De sa première visite à Moscou à l'invitation des autorités soviétiques en 1987 jusqu'à l'inculpation de son ancien directeur de campagne électorale, Paul Manafort, pour «complot contre les États-Unis» en octobre 2017, les liens de Donald Trump avec la Russie remontent à plus de trente ans.
Le journaliste Luke Harding révèle dans ce nouveau livre passionnant les nombreux contacts du magnat de l'immobilier avec des investisseurs russes condamnés pour blanchiment d'argent, détention de compte offshore, détournements de fonds et autres placements illicites quand ils ne furent pas purement et simplement convaincus d'espionnage. Alors que l'enquête sur les soupçons de collusion de l'actuel président des États-Unis conduite par le procureur spécial Robert Mueller a franchi un cap décisif, Luke Harding ajoute au célèbre dossier Steele des preuves accablantes sur les relations nouées par des membres de l'actuelle Administration avec des émissaires du Kremlin.
La Russie est-elle en train de remodeler l'ordre mondial avec la complicité du dirigeant le plus puissant de la planète? Voici qui devrait tous nous inquiéter au plus haut point.

Collusion ; comment la Russie a fait élire Trump à la Maison-Blanche

Edward Snowden, a young computer  genius working for America's National Security Agency, blew the whistle  on the way this frighteningly powerful organisation uses new technology  to spy on the entire planet. The consequences have shaken the leaders of  nations worldwide. This is the inside story of Snowden's deeds and the  journalists who faced down pressure from the US and UK governments to  break a remarkable scoop.   From the day he left his glamorous girlfriend  in Hawaii, carrying a hard drive full of secrets, to the weeks of  secret-spilling in Hong Kong and his battle for asylum, Snowden's story  reads like a globe-trotting thriller.

THE SNOWDON FILES FILM TIE IN

Au moment de la disparition de la RDA, deux citoyens sur 13 étaient des informateurs.

J'ai visité le Kurdistan pour la première fois en 2003. Je suis arrivé dans la ville de Sulaimaniyah, gracieuseté des passeurs qui m'ont conduit de l'autre côté de la frontière. Sulaimaniyah était une petite ville kurde provinciale charmante.

Ma mission journalistique était simple: attendre l'invasion américaine de l'Irak. Personne ne savait tout à fait quand ce serait. Mais la diplomatie - les réunions du Conseil de sécurité des Nations Unies, les allégations concernant les armes de destruction massive, la langue martiale de Tony Blair et George W. Bush - tous ont suggéré qu'une guerre se préparait.

Snowden était extrêmement bon pour la légitime défense numérique. Quand il a été employé par le C.I.A. Et N.S.A., l'un de ses emplois était d'enseigner aux responsables de la sécurité nationale américaine et à C.I.A. employés comment protéger leurs données dans des environnements numériques à haute menace.

Lorsque j'ai commencé à visiter l'Allemagne de l'Ouest au début des années 1980, j'ai été surpris par le contraste entre Birmingham, où je suis allé à l'école et Cologne aisé. Ma famille d'accueil, les adorables Schumachers, avait toujours une gamme opulente de raisins sur la table; Ils étaient mieux habillés que quiconque que je connaissais en Grande-Bretagne.

Le 30 juin 2010, le FSB a de nouveau fait irruption dans mon bureau. Ils ont débranché Internet, ouvert la fenêtre et laissé le téléphone hors du crochet, le plaçant à côté de mon ordinateur portable. Le message était clair: nous sommes toujours là.

La présence invisible du FSB s'est poursuivie; L'agence est devenue une partie intangible de ma vie de Moscou - parfois fort, parfois tranquillement, avec quelqu'un dans une arrière-salle tournant clairement le volume de persécution mineure de haut en bas.

En août 2008, nous avions quitté Voikovskaya et avons emménagé dans une dacha en bois dans la colonie des artistes de Sokol dans le nord-ouest de Moscou. La maison était un paradis au milieu de la folie de la ville: Lily de la vallée a grandi près de notre porte d'entrée, Virginia Creeper a paré la clôture verte.

Enlever vos vêtements devant des étrangers est un passe-temps en Allemagne, parmi les hommes et les femmes, en particulier dans l'ancien communiste Est, où c'était l'une des rares libertés autorisées.

J'ai quitté le Kurdistan en avril 2003 avec les Peshmerga, après leur avance excitée alors que les forces de Saddam s'effondrent. D'abord Kirkuk, puis Mossoul - où les pillards ont fait irruption dans le musée de la ville et ont saisi ses sculptures parthe - puis Tikrit. J'ai signalé à Bagdad en séjour d'un mois jusqu'à la fin de 2004.

En phase de gauche, les anti-allemands sont nés après l'effondrement du mur de Berlin. Alors que la plupart des Allemands se sont réjouis de la fin de la guerre froide, les anti-allemands craignaient qu'une Allemagne unie ne mène à un quatrième Reich - et à un retour de l'antisémitisme.

Deux décennies après le communisme et la fin présumée de la guerre froide, la Russie est toujours une économie de trésorerie. La monnaie préférée est des dollars, bien que les euros soient également acceptables.

Paradoxalement, dans sa quête pour rendre les Américains plus sûrs, la NSA a rendu les communications américaines moins sûres; Il a sapé la sécurité de l'ensemble de l'Internet.

En vertu des Assads, il a été interdit aux Kurdes d'apprendre leur propre langue à l'école, ou même de la parler dans l'armée. Le résultat est une génération de Kurdes syriens, beaucoup maintenant à la fin de l'âge mûr, qui ne peuvent pas écrire leur propre langue.

Il y a une longue tradition déshonorante des intellectuels occidentaux qui ont été dupés par Moscou. La liste comprend Bernard Shaw, les Webbs, H. G. Wells et Andre Gide.

La révérence hiérarchique de l'Allemagne pour l'ancienneté peut avoir quelque chose à voir avec le fait que tout ici se produit relativement tard. Les Allemands commencent à l'école à six ans, obtiennent leur diplôme à la fin de la vingtaine et obtiennent leur premier emploi approprié dans la trentaine. L'adolescence peut passer longtemps. Il est rare que quiconque obtienne la responsabilité avant la cinquantaine.

Mes quatre années en Russie finissent ensuite de manière dramatique: avec une expulsion de style soviétique. Je suis le premier correspondant du personnel de l'Ouest à subir ce sort depuis la fin de la guerre froide. Je suis stupéfait. Mais mon expulsion n'est pas, je réfléchis, une surprise. C'est quelque chose que j'ai toujours accepté comme une possibilité réelle, mais farfelue.

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