Un essai sociologique et anthropologique pour mieux comprendre la "British touch"Comment les connaître, comment les comprendre, pourquoi les aimer ?Tout, peut-on croire, a été écrit sur les Anglais, depuis André Maurois en passant par les Carnets du major Thompson de Pierre Daninos. Tout, sauf ce portrait intime, écrit de l'intérieur par Jeremy Paxman, le journaliste britannique le plus célèbre du Royaume-Uni. Décalé, subtil et incisif, Jeremy Paxman a accompli un travail minutieux et plein d'esprit pour décrypter la mystérieuse « British touch » et séparer le mythe de la réalité. L'Empire, les Français, le cinéma, la littérature, le foot, la femme anglaise, l'heure du thé, la politique, l'alcool, la religion. Loin des clichés éculés, tout est passé au crible, des sujets les plus sérieux aux histoires les plus cocasses.« Qu'y a-t-il derrière leur passion pour les jeux de hasard ? À partir de quoi ont-ils développé leur très particulière approche de la sexualité et de l'alimentation ? Où ont-ils puisé leur remarquable aptitude à l'hypocrisie ? »Souvent excentriques, les Anglais restent pourtant les maîtres du savoir-vivre. Que pensent-ils d'eux-mêmes ? Le célèbre journaliste signe ici un récit sans pitié, pour le plus grand plaisir du lecteur. Apparemment, les Anglais s'y sont pleinement retrouvés, qui ont fait du portrait-miroir de Jeremy Paxman un best-seller. Leurs voisins Français gagneront beaucoup à lire cet ouvrage de référence. La culture anglaise n'aura bientôt plus de secret pour vous  !À PROPOS DE L'AUTEURNé dans le Yorkshire en 1950, Jeremy Paxman vit à Londres. Diplômé de Cambridge, il a débuté sa brillante carrière journalistique comme correspondant à l'étranger de Panorama et de Tonight, avant de rejoindre la BBC en 1988. Auteur de plusieurs livres à succès, il est respecté par ses pairs et redouté par ses invités. Il présente le Newsnight, le grand rendez-vous d'information de la BBC 2. EXTRAITDemandez à quiconque, quelle que soit sa nationalité, ce qu'il aimerait être. Dans 99 % des cas, la réponse sera : « Anglais ». Il fut un temps où les Anglais savaient ce qu'ils étaient. La liste des définitions était toute prête : ils étaient polis, flegmatiques, réservés, et ils avaient des bouillottes en guise de vie sexuelle, au point que le monde occidental pouvait se demander comment ils se reproduisaient ; ils étaient actifs plutôt que cérébraux, écrivains plutôt que peintres, jardiniers plutôt que gastronomes, ils tenaient à leurs distinctions de classe, à leurs préjugés et à leur incapacité à manifester leurs sentiments ; ils connaissaient leur devoir et l'accomplissaient. La force d'âme poussée jusqu'aux limites du raisonnable était un de leurs signes distinctifs. « Par Dieu, j'ai perdu ma jambe », remarquait lord Uxbridge tandis que les obus explosaient de toutes parts autour de lui, à quoi le duc de Wellington répliqua : « Et comment, par Dieu ! » Un soldat blessé à mort dans une tranchée de la Somme était censé réagir à la hauteur du mythe et se recommander stoïquement de « ne pas ronchonner ». Leur honneur était leur bien le plus précieux, leurs engagements toujours fiables : la parole d'un gentleman était aussi fiable qu'un pacte scellé dans le sang.

Les Anglais - Portrait d'un peuple

The influence of the British Empire is everywhere, from the very existence of the United Kingdom to the ethnic composition of our cities. This title describes the selection process for colonial officers, the importance of sport, the sweating domestic life of the colonial officer's wife and the crazed end for General Gordon of Khartoum.

Empire: what ruling the world did to the british

In  The English  Jeremy Paxman sets out to find about the English. Not the British overall, not the Scots, not the Irish or Welsh, but the English. Why do they seem so unsure of who they are?  Jeremy Paxman is to many the embodiment of Englishness yet even he is sometimes forced to ask: who or what  exactly  are the English? And in setting about addressing this most vexing of questions, Paxman discovers answers to a few others. Like:   Why do the English actually enjoy feeling persecuted?  What is behind the English obsession with games?  How did they acquire their odd attitudes to sex and to food?  Where did they get their extraordinary capacity for hypocrisy?  Covering history, attitudes to foreigners, sport, stereotypyes, language and much, much more,  The English  brims over with stories and anecdotes that provide a fascinating portrait of a nation and its people.  'Intelligent, well-written, informative and funny...A book to chew on, dip into, quote from and exploit in arguments' Andrew Marr,  Observer    'Bursting with good things'  Daily Telegraph    Jeremy Paxman is a journalist, best known for his work presenting Newsnight and University Challenge. His books include  Empire ,  On Royalty ,  The English  and  The Political Animal . He lives in Oxfordshire.

The english

Comment les connaître, comment les comprendre, pourquoi les aimer ? Tout, peut-on croire, a été écrit sur les Anglais, depuis André Maurois en passant par les Carnets du major Thompson de Pierre Daninos. Tout, sauf ce portrait intime, écrit de l'intérieur par Jeremy Paxman, le journaliste britannique le plus célèbre du Royaume-Uni. Décalé, subtil et incisif, Jeremy Paxman a accompli un travail minutieux et plein d'esprit pour décrypter la mystérieuse " British touch " et séparer le mythe de la réalité. L'Empire, les Français, le cinéma, la littérature, le foot, la femme anglaise, l'heure du thé, la politique, l'alcool, la religion... Loin des clichés éculés, tout est passé au crible, des sujets les plus sérieux aux histoires les plus cocasses. Souvent excentriques, les Anglais restent pourtant les maîtres du savoir-vivre. Que pensent-ils d'eux-mêmes ? Le célèbre journaliste signe ici un récit sans pitié, pour le plus grand plaisir du lecteur. Apparemment, les Anglais s'y sont pleinement retrouvés, qui ont fait du portrait-miroir de Jeremy Paxman un best-seller. Leurs voisins Français gagneront beaucoup à lire cet ouvrage de référence.

The english: a portrait of a people

Je n'ai ni l'apprentissage ni l'expérience de savoir si les condamnés à faire ont raison sur les causes humaines du changement climatique. Mais je suis prêt à reconnaître que les gens qui en savent beaucoup plus que moi peut être juste quand ils affirment que c'est la conséquence de notre propre comportement. Je suppose que c'est pourquoi la couverture de la question de la BBC a abandonné la prétention d'impartialité il y a longtemps.

Le problème déterminant de la télévision contemporaine est la confiance: pouvez-vous croire ce que vous voyez à la télévision, la télévision traite-t-elle équitablement les gens, est-ce sain pour la société?

Pourquoi sommes-nous dans ce gâchis, maintenant confrontés à la perspective d'Armageddon économique? C'est parce que la caractéristique dominante a été la cupidité, et peu importe que les individus vivent au-delà de leurs moyens ou que les gouvernements vivent au-delà de leurs moyens ou que les personnes cherchent à devenir riches rapidement.

Partager des clichés de vacances sur les réseaux sociaux est un acte de vanité arrogante.

J'ai passé toute ma vie à dire que j'ai un visage comme un cheval. Vous êtes exactement ce que vous êtes, n'est-ce pas?

Les patrons de la télévision devraient arrêter d'insulter l'intelligence du public en supposant que nous sommes tous des idiots.

Je déteste le mot «ricaner», je ne peux pas aider l'apparence de mon visage.

Ce ne sont pas seulement les politiciens. Tout porte-parole d'un intérêt acquis est bien scolarisé sur la façon de dire ce qu'il souhaite dire, qui ne supporte aucune relation avec ce que vous leur avez demandé.

Le [Cycling] est le moyen le plus rapide de se déplacer dans le centre de Londres, plus rapide que le bus, le métro ou le taxi. Vous pouvez prévoir avec précision la durée de chaque trajet, quels que soient les embouteillages, les grèves du métro ou les congés sur la ligne. Il constitue un excellent exercice. Il ne pollue pas l'atmosphère. Il n'encombre pas les rues.

Je trouve étrange que les gens me prennent au sérieux.

Les enseignants appartenaient tous à cette génération qui étaient impérialistes, et tout le récit tout au long de mon adolescence était des pays quittant l'empire. Je trouve extraordinaire que ce but qui a conduit la façon dont nous avons vu le monde est maintenant considéré comme quelque chose qui n'a aucun effet sur nous.

Y a-t-il déjà eu un visiteur de Ludlow qui n'a pas souhaité y vivre?

Le lève-tôt peut obtenir le ver, mais c'est la deuxième souris qui obtient le fromage.

Il me semble que la façon de retirer le cynisme des gens est, lorsqu'on lui a posé une question directe, de donner une réponse directe.

Il serait impardonnable d'utiliser le rôle que j'ai, tel qu'il est, d'infliger ma vision incohérente et à moitié cuite du monde aux gens. Ce serait illégitime et inacceptable et je devrais être licencié.

J'ai voté contre Gerald Nabarro lors de mes premières élections générales, mais mon défi n'a fait aucune différence. Si vous aviez mis une rosette conservatrice sur un hamster moustachu, il aurait été élu.

Je me suis toujours senti pour être un étranger. Je me suis toujours senti gênant.

L'idée d'une taxe sur la propriété d'une télévision appartient aux années 1950. Pourquoi ne pas imposer des gens pour posséder une machine à laver pour financer la fabrication de Persil?

Je n'ai aucune idée de pourquoi ils me l'ont envoyé. Pour autant que je sache, je n'ai pas eu la réputation de récepteur de biens volés.

L'approche anglaise des idées n'est pas de les tuer, mais de les laisser mourir de négligence.

Ses enseignants appartenaient tous à cette génération qui étaient impérialistes, et tout le récit tout au long de mon adolescence était des pays quittant l'empire. Je trouve extraordinaire que ce but qui a conduit la façon dont nous avons vu le monde est maintenant considéré comme quelque chose qui n'a aucun effet sur nous.

Le remède contre le cynisme est simplement de s'engager honnêtement.

Regarder la télévision est l'activité de loisir la plus populaire en Grande-Bretagne. Je trouve cela très déprimant.

J'ai peur d'avoir tendance à penser aux choses et à ne pas prêter suffisamment d'attention à sa posture, à son déportation et à la distribution générale de visage.

La promesse du capitalisme occidental des taux de rémunération en constante augmentation s'est avéré être le chèque qui a rebondi

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