Alberto Aguilera Valadez alias Juan Gabriel est un chanteur auteur-interprète et acteur de cinéma mexicain, né le 7 janvier 1950 à Parácuaro dans l'État de Michoacán de Ocampo au Mexique et mort le 28 août 2016 à Santa Monica en Californie.

L'art lui-même est une femme - elle est pleine de grâce, de cadence, de couleur, de rythme. C'est plein d'amour et de grâce.

Ce que je dis, c'est ce que je ressens, que quelqu'un l'aime ou non.

L'art est féminin ... regardez, si vous êtes beau et jeune et beau, eh bien, les gens vont toujours dire que vous êtes gay.

Les gens qui connaissent le Mexique me connaissent parce que je fais tellement partie du Mexique.

L'artiste sait chanter, pas comment compter.

Mes pensées, mes sentiments, mon esprit, ils sont tous en espagnol.

Je composte des chansons avec beaucoup de simplicité parce que mon école a été les rues, et les gens ont été mes livres.

Je suis une personne qui, quand je me suis mis à écrire, j'écris. C'est comme lorsque vous vous êtes mis à manger, que vous mangez ou lorsque vous vous endormez, vous dormez. Je ne fais pas de saut périls pour écrire quelque chose. Je le fais juste.

L'argent peut vous être retiré, par l'IRS ou par le pistolet. C'est pourquoi je mesure toujours les richesses en termes de sagesse. Personne ne peut jamais vous prendre ce que vous savez.

L'expérience, ou ce que nous appelons l'expérience, n'est pas l'inventaire de nos douleurs, mais plutôt la sympathie que nous apprenons à ressentir la douleur des autres.

Le Mexique est une culture très centrée sur maman. Vous trouverez des magasins ouverts le jour de la fête des pères, mais jamais le jour de la fête des mères. Pour nous, les mères sont très importantes.

Les amoureux reviennent. Les styles reviennent. Mais le temps? Il ne revient jamais.

Le Mexique est connu dans le monde entier grâce à Mariachi.

Vous ne demandez pas ce qui peut être vu.

Il y a des moments où je suis vraiment heureux et j'écris quelque chose de vraiment triste, et vice versa.

Il n'y a pas de manie plus désastreuse, pas plus de caprices dangereuses que la spéculation sur les routes non prises.

J'ai appris au cours de ma vie que si je suis en enfer, je fais ma propre gloire. J'ai aussi été dans la gloire, et peut-être que j'ai fait mon propre enfer, mais je ne prends certainement personne avec moi.

Quelqu'un qui a traversé les circonstances que j'ai besoin de prendre la décision d'être une bonne personne ou une mauvaise personne, et je décide de devenir meilleur à chaque occasion.

Quand j'étais très jeune, j'ai vendu les droits à mon travail ... jusqu'en 2000.

J'ai également été surpris par l'alacrité et le dévouement que nous consacrons à l'exercice dommageable de la mémorisation, qui après tout n'apporte rien de bon et ne sert qu'à entraver notre fonctionnement normal, comme ces sacs d'athlètes de sable se lient autour de leurs mollets pour l'entraînement.

Laissez les autres s'inquiéter de leur propre vie et laissez le reste d'entre nous vivre.

La chose la plus triste qui puisse arriver à une personne est de découvrir que ses souvenirs sont des mensonges.

J'ai tendance à faire confiance aux traducteurs, principalement parce que personne ne le fait pour l'argent.

Je pense que je suis un artiste. Je pense que je suis Juan Gabriel, qui a donné tant de choses avec mes chansons.

Quand j'avais 15 ans, tout ce que je savais, c'est que je devais être quelqu'un et que je pouvais être quelqu'un. J'ai donc exploité la seule chose que je savais, qui chantait et de l'écriture de chansons.

Ils disent que la renommée est importante et que le maintien de votre renommée est encore plus important. Mais pour moi, la chose la plus importante est de mériter le respect de vos fans.

Pour transcender et être vous-même ... Je n'ai aucune raison de vous dire, et d'autres, quelque chose qui ne vous intéresse pas.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Juan_Gabriel

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