Laisse-moi te dire… Le titre de cette anthologie personnelle de Margaret Atwood paraît d’abord se donner dans un murmure : celui que l’on adresse « à l’indicatif présent » au « compagnon de route » ; celui de l’intimité amoureuse, du foyer, de la cabane ou de l’igloo, motifs récurrents d’une poésie qui croit au possible bonheur des petites communautés humaines. Mais ce murmure ne saurait faire oublier la mise en garde qui vient sourdre dans les recueils que la romancière livre, dix années durant, de The Circle Game (1964) à We Are Happy (1974). Catastrophes provoquées par l’homme, fonte des glaces, oppression des petits par les puissants, destruction des espaces naturels… Dans le laboratoire de la création littéraire, le poème est l’éprouvette dans lequel Margaret Atwood fait naître les cellules souches que développent ses romans. À découvrir absolument.

Laisse-moi te dire...

Stan et Charmaine ont été touchés de plein fouet par la crise économique qui consume les États-Unis. Réduits à vivre dans leur voiture, ils sont au bord du désespoir. Charmaine trouve alors la solution à tous leurs problèmes dans une étonnante publicité pour la ville de Consilience. Promesse d’une vie de rêve, Consilience leur assure un toit, à manger et du travail…un mois sur deux. L’autre mois, les habitants le passent en prison, nourris et blanchis, pendant que d’autres s’installent chez eux. Une règle absolue régit cette étrange utopie : ne jamais entrer en contact avec les « alternants ». Mais Stan tombe bientôt sur un mot qui va le rendre fou de désir pour celle qui se glisse entre ses draps quand lui n’y est pas : « Je suis affamée de toi. »

C'est le coeur qui lâche en dernier

Stan et Charmaine ont été touchés de plein fouet par la crise économique qui consume les États-Unis. Tous deux survivent grâce aux maigres pourboires que gagne Charmaine dans un bar sordide et se voient contraints de loger dans leur voiture... Aussi, lorsqu'ils découvrent à la télévision une publicité pour une ville qui leur promet un toit au-dessus de leurs têtes, ils signent sans réfléchir : ils n'ont plus rien à perdre.À Consilience, chacun a un travail, avec la satisfaction d'oeuvrer pour la communauté, et une maison. Un mois sur deux. Le reste du temps, les habitants le passent en prison... où ils sont également logés et nourris ! Le bonheur. Mais le système veut que pendant leur absence, un autre couple s'installe chez eux avant d'être incarcéré à son tour. Et Stan tombe bientôt sur un mot qui va le rendre fou de désir pour celle qui se glisse entre ses draps quand lui n'y est pas : " Je suis affamée de toi. "Avec C'est le coeur qui lâche en dernier, Margaret Atwood nous livre un roman aussi hilarant qu'inquiétant, une implacable satire de nos vices et travers qui nous enferment dans de viles obsessions quand le monde entier est en passe de disparaître.

C'est le cœur qui lâche en dernier

Le nouveau chef-d'oeuvre de Margaret Atwood, l'auteure de La Servante écarlate. 

Stan et Charmaine ont été touchés de plein fouet par la crise économique qui consume les États-Unis. Tous deux survivent grâce aux maigres pourboires que gagne Charmaine dans un bar sordide et se voient contraints de loger dans leur voiture... Aussi, lorsqu'ils découvrent à la télévision une publicité pour une ville qui leur promet un toit au-dessus de leurs têtes, ils signent sans réfléchir : ils n'ont plus rien à perdre.
À Consilience, chacun a un travail, avec la satisfaction d'oeuvrer pour la communauté, et une maison. Un mois sur deux. Le reste du temps, les habitants le passent en prison... où ils sont également logés et nourris ! Le bonheur. Mais le système veut que pendant leur absence, un autre couple s'installe chez eux avant d'être incarcéré à son tour. Et Stan tombe bientôt sur un mot qui va le rendre fou de désir pour celle qui se glisse entre ses draps quand lui n'y est pas : " Je suis affamée de toi. "
Avec C'est le coeur qui lâche en dernier, Margaret Atwood nous livre un roman aussi hilarant qu'inquiétant, une implacable satire de nos vices et travers qui nous enferment dans de viles obsessions quand le monde entier est en passe de disparaître.

By the author of The Handmaid's Tale and Alias Grace 
Curious Pursuits is a collection of personal essays, book reviews and articles from the fierce, ingenious mind of Margaret Atwood, ranging from 1970 to the present. 
Atwood remembers moving to London as a starry-eyed teenager in 1964 and her first attempts at gardening; she discusses feminist utopias in fiction, and writes moving odes on beloved classics like Anne of Green Gables. 
Personal life and fiction are shelved side by side in this revealing, insightful collection of Atwood's non-fiction writing.
PRAISE FOR Curious Pursuits
'A goldmine' Sunday Times
'Reminds one that Atwood is a superbly funny (as well as serious) writer; her wit is winningly relaxed and genial as well as sharp' Spectator
'The glimpses into the writing process and her reflections on identity will delight fans of her novels, who will also recognise flashes of her mordant wit' Times

Curious Pursuits

Un monde, le nôtre, dans un futur pas si lointain... Un monde dévasté à la suite d'une catastrophe écologique sans précédent, où se combinent des conditions climatiques aberrantes, des manipulations génétiques délirantes et un virus foudroyant prompt à détruire l'ensemble de l'humanité. Esseulé au cœur de cet enfer aseptisé et visionnaire, digne de 1984 et d'Orange mécanique, un homme, Snowman, est confronté à d'étranges créatures génétiquement modifiées, les Crakers, une nouvelle race d'« humains » programmés pour n'être sujets ni à la violence, ni au désir sexuel, ni au fanatisme religieux. Tel un Robinson futuriste, il doit lutter pour sa survie et celle de son espèce. Au risque d'y perdre son âme...

Le Dernier Homme

Renouant avec la tradition des Huxley, Orwell, Bradbury et de sa Servante écarlate, Margaret Atwood nous plonge dans un univers à la fois familier et terrifiant. Un monde dévasté à la suite d'une catastrophe écologique sans précédent, où se combinent des conditions climatiques aberrantes, des manipulations génétiques délirantes et un virus foudroyant prompt à détruire l'ensemble de l'humanité. D'ailleurs, c'est presque fait : d'êtres humains, au début du Dernier Homme, il ne reste que Snowman, lequel est confronté à d'étranges créatures génétiquement modifiées - les Crakers, une nouvelle race d'" humains " programmés pour n'être sujets ni à la violence, ni au désir sexuel, ni au fanatisme religieux -, et à des animaux hybrides qui s'appellent désormais porcons, louchiens ou rasconses... Ce monde visionnaire, c'est presque le nôtre... Pamphlet politique, conte prophétique : avec son humour noir et son intelligence acérée, un souffle romanesque inouï et une générosité contagieuse, le " meilleur des mondes " glorieusement inventif de Margaret Atwood nous tend un miroir saisissant de vérité.

Le dernier homme

Un chef-d'oeuvre d'anticipation, au même titre qu'Orange mécanique et Le Meillèur des mondes. 
 Renouant avec la tradition des Huxley, Orwell, Bradbury et de sa Servante écarlate, Margaret Atwood nous plonge dans un univers à la fois familier et terrifiant. Un monde dévasté à la suite d'une catastrophe écologique sans précédent, où se combinent des conditions climatiques aberrantes, des manipulations génétiques délirantes et un virus foudroyant prompt à détruire l'ensemble de l'humanité. D'ailleurs, c'est presque fait : d'êtres humains, au début du Dernier Homme, il ne reste que Snowman, lequel est confronté à d'étranges créatures génétiquement modifiées - les Crakers, une nouvelle race d'  humains  programmés pour n'être sujets ni à la violence, ni au désir sexuel, ni au fanatisme religieux-, et à des animaux hybrides qui s'appellent désormais porcons, louchiens ou rasconses... Ce monde visionnaire, c'est presque le nôtre...
 Pamphlet politique, conte prophétique : avec son humour noir et son intelligence acérée, un souffle romanesque inouï et une générosité contagieuse, le  meilleur des mondes  glorieusement inventif de Margaret Atwood nous tend un miroir saisissant de vérité.

Margaret Atwood, née le 18 novembre 1939 à Ottawa, est une romancière, poète et critique littéraire canadienne. Elle est l'une des écrivaines canadiennes les plus connues, en particulier pour son roman La Servante écarlate (The Handmaid's Tale).

La connaissance n'est que la puissance seulement tant que vous gardez la bouche fermée.

Scandale sexuel de la starlette. Les calmars géants impliquaient.

En tant qu'artiste, votre première fidélité est à votre art. À moins que ce soit le cas, vous allez être un artiste de second ordre.

Lecture ... vous change. Vous n'êtes pas la même personne après avoir lu un livre particulier qu'auparavant, et vous lirez le prochain livre, à moins que les deux ne soient des romans Harlequin, d'une manière légèrement différente.

La science-fiction est remplie de martiens et de voyage dans l'espace vers d'autres planètes, et des choses comme ça.

Le rouleau revient (Twitter est un parchemin.)

Les sables du temps sont des sables mouvants ... tant de choses peuvent y pénétrer sans trace.

Certaines personnes pensent à tort que la nature est très gentille et bienveillante et ne trahit jamais.

Un homme n'est qu'une stratégie de femme pour faire d'autres femmes.

Je suis certain qu'une machine à coudre soulagerait autant de souffrance humaine que cent asiles lunatiques, et peut-être beaucoup plus.

Au printemps, à la fin de la journée, vous devriez sentir la saleté.

Un mot après un mot après un mot, c'est le pouvoir.

Bientôt, ce sera le chèque de jour. Bientôt, la journée se casse. Je ne peux pas l'empêcher de se casser de la même manière que c'est toujours le cas, puis de rester là cassé; Toujours le même jour, qui revient comme un travail d'horlogerie. Cela commence par la veille de la veille, puis la veille, puis c'est le jour lui-même. Un samedi. La journée de rupture. Le jour où le boucher vient.

J'aime particulièrement Twitter, car c'est court et peut être très drôle et informatif. C'est un peu comme avoir votre propre programme radio.

Je ne suis pas intéressé à couper les pieds de mes personnages ou à les étirer pour les faire correspondre à ma vue politique.

Je suis trop vieux pour avoir jamais été très inquiet de ce que pourrait être un "genre". J'ai tout lu. Je suis facilement amusé.

Si vous êtes une femme écrivaine, quelque part, quelque part, on vous demandera: vous considérez-vous d'abord comme un écrivain, ou comme une femme d'abord? Chercher. Celui qui demande cela déteste et craint à la fois l'écriture et les femmes.

Nous avons dormi dans ce qui avait été le gymnase.

Je me tiens au coin, prétendant que je suis un arbre.

Je ne suis pas votre justification à l'existence.

Le temps n'est pas une chose qui passe ... c'est une mer sur laquelle vous flottez.

Il y a toujours quelque chose pour occuper l'esprit intéressant.

La fiction spéculative englobe ce que nous pourrions réellement faire. La science-fiction est ce que nous n'allons probablement pas voir.

Un clerc lui lui lui plaçant un match. / Aucun d'eux n'a l'air heureux. / Une fois allumé, elle brûlera comme un livre, / comme un livre qui a été terminé, / comme une bibliothèque verrouillée.

Publier un livre, c'est comme fourrer une note dans une bouteille et la lancer dans la mer.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Margaret_Atwood

Ses oeuvres

Ses derniers livres