Cette publication est une contribution importante aux travaux récents du Conseil de l'Europe dans le domaine de la parentalité positive, qui ont conduit à la Recommandation Rec (2006) 19 du Comité des Ministres relative aux politiques visant à soutenir une parentalité positive. Les auteurs passent en revue et analysent les principales évolutions de la parentalité en Europe, résultant de la situation juridique, de la recherche et des pratiques. L'ouvrage traite des questions essentielles liées à la parentalité positive et à l'éducation non violente, en mettant un accent particulier sur le droit des parents à un soutien de l'Etat dans l'exercice de leurs fonctions parentales. Cinq grands thèmes y sont développés : la situation juridique et les résultats de la recherche : que signifie être parent selon la Convention des Nations Unies sur les droits de l'enfant, le Conseil de l'Europe et l'état actuel des connaissances ? ; le point sur les réflexions concernant la violence et les châtiments corporels infligés aux enfants ; les réponses en matière de politique familiale, notamment en ce qui concerne les programmes et les services de soutien aux parents et aux familles ; les problèmes et les besoins particuliers des parents et des enfants en situation d'exclusion sociale ; et les liens entre parentalité et consommation de drogues chez les enfants et les adolescents.
L'ouvrage comprend également le texte de la Recommandation Rec (2006) 19, des " Messages clés pour les parents " ainsi que des " Lignes directrices pour les professionnels ".

La parentalité dans l'Europe contemporaine : une approche positive

L'acccès aux droits sociaux en Europe

Mary Daly, née le 16 octobre 1928 à Schenectady (État de New York) et morte le 3 janvier 2010 à Gardner (Massachusetts), est une féministe radicale américaine, philosophe, universitaire et théologienne. Daly, qui se désignait comme une « féministe radicale lesbienne », a enseigné à Boston College, université dirigée par les Jésuites, pendant 33 ans.

Les femmes ont eu le pouvoir de nous nommer des volés. Nous n'avons pas été libres d'utiliser notre propre pouvoir pour nous nommer, le monde ou Dieu.

Le féminisme radical est toujours menaçant.

Le tokenisme ne change pas les stéréotypes des systèmes sociaux mais travaille à les préserver, car il émousse l'impulsion révolutionnaire.

J'espère que dans sa richesse, ainsi que dans son incomplétude, Gyn / Ecology continuera d'être un labry permettant aux femmes d'apprendre de nos erreurs et de nos succès, et de lancer nos vies aussi loin que nous pouvons aller, maintenant, dans le be be -Les années 90 dédoublables.

Pensez à Virginia Woolf, «une pièce de la sienne» - c'est ce dont les femmes ont toujours besoin sous le patriarcat et ne peuvent pas être créatives sans. Ils ont emporté ma classe et mon statut pour enseigner, et maintenant ils ont enlevé mon bureau, et tout cela donne le message que Virginia Woolf et moi perdons ce que j'appelle «Womenspace».

Vous devenez courageux en faisant des actes courageux ... le courage est une habitude.

Pourquoi en effet, «Dieu» doit-il être un nom? Pourquoi pas un verbe - le plus actif et la plus dynamique de tous.

J'ai vu des femmes réprimées. Quand ils sont en cours avec de jeunes hommes, ils se taisent tout le temps. Ils ont ri s'ils ont des idées inhabituelles. Ils doivent être sexy; Ensuite, ils ne peuvent pas vraiment penser.

C'est le potentiel créatif lui-même dans les êtres humains qui est l'image de Dieu.

Vous gardez contre Decay, en général, et stagnation, en déménageant, en continuant à bouger.

Le travail est une expérience religieuse substitute pour de nombreux bourreaux de travail.

Si Dieu est un homme, alors le masculin est Dieu. Le patriarche divin castre les femmes tant qu'il est autorisé à vivre dans l'imagination humaine.

Le plan de Dieu 'est souvent un front pour les plans des hommes et une couverture pour l'insuffisance, l'ignorance et le mal.

J'essaie d'aller dans un avenir profond, mais pour arriver à un avenir profond, j'ai dû penser au passé profond.

Presque tout nous a été volé par le patriarcat. Notre créativité a été volée, nos énergies créatrices, notre religion. Je veux le récupérer.

La déesse est la source profonde de la création d'intégrité et de l'auto-affirmation des femmes.

Cent pour cent des évêques qui s'opposent à l'abrogation des lois anti-avortement sont des hommes et cent pour cent des personnes qui ont des avortements sont des femmes.

Les hags vivent. Les femmes voyageant dans le temps / l'espace féministe créent une hag-ocratie, l'endroit que nous gouvernons. Gouverner, c'est diriger, piloter.

Les femmes ont eu le pouvoir de nous nommer des volés.

La protestation adéquate exige bien plus que les protestations. Il appelle à de grands sauts audacieux d'intégrité et de courage à voir.

La religion masculine entombe les femmes dans des sépulcres de silence afin de chanter son propre chant éternel et morne vers un passé qui n'a jamais été.

Le patriarcat a volé notre cosmos et l'a rendu sous la forme du magazine et des cosmétiques «cosmopolitains».

Nous considérerons la Terre et ses planètes sœurs comme étant avec nous, pas pour nous.

Je n'ai pas étudié la théologie par piété. Je l'ai étudié parce que je voulais savoir.

J'ai une théorie de la vie à la frontière: à la frontière du patriarcat et la frontière des différentes dimensions.

Je suis un déviant complet. Tout le travail créatif innove.

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