Alfred Busi, dit Mister Al, est attaqué chez lui par une étrange créature. Les médias crient à l'invasion de bêtes féroces ; Alfred, lui, affirme que son assaillant est un petit garçon rendu fou par la faim. Mister Al, chanteur reconnu, devient la seule voix dissonante dans la ville frappée depuis quelques temps par de violentes agressions. Il appelle à la compassion, alors que les gens du coin se laissent dominer par leur peur et se calfeutrent, développant un discours haineux contre « les autres ».Il fallait une certaine audace pour s'emparer d'un sujet si brûlant - la pauvreté, le sort des migrants, de tous les laissés-pour-compte. La grande force de Jim Crace est de montrer l'humanité telle qu'elle est : un troublant mélange de noirceur et d'espoir.

La Mélodie

Dans le désert de Judée, quatre hommes et une femme tentent de survivre. Parmi ces pénitents, un mystérieux Galiléen répondant au nom de Jésus. Leur chemin va croiser celui de Miri, une Bédouine, et de son mari, le cruel Musa, qui semble aux portes de la mort. A partir d'un épisode biblique, les quarante jours de Jésus dans le désert, Jim Crace réalise un véritable tour de force, tissant un incroyable roman d'aventures, aussi palpitant qu'un thriller.

Quarantaine

« Deux panaches de fumée à une période de l'année trop douce pour les feux de cheminée nous surprennent à l'aube. Notre terre est cernée de flammes. » En quelques jours, le pouvoir change de mains dans le village. Le bien et le mal s'inversent, au point de se confondre. Walter Thirsk doit déchiffrer les règles pour tenter de sauver sa peau. La violence fait rage, poussant l'âme humaine dans ses retranchements, engendrant une lutte sans fin entre l'instinct de survie, la morale et la quête du progrès. L'époque est incertaine et le village sans nom, mais cette histoire est universelle. Un chef-d'oeuvre, coup de coeur de la presse et des libraires. Avec ce roman haletant au lyrisme puissant sur les ravages du progrès et la sauvagerie des hommes, Jim Crace s'impose comme l'un des grands écrivains de notre époque, dans la lignée de Cormac McCarthy ou J. M. Coetzee.

Moisson - Occasion

« Deux panaches de fumée à une période de l'année trop douce pour les feux de cheminée nous surprennent à l'aube. Notre terre est cernée de flammes. » En quelques jours, le pouvoir change de mains dans le village. Le bien et le mal s'inversent, au point de se confondre. Walter Thirsk doit déchiffrer les règles pour tenter de sauver sa peau. La violence fait rage, poussant l'âme humaine dans ses retranchements, engendrant une lutte sans fin entre l'instinct de survie, la morale et la quête du progrès. L'époque est incertaine et le village sans nom, mais cette histoire est universelle.

Avec ce roman haletant au lyrisme puissant, Jim Crace s'impose comme l'un des grands écrivains de notre époque, dans la lignée de Cormac McCarthy ou J. M. Coetzee.

Moisson

WINNER OF THE NATIONAL BOOK CRITICS CIRCLE AWARD. A couple lie naked in the dunes at Baritone Bay, at the spot where, almost thirty years before, they had first had sex as students. Nostalgia has sent Celice and Joseph back to their singing stretch of coast, but in the seeming calm of the afternoon they meet a brutal and unexpected fate - one which will still their bodies but not their love, and certainly not their story. Winner of the National Book Critics Circle Award A couple lie naked in the dunes at Baritone Bay, at the spot where, almost thirty years before, they had first had sex as students. Nostalgia has sent Celice and Joseph back to their singing stretch of coast, but in the seeming calm of the afternoon they meet a brutal and unexpected fate - one which will still their bodies but not their love, and certainly not their story.

Being Dead

'Hard and actual in observation, clearly and richly imagined, remarkably original' Guardian A novel in seven stories, Continent is an exploration of the cultures, communities and natural life of an entirely imaginary realm. Built on rich seams of myth and metaphor, this new, seventh continent is strange, atmospheric and yet not wholly a mirage, for its inhabitants are disarmingly familiar, known to us through their loves, their hopes and their struggles to make sense of life. On its first publication over twenty years ago, this spellbinding book marked the arrival of one of the most inventive minds at work in modern fiction. 'Fuses folklore and political parable, moral fable and myth, into something rather original and also very modern' The Times 'Makes us see our own world more clearly .

Continent

'A tender, erotic comedy set in a fictitious European city so intricately imagined that you itch to book a weekend break there' Independent Felix Dern is a celebrated actor, revered for his talent and his looks. Unbeknownst to those he seduces, he is exceptional in other ways, too. 'Every woman he dares to sleep with bears his child .

Victor, an eighty-year-old multimillionaire, surveys his empire from the remoteness of his cloud-capped penthouse. Expensively insulated from the outside world, he nonetheless finds that memories of his impoverished childhood will not be kept so easily at bay. Focusing on the one area of vitality and chaos that remains in the streets below him, he formulates a plan to leave a mark on the city – one as indelible and disruptive as the mark the city left on him.

Arcadia

James "Jim" Crace, né le 1er mars 1946 à St Albans dans le Hertfordshire, est un journaliste et écrivain britannique.

Même si mon frère et moi avons adoré la brouillage - nous avons adoré l'acte de grimper des arbres et de prendre des fruits - il y avait toujours de la peur que nous soyons pris. Nous craignons que nous soyons emprisonnés, envoyés en Australie.

J'adore la fausseté. Je ne veux pas que vous me disiez avec précision ce qui s'est passé hier. Je veux que tu mentis à ce sujet, que tu me diverties, pour me divertir.

J'ai aimé le journalisme et je pensais que c'était important, certainement plus important que la fiction. Je le ferais probablement encore si je n'avais pas été coulé.

J'ai eu beaucoup de chance avec des prix. Mais la chose à propos des prix, c'est que, lorsque vous parlez d'un auteur primé, vous pouvez en parler de celui qui est réputé mais ne vend aucun livre.

En tant qu'historien naturel, je ne crois pas à la conscience des rochers ou aux opinions des arcs-en-ciel ou aux convictions de limaces.

Je n'ai pas de circonscription, et je ne suis en aucun cas autobiographique. J'écris ces livres profondément moraux dans un pays qui préférerait l'ironie à tout ce qui avec un ton moral.

La vision occidentale du Christ est généralement d'un être en acier inoxydable aux cheveux équitables qui semble provenir d'Oslo.

Je ne vais plus écrire de romans. Je ne veux pas finir par être l'un de ces écrivains en colère et amers gémissant que seules trois personnes le lisent. Je ne veux pas ça.

Je sais que l'argent est important, mais, en fait, la validation de votre carrière que les prix donnent est ce que vous voulez vraiment. Mais l'argent est fabuleux aussi.

Tout le monde dit que je devrais écrire un livre d'histoire naturelle ou de paysage parce que si j'ai un domaine d'expertise amateur, c'est dans ces choses.

Les problèmes du monde ne seront pas engagés et résolus à Faversham, ils vont être réglés dans des villes comme Birmingham.

Je n'ai aucun sens d'un public lorsque j'écris. Je ne considère pas le public. Parce que tout ce qui m'intéresse, c'est le problème sur la page.

Même si la méthode de la «récolte» était un roman historique, ses intentions étaient celles d'un roman moderne. Je vous demande de penser aux terres saisies au Brésil par des barons de soja. C'est aussi un roman sur l'immigration.

Vous ne pouvez pas chanter le baryton lorsque vous êtes une soprano.

En tant que Midlander et un grand marcheur, j'avais toujours aimé les champs de crête et de sillon, la terre marquée comme elle l'était lorsqu'elle a été fermée. C'est le paysage qui vous donne une histoire de vies qui s'est terminée par l'arrivée des moutons.

L'humanité raconte des histoires à jamais et racontera des histoires pour toujours.

Je suis athée - un bon vieux athée de style nord-coréen.

Je pense que les défaillances politiques des États-Unis.

J'aurais dû être plus gentil quand j'étais plus jeune.

Une partie de moi pense que je laisse tomber les gens en ne faisant pas aussi intéressant que mes livres.

Je ne connais pas bien la théorie littéraire - je ne sais pas ce que c'est.

Je propose des récits détaillés mais surtout inventés sur la provenance de mes livres.

Je ne suis pas une personne du nouveau âge, mais le récit est ancien et sage et généreux.

Les écrivains qui veulent interférer avec les adaptations de leur travail sont fondamentalement antidémocratiques. Le livre est toujours une entité en soi.

Il y a une convention selon laquelle les livres sont des miroirs du monde réel, mais notre âge obsédé par des faits veut également que la fiction soit basée en fait et digne de confiance.

À l'intérieur, Penlee House est sans prétention. C'est un espace qui connaît ses limites et ses forces - et en tire le meilleur parti.

Seize ans en tant que freelance mettant en vedette le journaliste m'a appris que ni l'absence de «la muse» ni la présence de «le bloc» ne devraient être autorisées à entraver les progrès ordonnés d'un livre.

Si je parle des funérailles de mon père, comme je l'ai fait quand je faisais la promotion du dernier roman, «Être mort» «Je ne vais certainement pas dire mon chagrin.

Quand j'étais jeune, j'ai été élevé dans un milieu très politique dans un domaine du nord de Londres.

Presque tous ceux qui ont été à l'école primaire en Grande-Bretagne se sont fait mettre des serviettes sur la tête pour jouer les bergers dans la pièce de théâtre de la nativité.

Ses oeuvres

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