A New York Times bestseller. From CNN's veteran Chief White House Correspondent Jim Acosta, an explosive, first-hand account of the dangers he faces reporting on the current White House while fighting on the front lines in President Trump's war on truth, featuring new material exclusive to the paperback edition. In Mr. Trump's campaign against what he calls "Fake News, " CNN Chief White House Correspondent, Jim Acosta, is public enemy number one. From the moment Mr. Trump announced his candidacy in 2015, he has attacked the media, calling journalists "the enemy of the people."Acosta presents a damning examination of bureaucratic dysfunction, deception, and the unprecedented threat the rhetoric Mr. Trump is directing has on our democracy. When the leader of the free world incites hate and violence, Acosta doesn't back down, and he urges his fellow citizens to do the same. At Mr. Trump's most hated network, CNN, Acosta offers a never-before-reported account of what it's like to be the President's most hated correspondent. Acosta goes head-to-head with the White House, even after Trump supporters have threatened his life with words as well as physical violence. From the hazy denials and accusations meant to discredit the Mueller investigation, to the president's scurrilous tweets, Jim Acosta is in the eye of the storm while reporting live to millions of people across the world. After spending hundreds of hours with the revolving door of White House personnel, Acosta paints portraits of the personalities of Sarah Huckabee Sanders, Stephen Miller, Steve Bannon, Sean Spicer, Hope Hicks, Jared Kushner and more. Acosta is tenacious and unyielding in his public battle to preserve the First Amendment and #RealNews.

The Enemy of the People - A Dangerous Time to Tell the Truth in America

Le journaliste ennemi n°1 de Trump raconte la Maison-Blanche de l'intérieur. Correspondant en chef chevronné de CNN à la Maison-Blanche, Jim Acosta livre un témoignage explosif sur les menaces qui pèsent sur lui depuis qu'il s'est opposé au Président Trump. Depuis l'annonce de sa candidature, en 2015, Donald Trump mène une campagne contre ce qu'il appelle les " Fake News " , et n'hésite pas à s'en prendre directement aux médias et aux journalistes, qu'il qualifie d'" ennemis du peuple " . Pris personnellement pour cible par le Président, Jim Acosta est rapidement devenu l'ennemi public numéro un. Dans ce récit de première main, le journaliste présente un examen accablant du dysfonctionnement bureaucratique, du mensonge et de la menace sans précédent que la rhétorique du leader du monde libre fait peser sur la démocratie américaine. Des démentis fumeux aux accusations visant à discréditer l'enquête Mueller, en passant par les tweets calomnieux du Président, Jim Acosta informe en direct des millions de personnes à travers le monde des dérives de l'administration Trump. Menacé de mort et violenté par certains partisans du Président, Acosta n'est pourtant pas prêt d'abandonner son combat, et il engage ses concitoyens à suivre son exemple. Après avoir passé des centaines d'heures auprès des équipes tournantes de la Maison-Blanche, Acosta dresse dans ce livre les portraits de Sarah Huckabee Sanders, Stephen Miller, Steve Bannon, Sean Spicer, Hope Hicks, Jared Kushner et bien d'autres. La bataille publique d'un journaliste qui ne recule devant rien pour protéger le Premier Amendement de la Constitution américaine et la liberté d'information (#RealNews). Jim Acosta est le correspondant en chef de CNN à la Maison-Blanche, chargé de couvrir l'administration Trump. Auparavant, ses rapports concernaient l'administration Obama à la Maison-Blanche et l'actualité mondiale. Il couvre régulièrement des conférences de presse présidentielles, les visites de chefs d'Etats et les problématiques impactant la branche exécutive du gouvernement fédéral.

L'ennemi du peuple

Le journaliste ennemi n°1 de Trump raconte la Maison-Blanche de l'intérieur.   Correspondant en chef chevronné de CNN à la Maison-Blanche, Jim Acosta livre un témoignage explosif sur les menaces qui pèsent sur lui depuis qu'il s'est opposé au Président Trump.  Depuis l'annonce de sa candidature, en 2015, Donald Trump mène une campagne contre ce qu'il appelle les «  Fake News  », et n'hésite pas à s'en prendre directement aux médias et aux journalistes, qu'il qualifie d'«  ennemis du peuple  ». Pris personnellement pour cible par le Président, Jim Acosta est rapidement devenu l'ennemi public numéro un.  Dans ce récit de première main, le journaliste présente un examen accablant du dysfonctionnement bureaucratique, du mensonge et de la menace sans précédent que la rhétorique du leader du monde libre fait peser sur la démocratie américaine.  Des démentis fumeux aux accusations visant à discréditer l'enquête Mueller, en passant par les tweets calomnieux du Président, Jim Acosta informe en direct des millions de personnes à travers le monde des dérives de l'administration Trump. Menacé de mort et violenté par certains partisans du Président, Acosta n'est pourtant pas prêt d'abandonner son combat, et il engage ses concitoyens à suivre son exemple.  Après avoir passé des centaines d'heures auprès des équipes tournantes de la Maison-Blanche, Acosta dresse dans ce livre les portraits de Sarah Huckabee Sanders, Stephen Miller, Steve Bannon, Sean Spicer, Hope Hicks, Jared Kushner et bien d'autres.  La bataille publique d'un journaliste qui ne recule devant rien pour protéger le Premier Amendement de la Constitution américaine et la liberté d'information (#RealNews).  Jim Acosta est le correspondant en chef de CNN à la Maison-Blanche, chargé de couvrir l'administration Trump. Auparavant, ses rapports concernaient l'administration Obama à la Maison-Blanche et l'actualité mondiale. Il couvre régulièrement des conférences de presse présidentielles, les visites de chefs d'États et les problématiques impactant la branche exécutive du gouvernement fédéral.

Abilio James Acosta  est un journaliste américain qui est le correspondant en chef à la Maison-Blanche pour CNN. Auparavant, Acosta était le correspondant politique national de CNN.

Oui, Barack Obama a eu ses affrontements avec la presse. J'ai été témoin de ceux de première main couvrant le deuxième mandat de son administration. Mais nous n'avions pas Barack Obama sur presque chaque semaine en faisant référence à la presse comme l'ennemi du peuple et accusant les journalistes de trahison et appelant des histoires légitimes fausses nouvelles.

En tant que journalistes, nous n'apportons pas seulement les nouvelles de la journée. Nous devons également défendre la vérité. Et ce n'est pas parce que nous sommes pro-truth que nous sommes anti-Trump.

Je ne crois pas qu'il y ait deux côtés à une histoire quand c'est une question de bien contre mal. Cela ne fonctionne tout simplement pas de cette façon.

Trump est un expert en marque. Il est un génie marketing dans une certaine mesure.

Je pense que nous avons atteint le point où nous pouvons dire définitivement, que les nazis sont de mauvaises personnes.

Mon travail en tant que journaliste, mon travail de correspondant senior de la Maison Blanche pour CNN, est de signaler les nouvelles, mais aussi de mettre en évidence et de mettre un microscope sur des épisodes d'hypocrisie présidentielle. Et vous savez, si Donald Trump allait venir après nous sur la piste de la campagne, et en tant que présidente des États-Unis à travers ses tweets, je pense que nous sommes bien dans nos droits à nous défendre et à fournir ce genre de couverture critique au peuple américain.

Nous ne devrions pas demander au président des États-Unis de se référer aux segments de la société américaine comme l'ennemi du peuple.

Je pense que les reportages agressifs, parfois francs de la salle de briefing de la Maison Blanche sont attendus par le peuple américain.

Les membres de la presse ont été tellement sauvés par Trump et ses propagandistes dans les médias que les journalistes semblent presque étrangers ou anti-américains à ses partisans.

Je n'ai jamais assisté à un effort concerté d'une organisation de presse pour prendre position d'une manière ou d'une autre sur une question politique, pour endommager un parti particulier ou en aider un autre.

Eh bien, je pense que nous ne pouvons pas éviter de couvrir les nouvelles et quand le président dit quelque chose comme ça que vous êtes l'ennemi des gens, je pense que je suis bien dans mon droit de me lever et de dire que c'est bien dans ma voie en tant que Journaliste et en tant qu'Américain pour dire que ce n'est pas approprié.

Google mon nom et «Barack Obama». Il y a eu plusieurs jours, j'étais dur avec lui. Les gens ont des souvenirs à court terme. Ils pensent que nous ne sommes que durs sur Trump. Ce n'est tout simplement pas vrai.

Je ne crois pas que les journalistes sont censés être l'histoire. C'est comme ça que j'ai été formé.

Le président est censé défendre le premier amendement et défendre la presse libre - pas nous mettre à travers le broyeur de viande.

Lorsque je couvre une présidentielle majeure, lorsque je vote pour une présidentielle majeure, ou lorsque je couvre un grand candidat à la présidentielle sur la piste de la campagne, je fais une politique de ne pas voter sur le bulletin présidentiel lors de cette élection.

Nous traversons des périodes de troubles dans l'histoire de notre pays, et l'une des choses remarquables à propos des États-Unis est que nous semblons continuer à nous frayer un chemin à travers ces périodes.

Je reçois plus de menaces que je ne pouvais compter; C'est presque chaque semaine.

Je souhaite parfois que la presse ait été un peu plus solide les unes avec les autres.

La grande majorité des partisans de Trump sont des gens merveilleux et j'ai de très belles interactions avec eux.

Je veux que mes enfants grandissent dans un pays où, vous savez, nous pouvons encore crier des questions au président.

Je pense que l'Amérique change. Je pense que nous devenons un pays qui n'est plus aussi accueillant pour les immigrants. Vous avez un président Donald Trump la semaine dernière qui retweetait des vidéos anti-musulmanes. Cela cause beaucoup de mal à la communauté musulmane-américaine de ce pays qui sont des gens respectueux des lois, fidèles mais patriotiques dans ce pays. Et c'est triste qu'ils soient dénigrés de cette manière.

Nous avons vu des présidents des deux parties exprimer leurs frustrations avec la presse. C'est absolument normal.

Nous ne pouvons pas avoir des partisans de Trump qui ne font confiance que ce qui sort des médias conservateurs et vice versa.

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