De natura rerum, livre premier (edition de 1675 par Tanaquil Faber) De rerum natura (De la nature des choses), plus souvent appele De natura rerum, est un grand poeme en langue latine du poete philosophe latin Lucrece, qui vecut au premier siecle avant notre ere. Compose de six livres totalisant 7400 hexametres dactyliques, metre classique utilise traditionnellement pour le genre epique, il constitue une traduction de la doctrine d'Epicure. Le poeme se presente comme une tentative de briser les forts verrous des portes de la nature, c'est-a-dire de reveler au lecteur la nature du monde et des phenomenes naturels. Selon Lucrece, qui s'inscrit dans la tradition epicurienne, cette connaissance du monde doit permettre a l'homme de se liberer du fardeau des superstitions, notamment religieuses, constituant autant d'entraves qui empechent chacun d'atteindre l'ataraxie, c'est-a-dire la tranquillite de l'ame. Il n'y a sans doute pas de plus beau poeme scientifique que le De Natura Rerum[1].

De la nature des choses

..". [captures] the relentless urgency of Lucretius' didacticism, his passionate conviction and proselytizing fervour.' --The Classical Review

De la nature: De rerum natura

De la Nature des choses: poeme. [Expose du systeme physique d'epicure]. Tome 1 / Lucrece; traduction en prose par de Pongerville, avec une notice litteraire et bibliographiquepar Ajasson de GrandsagneDate de l'edition originale: 1829-1832Collection: Bibliotheque latine-francaiseComprend: Expose du systeme physique d'epicureCe livre est la reproduction fidele d'une oeuvre publiee avant 1920 et fait partie d'une collection de livres reimprimes a la demande editee par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliotheque nationale de France, offrant l'opportunite d'acceder a des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.Les oeuvres faisant partie de cette collection ont ete numerisees par la BnF et sont presentes sur Gallica, sa bibliotheque numerique.En entreprenant de redonner vie a ces ouvrages au travers d'une collection de livres reimprimes a la demande, nous leur donnons la possibilite de rencontrer un public elargi et participons a la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.Nous avons cherche a concilier la reproduction fidele d'un livre ancien a partir de sa version numerisee avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous esperons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiere satisfaction.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.frhttp: //gallica.bnf.fr/ark: /12148/bpt6k5773310z

De la nature des choses: Poeme. Expose du Systeme Physique D'Epicure. Tome 1

The purpose of this edition is to demonstrate the quality and interest of book VI: the intellectual curiosity of the analyst of earthquakes, volcanoes and marvellous phenomena, the rhetorical and philosophical powers of a thinker who wants to make his interpretation of Epicureanism both cogent and vivid, the deep humane compassion of the chronicler of the Plague at Athens, the sheer brilliance of the poet whose verse inspired all later writers in the tradition. This edition of the book is designed to make the poem accessible to readers who have not picked up Lucretius before and so the background has been treated as fully as possible in. Latin text with facing-page translation. 200p (Aris and Phillips 1991)

De la Nature des Choses 1

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De la nautre des choses (de rerum natura)

'ai voulu t'exposer cette doctrine à nous / en un chant possédant le doux accent des Muses, / et sur elle poser la douceur de leur miel, / dans l'espoir que nos vers sachent, par ce moyen, / te retenir l'esprit tandis que tu perçois / des choses la nature en sa totalité, / et te pénètres bien de leur utilité.Lucrèce.Donner la plus grande force persuasive à la parole philosophique salvatrice, celle qui mène au bien et éloigne des maux, qui guérit des vaines peurs, celles des dieux et de la mort en particulier, tel est le projet de Lucrèce, qui compose en latin son célèbre poème, De rerum natura, à la gloire d'Epicure et de sa philosophie. Exposé doctrinal d'une richesse exceptionnelle et oeuvre littéraire majeure, ce poème se donne comme une oeuvre totale, où le vrai s'allie au beau, et les séductions de l'imagination à la rigueur de l'analyse. Pour s'approcher de sa singularité, il fallait une transposition précise et poétique à la fois : ce sont là les mérites de la traduction de Bernard Pautrat - faite en alexandrins non rimés - qui permet d'appréhender dans notre langue le style philosophique propre à Lucrèce.

La nature des choses

De la nature

Les Lucretii sont les membres de la gens romaine patricienne Lucretia, dont les principaux membres vivent aux débuts de la République romaine, au Ve siècle av. J.-C. Ils portent le cognomen de Tricipitinus.

Les gouttes de pluie font un trou dans la pierre non pas par la violence mais en tombant souvent.

La peur terrible de l'enfer est d'être chassé, ce qui perturbe la vie de l'homme et le rend misérable, craquait toutes choses avec la noirceur de l'obscurité et ne laissant aucun plaisir pur et non allié.

La vie humaine était naufrrée devant les yeux des hommes, écrasée à la poussière sous le poids de la religion.

Et de nombreux types de créatures doivent être morts, incapables de planter de nouvelles pousses de vie. Car tout ce que vous voyez qui vit, respire et prospère a été, dès le début, gardé, sauvé par sa ruse pour sa rapidité ou sa force brute. Et beaucoup ont a été confié à nos soins, recommandé par leur utilité pour nous.Par exemple, la force soutient un lion sauvage; les renards comptent sur leur ruse; cerf leur vol.

Nous ne pouvons pas concevoir la matière qui ne se forme rien, car les choses nécessitent une graine pour commencer.

Ne voyons-nous pas tous les humains ignorant ce qu'ils veulent, et toujours rechercher partout, et changer de lieu, comme pour laisser tomber la charge qu'ils portent?

Ces vestiges de natures laissés derrière lui qui ne peuvent pas tout à fait expulser de l'USARE encore aussi légers que rien empêche un homme de vivre une vie encore digne des dieux.

Des creux de dégoulinage constants sur une pierre.

En vertu de la loi, chaque chose a été créée et de la nécessité de poursuivre en vertu de cela et de la façon dont il ne peut pas annuler les règles fortes qui régissent sa vie.

Rien ne peut être créé à partir de rien.

Ainsi, donc, tout ce qui est limité en aucune région de ses chemins de recours, car alors 'tmust a pour toujours c'est au-delà.

Ces choses qui sont dans la lumière que nous voyons de l'obscurité.

C'est agréable, lorsque la mer est élevée et que les vents se précipitent sur les vagues, pour regarder depuis les rives les luttes d'un autre.

Il n'y a rien qui existe si grand ou merveilleux qu'au fil du temps, l'humanité ne l'admire pas de moins en moins.

Il est douteux que la fortune demain apportera. [Lot., Et le prochain doute est une fortune qu'une fortune est une bonne fortune.]

Et la vie est donnée à aucune propriété libre, mais elle est bail pour tous.

Le corps cherche ce qui a blessé l'esprit avec amour.

Le masque est arraché, tandis que la réalité demeure

Entre-temps, quand une fois que nous savons que rien ne peut être créée, nous divinerons clairement ce que nous recherchons: ces éléments de ce qui seul est créé, et à quel point aucun outil de dieux.

La chute de l'eau qui laisse tomber épuise la pierre.

... La nature permet la destruction ni l'effondrement de quoi que ce soit, jusqu'à ce qu'une force extérieure puisse se briser par un coup, ou un vaisseau intérieur, pénétrant dans ses cellules creuses, le dissolvent.

La somme de toutes les sommes est l'éternité.

La religion était si puissante en persuadant les mauvaises actions.

Pour les imbéciles, admirez et aiment les choses qu'ils voient cachés dans les versets tournés, et prendre pour la vérité ce qui caresse doucement les oreilles et est livré avec un son des phrases très imprégné.

Pas ceux qui rejettent les dieux sont profanes, mais ceux qui les acceptent.

Toutes les religions sont également sublimes pour l'ignorant, utiles pour le politique et ridicules pour le philosophe.

Ces crimes sont causés par la superstition.

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