Ambientato durante la seconda guerra mondiale in un paese dell'Europa dell'Est, L'uccello dipinto è la storia di un bambino ebreo e della sua miracolosa ricerca della salvezza. Allo scoppio del conflitto la famiglia lo nasconde in un villaggio di campagna e lo affida alle cure di un'anziana bambinaia, sperando di risparmiargli le violenze dell'esercito invasore; ma dopo la morte della donna inizia per lui un solitario vagabondare nel tentativo di ricongiungersi ai genitori. Tra le atrocità dei soldati tedeschi e quelle dei contadini - che lo credono un ebreo o uno zingaro in possesso di poteri malefici - il bambino scoprirà sulla natura umana molto più di quanto la sua giovane età avrebbe dovuto consentirgli. Fin dalla sua uscita, nel 1965, L'uccello dipinto destò scalpore su entrambi i lati della Cortina di Ferro, divenendo uno dei libri più controversi nell'era della guerra fredda. Cinquant'anni dopo, caduto il velo delle ideologie, questo romanzo insieme autobiografico e universale continua a parlarci, con il coraggio e l'eloquenzadei grandi classici, del problema della libertà individuale e della violenza della società. Con una introduzione dell'autore.

L'uccello dipinto

Dans ce paysage désolé de l'Europe de l'Est ravagée par la tourmente de la guerre, un petit garçon de six ans est envoyé à la campagne par ses parents.Campagne hostile dans laquelle les plus extravagantes superstitions survivent. L'enfant a les cheveux noirs, là où tout le monde est blond.Tel l'oiseau bariolé, il tente en vain de convaincre ceux qui l'entourent qu'il fait partie des leurs. Peine perdue. Il reste l'autre, le "Bohémien", celui par qui le malheur arrive, condamné à être persécuté...

L'Oiseau bariolé

Des pas - Occasion

"... Je suis tombé sur le roman de Kosinski et celui-ci fut une plus grande révélation encore que le film... Ce livre n'a pas pris une ride. Publié en 1970, il fait l'effet d'un baiser empreint de tristesse au siècle à venir. La langue est d'une platitude flagrante, comme si Kosinski ne voulait aucune distance entre lui et Chance, ce jardinier simplet qui a vécu toute sa vie à l'écart du monde et se trouve soudain jeté à la rue. " Après quelques pas dans la rue, notre héros est renversé par une limousine. Une passagère en descend. Il se présente, Chance the gardener (Chance le jardinier), et la femme réinvente son nom, le mythifie en faisant de lui Chauncey Gardiner.... Elle emmène Chance chez elle afin de soigner sa jambe contusionnée. Ainsi commence l'étrange voyage surréel du roman.
Chance ne sait rien, n'a jamais rien vu. Toute son éducation est issue de la télévision....
" A travers Mr Chance, Kosinski nous provoque en montrant à quel point nous sommes précaires, combien nous avons besoin de mythologie pour survivre, une mythologie qui s'incarne momentanément en la personne de Chance. "
Jerome Charyn.

Mr Chance.

" D'abord, les oiseaux demeuraient stupéfaits, tondis que le phénix s'abattait parmi eux, tentant vainement de les convaincre qu'il était bien l'un des leurs. Mais eux, déconcertés par ses vives couleurs, l'examinaient avec méfiance, et bientôt l'un après l'outre, ils passaient à l'attaque... " Dans ce paysage désolé de l'Europe de l'Est ravagée par la tourmente de la guerre, un petit garçon de dix ans se retrouve placé à la campagne par ses parents. Campagne hostile, dans laquelle les plus extravagantes superstitions survivent. Et l'enfant a les cheveux noirs, là où tout le monde est blond. Tout comme l'oiseau bariolé, il tente en vain de convaincre les hommes et les femmes autour de lui qu'il fait partie des leurs. Peine perdue. II reste le " bohémien ", celui par qui le malheur arrive et que le sort a condamné à être persécuté --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.Biographie de l'auteurJerzy Kosinski est né en Pologne en 1933. En 1957, il se réfugie aux États-Unis. À sa parution en France, en 1966, L'oiseau bariolé fut l'événement littéraire de l'année. Jerzy Kosinski a mis fin à ses jours le 3 mai 1991 --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

L'oiseau bariolé

A novel which became a film starring Peter Sellers. It is the tale of a simple man accidentally thrown into a world of sex, money, power and national television, to become a media superstar and a household name. The author's other novels include "Steps", which won America's National Book Award.

BEING THERE

La Sève du diable

Cockpit

- La croissance a sa saison. Il y a le printemps et l'été, mais il y a aussi l'automne et l'hiver. Et puis le printemps et l'été à nouveau. Tant que les racines ne sont pas coupées, tout va bien et tout va bien.

Je suis curieux des adultes, pas des enfants.

En m'endormant, je me souviens de ce que mon père a dit : qu'on ne peut jamais être sûr de se réveiller. La façon dont ma santé est maintenant, cela devient de plus en plus réel.

Les personnes sans abri portent en eux une certaine philosophie de la vie qui les rend inquiets sur la propriété.

Prenez tout ce que vous pouvez des autres, et quand il ne reste plus rien, oubliez-les.

Je reviens sur l'histoire passée, les expériences stockées ou les produits de l'imagination. Je ne cherche pas plus loin que la soirée.

Sur mes photos, il est évident qu'il n'y avait pas de pose au moment où j'ai sorti l'obturateur.

Ce n'est pas le sexe en soi qui m'intéresse, mais son rôle particulier dans la conscience américaine et dans ma propre vie.

Je collecte beaucoup les relations humaines comme les autres collectent des beaux-arts.

Le voyage me donne l'occasion de traverser les secteurs des villes où l'on peut clairement voir le passage du temps.

La culture populaire dit. . . Faites ce que vous faites, votre vie est prédestinée, comme le plan de versement sur votre maison. Vous ne pouvez pas faire grand-chose à ce sujet. Faites vos paiements, vivez-le, tombez malade, mourez, ne faites aucun problème. C'est la charge maître de destin. Essayez d'obtenir votre cote de crédit élevé.

Je peux créer des pays tout comme je peux créer les actions de mes personnages. C'est pourquoi beaucoup de voyages me semblent une perte de temps.

J'ai toujours un sentiment de tremblement, mais une boussole, après tout.

Les banques ont introduit le plan de versement. La disparition de l'argent liquide et l'avènement de la carte de crédit ont changé la vie aux États-Unis.

Il est possible de rester avec un cocktail dans sa main et de parler avec tout le monde, ce qui signifie sans personne.

Je ne rassemble pas, je préfère les louer plutôt que de les posséder.

La langue [de Nabokov] est rendue visible [...] comme un voile ou un rideau transparent. On ne peut s'empêcher de voir le rideau en jetant un coup d'œil dans les pièces intimes qui se trouvent derrière.

Un trait qui différenciait New York des villes européennes était l'incroyable liberté et facilité avec laquelle la vie, y compris la vie sexuelle, pouvait être menée à bien des niveaux.

Le confort physique n'a rien à voir avec tout autre confort.

Il y a un endroit au-delà des mots où l'expérience se produit d'abord à laquelle je veux toujours revenir. Je soupçonne que chaque fois que j'articule mes pensées ou traduire mes impulsions en mots, je trahis les vraies pensées et les impulsions qui restent cachées.

La photographie a été la première langue étrangère de mon expression artistique.

Vous ne mourrez pas aux États-Unis, vous sous-abrenez.

Les gens disent: "Eh bien, vous êtes allé à la télévision, cela a élargi votre lectorat." Ce n'est pas du tout, pas du tout. Je pourrais aussi bien vous le dire, j'ai perdu un peu de lectorat, car le public profond se sentait en quelque sorte gêné par ma manière trop facile.

Et vraiment le but de l'art - pour moi, la fiction - c'est d'alerter, d'indiquer de s'arrêter, de dire : Assurez-vous qu'en vous précipitant vous ne manquerez pas le moment que vous auriez pu avoir, ou que vous pourriez encore avoir.

Je suis inspiré par la sexualité humaine. L'acte lui-même est mécanique et me intéresse peu.

J'écris pour une certaine sphère de lecteurs aux États-Unis qui regardent en moyenne sept heures et demie de télévision multicanal par jour.

Mapplethorpe a présenté le corps comme un objet sexuel, le séparant de l'humanité de la personne. Il n'a rien ajouté à la photographie comme support. Je tiens son travail en basse estime.

Ses oeuvres

Ses derniers livres