Mary Cain (née le 3 mai 1996 à New York) est une athlète américaine, spécialiste des courses de demi-fond.

En voie d'athlétisme, Nike est tout-puissant. Ils contrôlent les meilleurs entraîneurs, athlètes, courses et même l'organe directeur.

Nous vivons dans une société dans laquelle le poids féminin est à la fois fétichisé et aussi sous un examen minutieux. Et donc essayer de faire honte à quelqu'un de perdre du poids est juste tel, je veux dire, une façon traumatisante émotionnellement, psychologiquement et mentalement pour entraîner quelqu'un.

J'oublie souvent ma course. Ce n'est que lorsque je suis vraiment à ces compétitions et à ces rencontres que je me souviens vraiment de ce que je fais.

C'est bien car j'ai ma vie de piste et j'ai ma vie scolaire, et jusqu'à présent, je les équilibre très bien.

J'espère être là-bas pour montrer aux gens que vous pouvez revenir de moments vraiment difficiles et horribles.

En fin de compte, j'ai décidé de devenir pro parce que c'est ce qui a le plus de sens pour moi.

Mon objectif est de démontrer que vous pouvez avoir une vie heureuse et pleine et courir au plus haut niveau.

Je suis toujours le bizarre qui aime prendre la chimie organique.

Ne vous méprenez pas, c'est amusant quand vous obtenez des applaudissements pour être un petit enfant. Mais si je voulais être bébé, je ne serais pas devenu pro. J'accueille l'idée que les gens me considéreront comme Mary Cain le professionnel, pas Mary Cain, le lycée.

J'ai rejoint Nike parce que je voulais être la meilleure athlète féminine de tous les temps.

Tous mes amis et beaucoup d'enfants à l'école savent ce que je fais. C'est vraiment quelque chose d'important dans ma ville. Donc ça reste vraiment spécial quand les gens me félicitent.

Prendre un uniforme Team USA est incroyable. Je voulais vraiment obtenir un uniforme.

Aux États-Unis, les difficultés d'athlétisme et je suis un tel trackie. J'adore le sport. C'est une de ces choses où si je pouvais attirer un peu plus d'attention pour cela ou le rendre un peu plus excitant, j'aimerais faire ça.

Je ne pense pas que je pourrais le pirater au 200m.

J'ai l'habitude de courir contre l'horloge.

Tant que je reste vraiment au top de mon travail scolaire, ce que je suis pour la plupart capable de faire, ce n'est vraiment pas un problème, je manque l'école.

C'est bien d'avoir quelqu'un qui est là pour vous voir au jour le jour, même sauter dans des courses avec vous.

Maintenant que je suis officiellement signé avec Nike pour arriver à courir avec le projet Oregon, c'est définitivement un rêve devenu réalité.

Parfois, les athlètes devraient perdre du poids au cours de la saison. Mais généralement, ils travaillent avec un nutritionniste professionnel. Il n'y a pas d'objectif arbitraire qui essaie d'être atteint. C'est plus par le processus - entraînez-vous dur, mangez bien.

Il m'a fallu si longtemps pour accepter que beaucoup de choses que j'ai traversées étaient vraiment gâchées. Je me suis rendu compte que j'étais investi dans plus en tant que produit plutôt que comme une personne.

J'ai eu la chance d'avoir des amis et de la famille qui ont toujours soutenu. Peu importait la façon dont j'ai couru.

Je ne pense pas vraiment aux enregistrements à l'avance. Je ne veux pas qu'ils me fassent.

Je vais faire mon cœur, je ferai mon entraînement en force, je vais faire mon entraînement croisé occasionnel si j'en ai besoin.

Mes concurrents ne penseront pas: "Oh, elle n'a que 18 ans, allons-y un peu plus lentement pour elle."

Plutôt que de forcer les jeunes filles à se débrouiller seules, nous devons les protéger.

Je ne me suis jamais laissé sortir. Ma devise est: «Restez calme et continuez».

Je ne suis jamais du genre à éviter la compétition ou à travailler dur.

C'est certainement très excitant à courir contre des professionnels maintenant. Beaucoup de coureurs de mes courses ont des CV incroyables et beaucoup d'expérience, donc je me rappelle simplement que chaque course n'est qu'une expérience d'apprentissage.

Pendant de nombreuses années, la seule chose que je voulais dans le monde était l'approbation d'Alberto Salazar. Je l'aimais toujours. Alberto était comme un père pour moi, ou même comme un dieu.

J'ai lié tellement de moi-même - et croyez-moi, si vous êtes un coureur, vous comprenez cela - à ma performance.

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