« Une Afrique antique, dangereuse, hallucinatoire, qui devient un monde fantastique aussi réaliste que tout ce que Tolkien a pu imaginer. » Neil Gaiman 

" Léopard noir, loup rouge est d'ores et déjà un géant en fantasy, une ode merveilleuse à la Grande Afrique, un chef-d'ouvre d'imagination, de violence, de fureur et de grâce. " Page des libraires

« Aucun roman n'est aussi grisant que cette ouvre de fantasy sanglante, profane, bourrée de références. » The Wall Street Journal 

« Grivois (ok, sale), lyrique, poignant, violent, tapageur, drôle (salement hilarant), complexe, mystérieux, mais toujours élégamment contrôlé. Une ouvre incontestablement brillante. » The Los Angeles Times 

« Imprégné de mythologie et de folklore africains, ce texte grouille de créatures et bâtit des royaumes tels que je n'en ai jamais vu en littérature. Révolutionnaire. » Entertainment Weekly 

À la croisée des univers de Gabriel García Márquez, de Jérôme Bosch et des comics Marvel, le nouveau roman de Marlon James est une fantastique quête initiatique qui nous entraîne dans une Afrique de légende peuplée de créatures extraordinaires, de sorcières et de personnages hors du commun. Un tour de force littéraire, et une aventure incroyable.

Léopard noir, loup rouge

B>From Marlon James, author of the bestselling National Book Award finalist Black Leopard, Red Wolf, the second book in the Dark Star trilogy, his African Game of Thrones./b>br>br> In Black Leopard, Red Wolf, Sogolon the Moon Witch proved a worthy adversary to Tracker as they clashed across a mythical African landscape in search of a mysterious boy who disappeared. In Moon Witch, Spider King, Sogolon takes center stage and gives her own account of what happened to the boy, and how she plotted and fought, triumphed and failed as she looked for him. It’s also the story of a century-long feud—seen through the eyes of a 177-year-old witch—that Sogolon had with the Aesi, chancellor to the king. It is said that Aesi works so closely with the king that together they are like the eight limbs of one spider. Aesi’s power is considerable—and deadly. It takes brains and courage to challenge him, which Sogolon does for reasons of her own.br>br> Both a brilliant narrative device—seeing the story told in Black Leopard, Red Wolf from the perspective of an adversary and a woman—as well as a fascinating battle between different versions of empire, Moon Witch, Spider King delves into Sogolon’s world as she fights to tell her own story. Part adventure tale, part chronicle of an indomitable woman who bows to no man, it is a fascinating novel that explores power, personality, and the places where they overlap.

MOON WITCH, SPIDER KING - DARK STAR TRILOGY

The  New York Times  Bestseller     "A  fantasy world as well-realized as anything Tolkien made." --Neil Gaiman        "Gripping, action-packed....The literary equivalent of a Marvel Comics universe." --Michiko Kakutani,  The New York Times The epic novel, an African  Game of Thrones , from the Man Booker Prize-winning author of  A Brief History of Seven Killings      In the stunning first novel in Marlon James's Dark Star trilogy, myth, fantasy, and history come together to explore what happens when a mercenary is hired to find a missing child.     Tracker is known far and wide for his skills as a hunter: "He has a nose," people say. Engaged to track down a mysterious boy who disappeared three years earlier, Tracker breaks his own rule of always working alone when he finds himself part of a group that comes together to search for the boy. The band is a hodgepodge, full of unusual characters with secrets of their own, including a shape-shifting man-animal known as Leopard.   As Tracker follows the boy's scent--from one ancient city to another; into dense forests and across deep rivers--he and the band are set upon by creatures intent on destroying them. As he struggles to survive, Tracker starts to wonder: Who, really, is this boy? Why has he been missing for so long? Why do so many people want to keep Tracker from finding him? And perhaps the most important questions of all: Who is telling the truth, and who is lying?   Drawing from African history and mythology and his own rich imagination, Marlon James has written a novel unlike anything that's come before it: a saga of breathtaking adventure that's also an ambitious, involving read. Defying categorization and full of unforgettable characters,  Black Leopard, Red Wolf  is both surprising and profound as it explores the fundamentals of truth, the limits of power, and our need to understand them both.

Black leopard, red wolf

Kingston, 3 décembre 1976. Deux jours avant un concert en faveur de la paix organisé par le parti au pouvoir, dans un climat d’extrême tension politique, sept hommes armés font irruption au domicile de Bob Marley. Le chanteur est touché à la poitrine et au bras. Pourtant, à la date prévue, il réunira plus de 80 000 personnes lors d’un concert historique.Construit comme une vaste fresque épique habitée par des dizaines de personnages – hommes politiques, journalistes, agents de la CIA, barons de la drogue et membres de gangs… –, ce livre monumental s’interroge avec force sur le pouvoir, l’argent, le racisme, les inégalités et la violence du monde.Un style chaloupé, syncopé, d’une légèreté virtuose. Virginie Bloch-Lainé, Libération.Une œuvre polyphonique vertigineuse. Gilles Heuré, Télérama.Un roman monde aussi ambitieux qu’intelligent. Par sa noirceur, ses tonalités et sa profondeur, un livre de taille à captiver tous les lecteurs. Hubert Hartus, Lire.MAN BOOKER PRIZE.

Brève histoire de sept meurtres

Kingston, 3 décembre 1976. Deux jours avant un concert en faveur de la paix organisé par le parti au pouvoir, dans un climat d’extrême tension politique, sept hommes armés font irruption au domicile de Bob Marley. Le chanteur est touché à la poitrine et au bras, sa femme et son manager grièvement blessés. Pourtant, le 5 décembre, Bob Marley réunit 80 000 personnes lors d’un concert historique au National Heroes Park. Si ce roman s’ouvre sur la figure du musicien reggae, il est peuplé d’hommes politiques, agents de la CIA, barons de la drogue, prostituées ou membres de gangs. En somme, un livre monumental qui abrite plusieurs voix, déroulant les années 70 à nos jours, en Jamaïque et aux États-Unis. Brève histoire de sept meurtres n’est pas seulement un livre sur l’histoire de la Jamaïque mais surtout une interrogation percutante sur le pouvoir, l’agent, la politique et la violence. Un tour de force audacieux, inventif et exigeant.

Brève Histoire de sept meurtres

Kingston, 3 décembre 1976. Deux jours avant un concert en faveur de la paix organisé par le parti au pouvoir, dans un climat d'extrême tension politique, sept hommes armés font irruption au domicile de Bob Marley. Le chanteur est touché à la poitrine et au bras. Pourtant, à la date prévue, il réunit 80 000 personnes lors d'un concert historique Construit comme une vaste fresque épique abritant plusieurs voix et des dizaines de personnages, ce livre monumental, couronné par le Man Booker Prize 2015, nous entraîne en Jamaïque et aux états-Unis, des années 1970 à nos jours. Convoquant hommes politiques, journalistes, agents de la CIA, barons de la drogue et membres de gangs, il s'interroge avec force sur les éternelles questions du pouvoir, de l'argent, de la politique et de la violence du monde.
S'affirmant ici comme le fils spirituel de Toni Morrison et James Ellroy, Marlon James signe un livre hors normes, tour à tour sombre, drôle, cru, et toujours passionnant, signe d'une rare ambition littéraire et d'un talent prodigieux.
 
« Un roman à la fois terrifiant, lyrique et magnifique, écrit par l'un des jeunes auteurs les plus talentueux d'aujourd'hui. » Russell Banks

Brèves histoires de sept meurtres

Kingston, 3 décembre 1976. Deux jours avant un concert en faveur de la paix organisé par le parti au pouvoir, dans un climat d'extrême tension politique, sept hommes armés font irruption au domicile de Bob Marley. Le chanteur est touché à la poitrine et au bras. Pourtant, à la date prévue, il réunit 80 000 personnes lors d'un concert historiqueConstruit comme une vaste fresque épique abritant plusieurs voix et des dizaines de personnages, ce livre monumental, couronné par le Man Booker Prize 2015, nous entraîne en Jamaïque et aux États-Unis, des années 1970 à nos jours. Convoquant hommes politiques, journalistes, agents de la CIA, barons de la drogue et membres de gangs, il s'interroge avec force sur les éternelles questions du pouvoir, de l'argent, de la politique et de la violence du monde. S'affirmant ici comme le fils spirituel de Toni Morrison et James Ellroy, Marlon James signe un livre hors normes, tour à tour sombre, drôle, cru, et toujours passionnant, signe d'une rare ambition littéraire et d'un talent prodigieux. « Un roman à la fois terrifiant, lyrique et magnifique, écrit par l'un des jeunes auteurs les plus talentueux d'aujourd'hui. » Russell Banks

Le "Daily Mail" a interrogé mes amis en Jamaïque pour savoir si j'avais déjà été victime d'une attaque homophobe vicieuse parce que, pour eux, je suis un réfugié gay. Mais rien de tel ne s'est produit. Donc, sans surprise, l'article n'a pas été publié. Je suis vraiment très ennuyeux.

J'étais le nerd. Parce que je lisais. Je n'étais pas dans le sport. J'étais vraiment dans l'art. Très geekish sur les bandes dessinées. Supposé gay.

La littérature des Caraïbes ne doit être fidèle à elle-même. Il n'a pas besoin du colonialisme ou de l'impérialisme. Ça a toujours été dynamique.

Je trouve la violence dans les films PG13 insupportable. Ce gamin ne rentrera jamais à la maison, n'aura jamais un autre anniversaire. Sa mort est lente, cauchemardesque. Et vous devez explorer les conséquences - les gens qui vivent avec cette mort.

À 28 ans, à sept ans de collège, j'étais tellement convaincu que ma voix m'a éteint comme un pédé que j'avais cessé de parler aux gens que je ne connaissais pas.

Je voulais une photo de la Jamaïque qui n'est pas dans les livres, et certainement pas dans les romans.

Certains des aspects les plus fous de «Weeper» étaient les choses que j'ai découvertes. Je veux dire, vrai pour les gens.

Souvent, j'épelle les choses en anglais standard plutôt qu'en phonétique parce que je veux que les gens comprennent ce qui se passe. C'est aussi très lyrique, et ce qu'il y a de bien avec la prose lyrique, c'est que même si vous n'êtes pas totalement sûr des mots, vous pouvez vous laisser bercer par la musicalité de la prose.

Je viens d'une très grande famille de tous les antécédents économiques. Certaines des rues dont je parle, je me suis en fait marché parce que j'ai de la famille à partir de là. La Jamaïque a tellement de contradictions.

Je ne suis pas écrivain en mission, et je suis très méfiant envers les écrivains sur les missions, mais je ne vis pas non plus une fausse vie.

En tant qu'écrivain de couleur, vous devez être victime ou auteur.

Parce que l'homophobie est encore largement motivée par l'église, elle est légitimée. Il est également lié au sexisme, car ces deux-là ne sont jamais éloignés.

Le mauvais sentiment est un pays qu'aucune femme ne veut visiter. Ils prennent donc de bonnes sensations à ce qu'il arrive. Parfois, ce bon sentiment est venu en prenant un autre genre de mauvais sentiment.

Ceux qui pensent avoir eu des pauses chanceux ne sont pas seulement inconscients de la vraie histoire, mais aussi la proie de ce péché du médiocre: la garce sur le succès des autres

Je pense que les Grecs étaient les seuls à avoir jamais cloué le caractère. Leurs héros sont profondément imparfaits.

Je pense que c'est ce que Toni Morrison et Alice Walker comprennent, la langue secrète des femmes. Que ce n'est pas du tout un secret; Les hommes ne savent tout simplement pas écouter.

Si le reggae vient d'un autre pays, vous pouvez avoir la relation avec le reggae que je dois bercer. Mais c'est quelque chose avec lequel j'ai grandi. C'est probablement quelque chose que j'apprécie plus maintenant. Dans les années 80, j'étais tout au sujet de New Wave and Synth Pop - New Order and Depeche Mode et Eurythmics et Michael Jackson et des tonnes et des tonnes et des tonnes de Prince.

Nous ne devrions pas romancer le rejet. Il n'y a rien de romantique dans le rejet. C'est horrible.

L'écrivain de fiction en moi aime les lacunes dans les histoires parce que je peux sauter dans cet écart et essayer de suggérer quelque chose.

Mon premier roman, «John Crow's Devil», m'a libéré pour écrire sur le passé, et «le livre de Night Women» m'a libéré pour avoir un livre totalement basé sur la voix et être très spontané.

J'ai grandi avec le reggae. Le reggae est comme une famille. Je le sais, et il y a un type d'amour et de familiarité, mais parfois vous voulez passer du temps avec d'autres personnes.

Tous les homosexuels ne récitent pas de la poésie ou n'ont pas lu Keats. Vous pouvez obtenir des lecteurs à travers n'importe quoi si les personnages sont compliqués. Vous ne pouvez pas rejeter la vision du monde assez libérale de Josey Wales.

Si votre représentation de la perte ne fait pas ressentir la perte du lecteur, vous ne les représentez pas correctement.

Je dis toujours à mes élèves de compliquer vos personnages: ne vous facilitez jamais les choses pour le lecteur. Personne n'est jamais une chose. C'est ce qui rend les personnages convaincants.

... L'amour ne dit pas, je t'aime mais appelle pour dire, as-tu mangé

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