Katelyn Ohashi, née le 12 avril 1997 à Seattle (Washington), est une gymnaste américaine.
Elle a été membre à quatre reprises de l'équipe nationale junior de gymnastique, championne nationale junior en 2011. Retirée du niveau international, elle fait depuis 2015 partie de l'équipe de l’UCLA dans le championnat universitaire américain. Elle a eu 10.0 en compétition contre l'université de l'Arizona.

Je suis qui je suis aujourd'hui à cause de beaucoup de choses que j'ai apprises en gymnastique.

La joie avait été arrachée à moi, mais au fond, j'ai adoré le sol de la compétition. Et je me suis dit: «La gymnastique est littéralement la seule chose que j'ai».

Je pense que la gymnastique peut être un sport vraiment brutal. Je ne pense pas que ce soit censé être un sport brutal.

En tant qu'athlète, vous apprenez à continuer à traverser la douleur jusqu'à ce que la douleur devienne insupportable. Même alors, on vous dit de continuer.

Il fut un temps où j'étais au sommet du monde, un espoir olympique.

J'ai été encouragé à utiliser ma voix et à explorer mes passions en dehors du sport. Et quand j'ai fait cela, j'ai finalement pu réaliser ma véritable estime de soi. J'étais plus que celle d'un gymnaste.

On m'a dit que j'avais l'air d'avoir avalé un éléphant ou un cochon, le plus approprié ce jour-là.

Toute ma carrière universitaire a été en quelque sorte moi qui entre dans ma joie.

Avant de me coucher, je me brosse les dents et m'endormit. Je ne porte généralement pas de maquillage, mais si je le fais, je vais l'essuyer. Ensuite, c'est un pyjama et tombe dans le lit, aucune autre routine; Je suis assez doué pour m'endormir tout de suite.

Je pense que la compétition est l'une de mes choses préférées.

J'ai toujours eu un amour indéniable pour la gymnastique.

J'ai déjà dit: «La gymnastique est abusive», mais maintenant je sais que ce n'est pas le sport qui est abusif - c'est la culture qui a été créée et acceptée et normalisée.

Je veux sortir quelques livres tout au long de ma vie.

J'étais imbattable - jusqu'à ce que je ne l'étais pas.

J'ai dit que la gymnastique peut être abusive et brutale. C'était mon expérience. Je me sentais piégé dans un monde où les personnalités de l'autorité dictaient mon avenir.

Être soi-même. Il est vraiment important de ne pas essayer d'être quelqu'un d'autre.

À seulement 16 ans, on m'a dit que mon dos ne serait plus jamais le même. Mon bien-être avait été négligé pour l'occasion de remporter une médaille d'or.

Il y a tellement de choses dont nous devons être reconnaissants. Il est si facile de se retrouver rattrapé par une chose qui, vous savez, n'est pas parfaite ou de ne pas aller comme vous le pensiez, mais nous devons toujours être reconnaissants pour ce que nous avons.

Au cours de ma première année de collège, il est devenu indéniablement clair que je ne voulais plus être génial. J'ai corrélé la grandeur avec la misère.

Je ne peux pas contrôler ce que les juges me donnent.

Vous n'aurez jamais le corps parfait, et vous vous comparerez et vous comparez à une autre personne ou à ce que quelqu'un d'autre aime - nous sommes les seules personnes qui ont le contrôle de notre corps. Nous sommes les seules personnes qui vivent à l'intérieur de notre corps 24/7.

Cela peut sembler choquant, mais je n'ai jamais rêvé d'aller aux Jeux olympiques.

Je pense que le simple fait de pouvoir découvrir la gymnastique universitaire comme je l'ai permis de m'exprimer vraiment et de m'amuser tellement dans le sport.

Je sais qu'il est important de rester humble.

En grandissant, j'ai souvent été soumis à beaucoup de pression. En tant qu'athlète, je fais face à la pression depuis longtemps.

Dans la vie, on nous dit de faire ou d'être tant de choses différentes et de s'attendre à de nombreuses attentes différentes; Je pense que c'est quelque chose avec lequel j'ai toujours eu du mal.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Katelyn_Ohashi

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