«  Ce recueil se distingue par sa qualité littéraire. Percutantes, souvent poignantes, parfois drôles, les contributions ménagent toute leur place aux nuances et à l'ambivalence. Elles élèvent spectaculairement le niveau du débat, quand la réflexion sur le sujet se limite encore trop souvent à une poignée de préjugés.  »Mona Chollet, Le Monde diplomatique.    Seize écrivains des deux sexes et de tous âges expliquent pourquoi ils ont décidé de ne pas avoir d'enfants. Certains d'entre eux n'en ont jamais voulu, d'autres en ont désiré passionnément avant de changer d'avis. Avec une franchise déconcertante, ces femmes et ces hommes racontent leur expérience intime, leur enfance, leur couple, leur vie professionnelle et décrivent ce que nager à contre-courant de la parentalité représente. Parce qu'ils n'en ont pas voulu et qu'ils ont dû régulièrement s'en justifier, ils ont beaucoup réfléchi à ce que signifie mettre un enfant au monde, ce qui fait de ces témoignages un ensemble réellement captivant, déculpabilisant, brassant des multitudes de questions (place de la mère dans la société, taux de fertilité en déclin en Occident) pour former un portrait nuancé, intelligent, drôle de ce à quoi peut ressembler une vie pleine et épanouie, loin des injonctions sociétales.

Ils vécurent heureux et n'eurent pas d'enfants

Seize écrivains des deux sexes et de tous âges expliquent pourquoi ils ont décidé de ne pas avoir d'enfants. Certains d'entre eux n'en ont jamais voulu, d'autres en ont désiré passionnément avant de changer d'avis. Avec une franchise déconcertante, ces femmes et ces hommes racontent leur expérience intime, leur enfance, leur couple, leur vie professionnelle et décrivent ce que nager à contre-courant de la parentalité représente. Parce qu'ils n'en ont pas voulu et qu'ils ont dû régulièrement s'en justifier, ils ont beaucoup réfléchi à ce que signifie mettre un enfant au monde, ce qui fait de ces témoignages un ensemble réellement captivant, déculpabilisant, brassant des multitudes de questions (place de la mère dans la société, taux de fertilité en déclin en Occident) pour former un portrait nuancé, intelligent, drôle de ce à quoi peut ressembler une vie pleine et épanouie, loin des injonctions sociétales.

Un témoignage drôle, percutant et pertinent de seize écrivains américains qui n'ont pas voulu avoir d'enfants Dans ces seize essais, des écrivains des deux sexes et de tout âge expliquent pourquoi ils ont décidé de ne pas avoir d'enfant. Certains d'entre eux n'en ont jamais voulu, d'autres en ont désiré passionnément avant de changer d'avis. L'une est allée jusqu'à acheter le sperme d'un donneur dans l'espoir de devenir mère célibataire ; une autre, qui n'a jamais voulu d'enfant, est tombée enceinte trois fois, et a avorté trois fois. Avec une franchise à couper le souffle, ces hommes et ces femmes racontent leur expérience intime, leur enfance, leur mariage, leur vie professionnelle d'écrivains, aussi. Surtout ils décrivent ce que signifie nager à contre-courant de la parentalité, prendre une contrallée. Parce qu'ils n'ont pas voulu d'enfant et qu'ils ont dû régulièrement s'en justifier, ils ont paradoxalement beaucoup plus réfléchi à ce que signifie vraiment «  mettre un enfant au monde  » que la plupart d'entre nous, ce qui fait de ces témoignages un ensemble réellement captivant, d'une qualité littéraire rare et qui pose la question résolument féministe de la place laissée aux mères, et tout particulièrement aux mères travailleuses, dans nos sociétés.

Ils vécurent heureux et ils n'eurent pas d'enfant

Le point des essais est le point d'écrire quoi que ce soit. Ce n'est pas pour dire aux gens ce qu'ils pensent déjà ou pour leur donner plus de ce qu'ils croient déjà; C'est pour défier les gens, et c'est pour suggérer d'autres façons de penser les choses.

J'ai une mémoire distincte, remontant à 1989, de m'asseoir avec mes camarades de dortoir universitaire parlant d'un nouveau terme qui appartenait partout: «politiquement correct».

Je ne tiens pas un journal ni un journal. Parfois, j'enverrai des e-mails à des amis et c'est une façon d'enregistrer ce que je pensais à tout moment. Mais je n'ai jamais été un tenue de journal. J'ai l'impression qu'une partie de cela est parce que je suis toujours à la date limite. J'ai été pigiste de toute ma carrière et, à tout moment, j'ai plusieurs délais pour toutes sortes de choses, que ce soit une pièce de magazine ou une rédaction d'annonces ou quoi que ce soit. De toute évidence, les personnes atteintes de délais tiennent les revues tout le temps, mais, pour moi, l'idée de faire plus d'écriture n'est jamais attrayante. C'est pourquoi je ne blogue jamais.

J'avais beaucoup écrit sur mon chien en train de mourir avant. J'ai écrit une chronique de journaux à ce sujet et il s'est avéré être la colonne la plus populaire que j'aie jamais écrite. Cela et la chronique boiteuse de Joni Mitchell que j'ai fait. Mais la colonne de chien, mon Dieu! Les gens aiment les chiens. Quiconque écrit régulièrement devrait savoir, en cas de doute: chiens! Si vous êtes chroniqueur, en cas de doute, écrivez une chronique sur la culture du narcissisme - comme une chronique réprimandante sur la culture du narcissisme - ou écrivez quelque chose sur les chiens. C'est le Homerun dans mon point de vue.

Ce que je pense est important pour les essaisurs - à propos de l'essai, par opposition à beaucoup d'écriture personnelle qui trouve son chemin vers le public - c'est que le matériel doit vraiment être présenté de manière traitée.

Ce que je pense est important pour les essaisurs, à propos de l'essai par opposition à beaucoup d'écriture personnelle, c'est que le matériel doit être présenté de manière traitée. Je ne suis tout simplement pas intéressé à écrire: "Hé, c'est ce qui m'est arrivé aujourd'hui." Vous arrivez dans un endroit qui a très peu à voir avec votre expérience personnelle et parle d'une idée plus large ou quelque chose dans la culture. Je ne pense pas que vous puissiez y arriver à moins que vous n'ayez eu beaucoup de temps pour gestate et peut-être que si je prenais beaucoup de notes pendant que des choses se passaient, je ne serais pas en mesure d'aller à cet endroit aussi facilement.

L'estime de soi, le genre qui vient de trouver le swet spot entre une tendresse saine pour vous-même et l'auto-scepticisme sain, a tendance à devenir plus difficile à trouver plus que nous vieillissons.

Les gens qui ont grandi avant la blogosphère, je pense simplement que votre cerveau est câblé différemment. J'ai l'impression qu'à certains égards, ma sensibilité est alignée avec des gens de vingt ans de plus que moi que quelqu'un de six ans plus jeune. Parce qu'il y avait une sorte de coupure.

Devenir un parent sera toujours un paramètre par défaut. Je crois vraiment qu'il y aura toujours plus de gens qui veulent avoir des enfants que qui ne le font pas.

L.A. est une constellation de microclimats et de microcosmes, une bibliothèque avec des dizaines de collections spéciales. Un trajet de 20 minutes peut apporter un changement de température de 15 degrés. Traverser une intersection peut ressembler à une frontière nationale.

Il y a un type particulier de femme célibataire dont la relation avec son chien a un niveau d'intensité et d'affection qui peut être à la fois la cause et le résultat de son célibat. Pendant longtemps, j'étais cette femme.

Je ne pense pas que quiconque m'ait jamais accusé de trop d'amour de soi.

Comme pour le «féminisme», sans parler du «libéralisme» et du «conservatisme», du «politiquement correct» tend à signifier ce que vous voulez que cela signifie, ce qui équivaut également à un insignifiant total.

Comme une personne physiquement belle mais autrement plutôt terne qui se négocie sur son apparence, les balançoires du sud de la Californie perpétuellement entre un complexe d'infériorité profond et un sentiment de droit tout aussi profond.

J'ai toujours été une floraison tardive à certains égards, et extrêmement précoce à d'autres égards. Quand j'avais vingt ans, je vivais à New York et je travaillais à un emploi et je pouvais à peine prendre la peine d'être étudiant et j'avais mon propre appartement, mais je ne pouvais pas me marier avant l'âge de trente-neuf ans.

En tant qu'êtres humains avec des egos et des sentiments, aucun de nous ne veut être pilulatif. Mais en tant que penseurs et écrivains, c'est notre travail d'exprimer directement les opinions et sans les qualifier de l'existence.

Je pense que la génération dans laquelle vous vous trouvez a une nostalgie pour les générations passées et les générations dans lesquelles vous n'étiez pas.

Fille à l'ancienne que je suis, j'ai toujours une ligne fixe, bien qu'elle sonne rarement - et quand c'est le cas, surtout sans avertissement, il y a rarement quelque chose de bon à l'autre bout.

J'ai adoré «à propos de Schmidt». J'aime beaucoup le travail d'Alexander Payne.

Si vous faites les choses que vous aimez et que vous êtes bon, j'ai vraiment le sentiment que cela mènera à avoir une vie épanouissante, et les personnes ayant une vie épanouissante peuvent être des «bonnes personnes».

Je suis juste une personne qui aime les maisons. D'une certaine manière, il est en train de conclure dans l'un des thèmes de l'indicible: pourquoi devez-vous changer? Pourquoi n'acceptez-vous pas simplement que c'est comme ça? Pourquoi devez-vous grandir à partir d'une expérience?

J'adore l'essai. C'est mon genre préféré pour travailler.

Je ne suis pas et je ne serai plus jamais un jeune écrivain, un jeune propriétaire, un jeune professeur. Je n'ai jamais été une jeune femme. La seule chose que je pourrais faire maintenant pour laquelle ma jeunesse serait une caractéristique vraiment notable serait de mourir. Si je mourais maintenant, je mourrais jeune. Tout le reste, je fais de l'âge moyen.

Il peut prendre un village pour élever un enfant, mais tous les villageois n'ont pas besoin d'être maman ou papa. Certains d'entre nous ont juste besoin d'être qui nous sommes.

Une jeune essayiste qui dit être influencée par Joan Didion est comme une jeune auteur-compositeur-interprète qui dit être influencée par Joni Mitchell.

La recherche du bonheur est depuis longtemps une caractéristique dominante de la vie américaine. C'est un sous-produit de la prospérité, sans parler de la ligne la plus célèbre de la Déclaration d'indépendance.

Je suis las du bonheur, à la fois comme un mot et comme un concept.

Une grande partie de la magie du langage, bien sûr, réside dans sa fluidité.

Ce qui m'étonne, c'est quand je vois des gens dans la vingtaine qui ont des familles ou vivent une vie qui semble d'une personne beaucoup plus âgée. Mais c'est une chose si démographique, une chose socio-économique, culturelle et culturelle.

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