À Tottenham, nous bombardons simplement en tant qu'ailes, mais parfois sur la scène internationale, où il y a tellement de qualité, vous devez faire plus attention à la distance entre vous et le demi-centre du côté.

En sortant de l'arrière de la Coupe du monde, il est important de vous reposer.

Moi et Steve Eyre, l'entraîneur de Manchester City, restaient pendant des siècles après plus ou moins chaque session.

Je n'ai jamais rencontré Beckham, mais j'aimerais. Je suis un grand fan de lui. J'espère que nous pourrons croiser et discuter.

Je n'ai pas réfléchi à deux fois avant de venir dans un grand club.

En revenant à Tottenham, vous vous sentez confiant avec ces joueurs et le manager - la façon dont il vous parle et veut que vous jouiez.

J'ai dû travailler si dur dans ma carrière pour arriver à ce point, de quitter City et d'aller au championnat pour remonter. Je croyais que je pouvais le faire, et je suis reconnaissant à Burnley et Tottenham de m'avoir laissé le faire en Premier League.

Mon frère est brutalement honnête avec moi - il a toujours été - et c'est le premier que j'ai envoyé par SMS après les matchs. Il a une bonne conversation avec moi et me dit comment je l'ai fait. Il est celui que j'ai toujours admiré, et je le respecterai toujours pour ça.

L'Espagne est certainement l'une des meilleures équipes du monde.

Beckham était celui que je regardais toujours - la technique, sa traversée en mouvement ou ses décors. Mais quand j'étais enfant, je viens de jouer avec mon frère. Il jouait pour Oldham, en Ligue 1 et en Ligue deux, et c'est celui que j'ai vraiment admiré.

Il s'agit simplement de confiance et de croire en vos propres capacités. Si vous le frappez par-dessus le mur, vous avez toutes les chances d'entrer.

Vous devez continuer à travailler dur sur le terrain de formation pour montrer le manager que vous souhaitez jouer.

Je pensais que j'étais en bonne forme. Quand j'étais à Burnley et que nous avons fait la graisse corporelle, j'avais un très bon pourcentage. Sean Dyche était heureuse. Je suis allé à Tottenham, et j'étais bien haut - je pense qu'ils vous pincent plus dur à Tottenham - c'est ce que je pense. À moins que ce ne soit mes vacances tout compris au Mexique.

Dans la Coupe du monde, vous ne pouvez jouer que pour qui vous êtes attiré.

Quand j'ai joué pour la première fois contre la France, j'en voulais plus.

Dans le football, les choses se produisent si rapidement.

Gary Neville a joué une position similaire à moi. Défensivement et offensivement, il était un joueur de qualité pour Manchester United et l'Angleterre. Ses trophées parlent d'eux-mêmes.

Chez Burnley, je m'amuserais avec mon missus et mes amis, mais parce qu'à Tottenham, nous jouons le samedi-Tuesday, même le mercredi au dimanche, et avec l'intensité que nous jouons, jouant en Ligue des champions, nous ne pouvons pas nous permettre pour passer une soirée.

J'ai pris beaucoup de blessures, et il y a eu des jeux quand j'ai regardé en arrière et regardé et pensé: «J'aurais pu faire mieux», «j'aurais pu faire ça mieux».

Vous pouvez apprendre beaucoup dans la Ligue Europa ou en jouant à différentes équipes de toute l'Europe, et le football européen m'a amélioré en tant que joueur.

Si quelqu'un entre en contact avec vous, c'est une faute et vous allez descendre.

Ma carrière a totalement changé. Burnley m'a aidé à arriver là où je suis, et je n'oublierai jamais cela.

J'ai été lâché à City, mais j'ai toujours cru que je pouvais jouer au plus haut niveau.

Vous savez quand vous avez eu un mauvais jeu.

Je travaille dur sur le terrain de formation tous les jours.

Si le manager me sélectionne pour jouer, je donnerai toujours tout ce que je peux.

Après la Coupe du monde, je me sens plus mature, plus confiant.

À Tottenham, il m'a fallu deux ans pour essayer de s'y interrompre. Je savais que mon opportunité se présenterait - il s'agissait simplement d'être patient et de travailler dur sur le terrain d'entraînement - et c'était le cas.

Tout le monde sait ce qu'est Harry Kane; C'est un buteur, un grand professionnel.

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