Jonathan Winters (Jonathan Harshman Winters III) est un acteur, monteur, scénariste et producteur américain né le 11 novembre 1925 à Dayton, Ohio (États-Unis) et mort le 11 avril 2013  à Montecito, Californie.

Maintenant, les monstres sont à la télévision, les monstres sont dans les films. Et ce n'est plus le diaporama, c'est tout le spectacle. Le cirque coloré et les clowns et les éléphants, à toutes fins utiles, ont disparu, et nous n'avons affronté que les monstres.

Je suis de la maison de Delbert pour l'inhabituel.

J'ai commencé comme un artiste, et ce que je fais, ce sont des peintures verbales. Je peins un tableau. J'espère que vous verrez les personnages et ce qu'ils font et ce qu'ils disent.

J'ai une mémoire photographique; Je ne l'ai pas encore développé.

Je n'ai jamais prétendu être une sorte d'homme super-religieux, mais je suis très forte que vous pouvez être drôle sans être sale.

Tout au long de ma vie, j'ai été satisfait d'avoir pu garder l'enfant en moi en vie et inspirer les autres.

La discipline est difficile pour un gars qui est rebelle.

J'ai toujours été fier d'être marin. Je n'hésiterai pas à défendre le corps.

Quelque chose dont je me souviendrai toujours - quand j'étais enfant, j'ai serré la main d'Orville Wright. Quarante ans plus tard, j'ai serré la main de Neil Armstrong. Le gars qui a inventé l'avion et le gars qui a marché sur la lune. Dans une vie, c'est un peu sauvage quand on y pense.

Dieu est dans ma tête, mais le diable est dans mon pantalon.

J'adore l'improvisation. Vous ne pouvez pas le blâmer sur les écrivains. Vous ne pouvez pas le blâmer sur la direction. Vous ne pouvez pas le blâmer sur le gars de la caméra ... c'est vous. Tu es sur. Vous devez le faire et vous coulez ou nagez avec ce que vous avez.

Je ne joue peut-être pas avec un deck complet mais je n'ai pas besoin d'un deck complet. J'ai quatre as.

Je sais que tu peux être drôle sans être sale.

J'ai fait pour la plupart ce que j'avais l'intention - j'ai fini par faire de la comédie, de l'écriture et de la peinture. J'ai eu une balle. Et en vieillissant, je deviens juste un enfant plus âgé.

La peur la plus terrible que quiconque ait ne pas avoir la guerre n'est pas une maladie, pas un cancer ou des problèmes cardiaques ou une intoxication alimentaire - c'est un homme ou une femme sans sens de l'humour.

Je ne fais rien de même tous les jours. La discipline est difficile pour un gars qui est rebelle.

Enfant, j'ai toujours voulu être plein de choses. J'étais du genre Walter Mitty. Je voulais être dans la Légion étrangère française, un détective, un médecin, un pilote d'essai avec une écharpe, un pêcheur qui a ramené un énorme marlin après un combat de 12 heures.

J'ai commencé à peindre bien avant de commencer à faire de la comédie. En fait, lorsque je suis sorti de la guerre en 1946, je me suis inscrit à l'école d'art à Dayton, Ohio. J'ai peint pendant trois ans, puis le spectacle a pris racine.

Je trouve la peinture d'un processus beaucoup plus lent que la comédie, où vous pouvez faire un mile par minute verbalement et espérer à Dieu que certaines personnes qui vous comprennent. Je ne peins pas tous les jours. Je ne suis pas si motivé.

Ma mère et mon père étaient des gens très étranges. Ils ont essayé d'être drôle, ce qui est toujours très triste pour moi.

Eh bien, la peur la plus terrible que quiconque devrait avoir n'est pas la guerre, ce n'est pas une maladie, pas un cancer, des problèmes cardiaques ou une intoxication alimentaire - c'est un homme ou une femme sans sens de l'humour.

Ma mère avait une émission de radio - une fille de type Barbara Walters et a eu beaucoup de succès pendant une vingtaine d'années sur une station de radio.

Je ne pouvais pas attendre le succès, alors je suis allé de l'avant sans ça.

Vous devez être un observateur. Et vous devez prendre le temps d'écouter les gens, de parler, de regarder ce qu'ils font.

Je trouve la peinture d'un processus beaucoup plus lent que la comédie, où vous pouvez faire un mile par minute verbalement et espérer à Dieu que certaines personnes qui vous comprennent.

Mes peintures et ma comédie ont beaucoup en commun. Ce sont tous deux des improvisations basées sur l'observation.

Je parlais à un homme d'affaires, et j'ai dit, ne pensez-vous pas que la plupart des hommes sont de petits garçons? Et il a dit, je ne suis pas un petit garçon! Je gagne soixante-quinze mille dollars par an. Et j'ai dit, eh bien, la façon dont je le regarde - vous avez juste des jouets plus gros.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Winters

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