant.)

Mais maintenant, il semble que la vérité sur l'âge est qu'il y a de moins en moins de choses à se moquer jusqu'à ce que vous ne soyez rien à savoir si vous ne serez jamais.

L'une des choses étranges d'être un écrivain est que vous n'atteignez jamais un point de certitude, un point de maîtrise où vous pouvez dire, non. Maintenant, je comprends comment cela se fait.

Quelques nuits plus tard, j'espère secrètement être un génie. Sinon, pourquoi aucun somnifère ne pourrait-il faire tomber mon cerveau ? Mais le matin, ma fille me demande ce qu'est un nuage et je suis incapable de répondre.

Une expérience de pensée gracieuseté des stoïciens. Si vous êtes fatigué de tout ce que vous possédez, imaginez que vous avez perdu toutes ces choses.

J'avais écrit un roman qui était plus un roman linéaire classique, et j'y ai travaillé et je l'ai travaillé pendant des années, et il semblait toujours que cela ne prendrait pas le feu. À un certain moment, je viens de tout annuler, et j'en ai peut-être gardé 15%, et j'ai écrit ces pièces sur des cartes de notes.

J'aime écrire de minuit à l'aube avec de superbes magasins de bonbons et de Red Bull déposés ... Je ne sais pas pourquoi j'ai les habitudes de travail d'un codeur de 20 ans, mais peu importe combien de fois je me suis installé Un horaire plus raisonnable, j'y retourne toujours.

Ce que j'essaie de capturer en tant qu'écrivain, c'est le sentiment d'être vivant, d'être éveillé.

Les bouddhistes disent qu'il y a 121 états de conscience. Parmi ceux-ci, seuls trois impliquent la misère ou la souffrance. La plupart d'entre nous passent notre temps à faire des allers-retours entre ces trois.

Toujours le danger pour moi dans la vie et dans l'art est de ne pas être courageux. Je ne suis pas une personne naturellement courageuse. Je dois me forcer à ne pas me terrer dans ma maison et lire ma vie.

Et cette phrase - "dormir comme un bébé". Une blonde l'a dit allègrement dans le métro l'autre jour. Je voulais m'allonger à côté d'elle et crier pendant cinq heures dans son oreille.

Vous pensez que vous voulez le ciel bleu, la route ouverte, mais vraiment vous voulez le tunnel, vous voulez savoir comment se termine l'histoire.

J'avais l'impression de pouvoir écrire sur des moments calmes et autonomes et aussi sur les moments où le monde se précipite à nouveau.

Lorsque Dieu est père, il serait ailleurs. Quand Dieu est mère, elle serait partout.

Pendant des années, j'ai gardé une note post-it au-dessus de mon bureau. Travaillez pas l'amour! était ce qu'il a dit. Cela semblait une sorte de bonheur plus solide.

J'ai une séquence légèrement contre-contre-écrivaine, et l'une des choses qui m'intéressaient était de savoir comment puis-je faire une vie, et comment je pouvais traverser ce qui est en quelque sorte banalisé comme un roman domestique avec un roman d'idées, un philosophique roman.

Je pense que lorsque nous regardons les choses quand nous sommes en plein centre des choses, au lieu d'être un peu non amarrés de ce qui se passe autour de nous, nous voyons les choses à travers une sorte d'objectif terne de convention, et il y a quelque chose À propos des expériences émotionnelles extrêmes qui nous donnent une clarté accrue, je pense, de pensée et de sentiment.

Je peux être plus audacieux sur la page, en tant que personnage. Je peux grincer mes dents, je peux crier et crier, d'une manière que je suis peut-être trop timide pour faire dans la vraie vie.

Ces morceaux de poésie qui lui tiennent comme des bavures.

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