« Les mémoires de lady Trent » racontent la vie et les recherches d'Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue qui a consacré sa vie à l'étude des dragons, depuis sa jeunesse dans le Scirland, pays qui ressemble beaucoup à l'Angleterre du XIX e siècle, jusqu'à ses voyages dans le monde entier. Un livre pour les amateurs d'époque victorienne et de fantasy.

Environ dix ans après les événements du Labyrinthe des gardiens, lady Trent mène une vie très occupée auprès de son archéologue de mari, Suhail. Elle a créé une école pour jeunes filles où elles reçoivent une formation dans tous les domaines, y compris scientifiques. Elle a développé le réseau de son université volante et continué à étendre celui des naturalistes étudiant les dragons.
C'est à l'occasion d'une conférence sur la langue des Draconiens qu'elle fait la connaissance de Thu Phil Lat, un Yélangois venu apporter la preuve qu'il existe peut-être une nouvelle espèce de dragons, dans les montagnes du Mrtyahaima :
C'est du moins ce que semblent indiquer les restes qu'il a vus.
L'expédition pourrait être très dangereuse, non seulement à cause de la géographie des régions reculées où elle doit se rendre (on pense bien sûr à l'Himalaya), mais aussi parce que Thu est membre d'une faction révolutionnaire dans son pays, contre qui le Scirland mène une sournoise guerre aérienne.
Bien évidemment, ni l'un ni l'autre danger ne peuvent arrêter l'intrépide lady Trent, dont l'insatiable curiosité est piquée au moment où elle ressent le besoin d'entamer une nouvelle période de sa vie de scientifique. D'autant qu'elle se sent frustrée de ne pas faire partie de l'Académie des philosophes parce qu'elle est une femme.
L'expédition sera l'occasion d'une découverte fondamentale sur la nature des draconiens. On retrouve dans ce cinquième opus le mélange de découvertes anthropologiques, de merveilles draconiennes, de politique et d'humour qui fait le charme de toute la série.
Et on saura enfin pourquoi lady Trent, grâce à ses découvertes qui ont radicalement transformé son monde, est devenue un personnage aussi important que la reine de son pays.

Mémoires, par Lady Trent Tome 5 : le sanctuaire ailé

Dans le quatrième tome de ses mémoires, la célèbre et scandaleuse lady Trent nous emmène en Akhie, contrée désertique avec laquelle son propre pays souhaite s'allier.

À la suite de ses découvertes du volume précédent, le Scirland a décidé de lancer un programme d'élevage de dragons afin de contrer les actions du Yélang. Isabelle Trent et Tom Wilker se rendent donc en Akhie pour le superviser.
Mais en dépit du peu de goût de lady Trent pour la politique, celle-ci la rattrape, sous la forme d'enlèvements par des tribus du désert et de sabotages qui mettent sa vie et celle de Tom Wilker en danger.
Les deux chercheurs n'en continuent pas moins à mener leurs recherches sur les dragons locaux, s'aventurant jusque dans le terrible désert du Jéfi.
C'est là qu'accompagnée de Suhail, l'archéologue akhien rencontré dans le volume précédent, elle fera les découvertes majeures qui vont bouleverser son monde. Au passage, préjugés et archaïsmes auront été écorchés par son humour à froid et son obstination hors du commun.

Le labyrinthe des gardiens

Dans le quatrième tome de ses mémoires, la célèbre et scandaleuse lady Trent nous emmène en Akhie, contrée désertique avec laquelle son propre pays souhaite s’allier.À la suite de ses découvertes du volume précédent, le Scirland a décidé de lancer un programme d’élevage de dragons afin de contrer les actions du Yélang. Isabelle Trent et Tom Wilker se rendent donc en Akhie pour le superviser.Mais en dépit du peu de goût de lady Trent pour la politique, celle-ci la rattrape, sous la forme d’enlèvements par des tribus du désert et de sabotages qui mettent sa vie et celle de Tom Wilker en danger.Les deux chercheurs n’en continuent pas moins à mener leurs recherches sur les dragons locaux, s’aventurant jusque dans le terrible désert du Jéfi.C’est là qu’accompagnée de Suhail, l’archéologue akhien rencontré dans le volume précédent, elle fera les découvertes majeures qui vont bouleverser son monde. Au passage, préjugés et archaïsmes auront été écorchés par son humour à froid et son obstination hors du commun.

Le Labyrinthe des gardiens (Mémoires, par Lady Trent #4)

À la fin du XVIe siècle, l'Angleterre prospère sous le règne d'Élizabeth, première du nom et dernière monarque de la lignée des Tudor.
Sous Londres s'étend le palais tentaculaire d'Invidiana, la reine des fae, qu'elle gouverne en maîtresse inflexible. Son pouvoir est le reflet ténébreux de la gloire éclatante dont s'entoure la dernière des monarques Tudor. Dans ce palais d'Onyx, les fae n'ont pas à craindre le fer et la foi chrétienne que les mortels utilisent contre eux pour se protéger de leurs méfaits.
Depuis trente ans, les affaires des deux cours sont toutefois étroitement liées. Un pacte mystérieux, tragique peut-être, unit les deux souveraines. Car si, chez les mortels, rois et amours sont éphémères, les fae les jalousent pour les passions qui animent leur vie.
Un courtisan humain et une fae en disgrâce découvrent peu à peu les alliances et les trahisons qui gangrènent les deux trônes. Ensemble, ils ont une chance de révéler la source du pouvoir d'Invidiana et, peut-être, de rétablir un peu de justice, d'harmonie et de confiance dans une société de haine et de violence. 

  Une oeuvre baroque, où se mêlent l'histoire et la fantasy, fort bien documentée sur la vie à la cour d'Élizabeth et les drames politiques qui s'y sont joués, et riche de tout le folklore du Petit Peuple des îles britanniques.

Minuit jamais ne vienne

Isabelle Trent, devenue célèbre, n’en a pas fini de déplaire à la bonne société du Scirland (qui doit beaucoup à l’Angleterre victorienne). Notre impétueuse naturaliste, après avoir transformé sa demeure en une sorte d’université pour jeunes femmes désireuses de s’instruire, entreprend de monter une expédition afin d’étudier les dragons du monde entier et, l’espère-t-elle, révolutionner leur taxonomie. Comble d’inconvenance, cette fois, Jake, le fils d’Isabelle et de son défunt mari, est du voyage. Le voilier Basilic débute son périple dans le Grand Nord où Isabelle étudie (en pantalon) les serpents de mer, puis passe par un pays qui serait peut-être le Mexique, se fait chasser du Yélang et visite enfin les îles volcaniques de l’hémisphère Sud, où elle en apprend davantage sur la civilisation des Draconiens qui ont dominé le monde dans l’antiquité. Au cours de ce voyage, le lecteur est aussi témoin d’une nouvelle étape de la vie sentimentale d’Isabelle ; quant à la présence de son fils, elle donne lieu à moult touches ironiques et tendres, car elle découvre que Jake ne s’intéresse qu’à une chose : la mer et tout ce qui s’en rapproche – mais pas aux dragons. Le titre du livre rappelle Le Voyage du Beagle, de Charles Darwin, soulignant ce fait rare d’un livre de fantasy qui célèbre la science et son élaboration patiente par des gens qui ont soif de connaissance. « Cette série, écrite à la manière des mémoires et des récits des naturalistes du XIXe siècle, est un bijou d’humour pince-sans-rire, qui démontre la culture de Marie Brennan et sa familiarité – étant elle-même spécialisée en archéologie, anthropologie et folklore – avec le style de l’époque. » Jean-Luc Rivera, actusf.com

Le Voyage du basilic (Mémoires, par Lady Trent #3)

Sous la plume raffinée et sans pitié de Marie Brennan, retrouvez les aventures d’Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue qui a consacré sa vie à l’étude des dragons.Bien que peu de gens soient assez âgés pour s'en souvenir, et encore moins assez impolis pour en parler, je fus autrefois vilipendée dans les feuilles à scandales. […] C'est à cette époque de mon existence que je fus accusée de fornication, de haute trahison et d'être la plus mauvaise mère de tout le Scirland. C'est plus que la plupart des femmes peuvent réaliser en l'espace d'une vie et j'admets que j'éprouve une sorte de fierté perverse à y être parvenue.Ce livre est également, bien entendu, le récit de mon expédition en Érigie. Les avertissements de ma première préface s'appliquent toujours : si les descriptions d'actions violentes, de maladies, de mets étrangers au palais des habitants du Scirland, de religions étranges, de nudité en public ou de gaffes diplomatiques idiotes sont susceptibles de vous gêner, fermez ce livre et passez à quelque chose de plus plaisant. Mais je peux vous assurer que j'ai survécu à tous ces événements ; il est donc probable que vous survivrez à leur lecture.

Le Tropique des Serpents (Mémoires, par Lady Trent #2)

« Soyez avertis, cher lecteur : les volumes de cette série contiendront des montagnes gelées, des marais fétides, des étrangers hostiles, des compatriotes hostiles et à l'occasion des membres de ma famille hostiles, de mauvaises décisions, des mésaventures géographiques, des maladies dépourvues d'attrait romantique et une abondance de boue. Vous poursuivrez votre lecture à vos risques et périls. »Les mémoires de lady Trent, mises en scène par Marie Brennan, racontent la vie et les recherches d'Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue et désormais vieille dame, dont l'esprit et le style empreints d'humour s'avèrent sans pitié pour les imbéciles.Dans ce premier volume, Isabelle, petite fille puis jeune femme, brave les conventions de sa classe et de son temps pour satisfaire sa curiosité scientifique et accompagner son mari lors d'une expédition à la recherche des dragons de Vystranie...Un livre de facture raffinée, qui s'adresse aux amateurs d'époque victorienne, de fantasy, et n'est pas sans rappeler le travail baigné de naturalisme et d'imaginaire de Pierre Dubois dans La grande encyclopédie des fées.

Une histoire naturelle des dragons

À un moment donné dans la série "Onyx Court", je pense que pendant "In Ashes Lie", j'ai suggéré que Lune pourrait finir par aimer quelqu'un d'autre. Ce qui m'a poussé à repousser le trope narratif selon lequel les gens n'obtiennent qu'un seul véritable amour dans toute leur vie - une idée que je pense être un peu pernicieuse - mais rétrospectivement, j'aurais aimé ne pas l'avoir fait là-bas.

La vérité est que l'histoire réelle était beaucoup plus compliquée que nos compréhensions populaires nous font croire.

Il y a eu une brève période où j'étais très jeune où je pensais que je voulais être un vétérinaire - en grande partie parce que j'aimais les chats - mais ensuite quelqu'un m'a dit que je devrais couper les animaux, et c'était la fin de cela.

J'ai choisi mon nom de stylo à l'âge de dix ans, car je savais même que mon nom juridique serait plus difficile que cela ne valait.

Quand je travaille sur un roman, j'écris généralement tous les jours, mais entre ces marathons, je fais des pauses. Mon cerveau a besoin de temps pour se recharger.

Je pense que si vous écrivez assez longtemps, vous avez finalement un problème avec tout, car vous commencez à déterminer où vous pourriez faire mieux. Mais aussi loin que je peux tracer, j'ai toujours écrit une prose claire et grammaticale.

Je suis le genre de personne qui, une fois que j'ai mis des dragons dans le monde réel, se sent obligé de réfléchir à la façon dont leur présence aurait changé l'histoire.

J'adorerais voir plus de romans et de nouvelles où les personnages ont leur propre folklore qui n'est pas la prophétie de Doom porteuse.

Je suis écrivain; Dès que j'imagine ce qui se passerait si je trouvais la fontaine de la jeunesse, cela se transforme en dystopie dans ma tête.

Je n'ai pas vraiment fait la distinction entre le genre et le non-genre quand j'étais enfant, jusqu'à ce que je fasse la transition vers la fantaisie adulte via Terry Brooks.

Je pense honnêtement que l'anthropologie est l'un des domaines les plus utiles qu'un écrivain fantastique puisse étudier, plus encore que l'histoire.

J'ai lu beaucoup de «livres de Pern» en grandissant - essentiellement à travers «tous les weyrs de Pern», peut-être un couple après cela. En ce qui concerne les influences de dragon formatrices, elle est probablement l'une des meilleures; Je sais que j'ai lu d'autres romans fantastiques qui les avaient, mais aucun ne vous tient particulièrement à l'esprit.

Mon humeur dépend fortement de ce qui m'arrive juste après mon lever.

Les écoles sont obligatoires pendant environ dix ans de la vie d'une personne. Ce sont peut-être les seules institutions obligatoires pour tous les citoyens, bien que ceux qui sont à part entière des écoles ne soient pas encore traités comme des citoyens à part entière de notre société.

Matriarchy est un incontournable de temps pour tout écrivain qui cherche à inventer une société exotique.

Je n'ai écrit que deux romans, aucun d'eux n'a publié, où le livre est dominé par un point de vue masculin; Dans la série «Onyx Court», il est divisé environ 50/50.

Mais se réconcilier avec sa douleur est une chose; Le partager avec des étrangers en est une autre.

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