Le Livre des choses étranges et nouvelles est la nouvelle épopée littéraire de Michel Faber. L'Angleterre, dans un futur proche. Face à diverses catastrophes écologiques, les hommes partent coloniser les galaxies lointaines. Peter Leigh, un jeune pasteur, est ainsi recruté par une mystérieuse entreprise ultra puissante. Sa mission : séjourner quelques mois sur la planète Oasis et évangéliser ses habitants. Ravi de cette aventure, Peter quitte la Terre et sa femme Beatrice. Mais sur la base spatiale son enthousiasme fait vite place à l'inquiétude : Comment sauver Béatrice, alors que les événements sur Terre prennent un tour dramatique ? Et qu'est-il vraiment arrivé au premier pasteur envoyé sur Oasis ? Dans une atmosphère proche de Solaris et de 2001 Odyssée de l'espace, Michel Faber, en formidable conteur, signe avec ce roman évoquant Le Coeur des ténèbres de Joseph Conrad une aventure au suspense haletant, mêlée à une poignante histoire d'amour entre deux êtres que désormais absolument tout sépare

Le livre des choses étranges et nouvelles

Isserley, jeune femme aguichante et aguicheuse, passe son temps à sillonner les routes d’Écosse. Le parfait auto-stoppeur doit être jeune, grand et musclé. Quand elle trouve enfin la perle rare et l’embarque dans sa voiture, les choses se compliquent un peu… Que fait-elle de tous ces hommes au corps de rêve qui disparaissent mystérieusement ? Quel destin les attend ?

Sous la peau

Pour un jeune universitaire ambitieux, découvrir des rouleaux araméens écrits par un homme qui a vu mourir le Christ, c'est le jackpot assuré. Lorsque Theo Griepenkerl publie Le Cinquième Évangile, il rêve d'énigmes ésotériques, de célébrité et d'argent. Mais il n'avait pas prévu la suite : sa copine le plaque, son éditeur l'arnaque et des fanatiques religieux veulent sa mort...

Le cinquième évangile

Drôle de monde que celui de Michel Faber. Un monde où les solitaires, les fêlés, les alcooliques et les obsédés sexuels représenteraient la norme. A travers le regard de chacun, c'est un portrait de notre époque qui se dessine au fil de ces quinze histoires pleines d'outrances, de stridences, de dangers. Du polar à la fable en passant par la comédie et le réalisme social, Michel Faber utilise toutes les ressources de la fiction pour perturber plus sûrement notre sens du réel. Moins que parfait: un aller simple pour une destination inconnue, à bord du train-fantôme de la littérature.

Moins que parfait - Occasion

Qu'est devenue Sugar, la jeune prostituée ? Et William Rackham, le riche parfumeur qui l'avait follement aimée ? Est-il parvenu à l'oublier ? Et la petite Sophie, où est-elle ? Ces questions, nous nous les sommes posées en refermant La Rose pourpre et le Lys. Avec le vague espoir que l'auteur de ce merveilleux roman " victorien " écrit au XXIe siècle consentirait à lui inventer une suite à la manière de Charles Dickens. Michel Faber a fait bien mieux : avec ce recueil de nouvelles, il nous propose une sorte de post-scriptum, ouvrant l'éventail des possibles sur le devenir de ses personnages. Ecoutons-le... " Nous sommes en décembre 1872. Une neige duveteuse tombe sur cette partie équivoque de Londres entre Regent Street et Soho... "

Contes de la rose pourpre - Occasion

La Rose pourpre et le Lys (#2)

Sillonnant, au volant de sa Toyota rouge, les paysages magnifiquement désolés des Highlands d'Écosse, une jeune femme aux épaisses lunettes et à l'aguichante poitrine guette les auto-stoppeurs, jeunes, grands et musclés de préférence. La première énigme de cette fiction délirante, c'est le corps d'Isserley, dont les maux, les pulsions, les comportements laissent perplexe. La seconde vient de ce qu'Isserley fait de ces victimes, après les avoir endormis, elle livre les corps de ces jeunes hommes dans une ferme où des commis viennent les décharger du véhicule. Ils deviendront alors des « vodsels », de quasianimaux que l'on va engraisser, et qui sont destinés à être dévorer par une race dite supérieure vivant sous-terre, au sein d'une société hiérarchisée. Isserley n'apparaît plus alors que comme un des rouages d'une communauté où l'on renie l'humanité à un certain nombre d'individus. Du roman noir ou policier, on passe ainsi à un récit fantastique, voire d'épouvante.
Il y a dans le rituel de l'apparente obsédée sexuelle qu'est Isserley, quelque chose qui ne colle pas, quelque chose qui sans cesse déjoue la perspicacité de ses passagers de fortune - et du lecteur. Et, quand celui-ci finit par entrevoir qu'Isserley est au centre d'un univers plus terrifiant encore que ce qu'il avait pu supposer, le suspense se reconduit jusqu'aux dernières lignes.
Michel Faber nous entraîne dans une narration d'une habileté machiavélique, doublée d'une fable cruelle sur le fonctionnement souterrain des hiérarchies de pouvoir dans les sociétés fondées sur la marchandise et le profit.

Sillonnant, au volant de sa Toyota rouge, les paysages magnifiquement désolés des Highlands d'Écosse, une jeune femme aux épaisses lunettes et à l'aguichante poitrine guette les auto-stoppeurs, jeunes, grands et musclés de préférence.
La première énigme de cette fiction délirante, c'est le corps d'Isserley, dont les maux, les pulsions, les comportements laissent perplexe. Il y a dans le rituel de cette apparente obsédée sexuelle, quelque chose qui ne colle pas, quelque chose qui sans cesse déjoue la perspicacité de ses passagers de fortune - et du lecteur. Et, quand celui-ci finit par entrevoir qu'Isserley est au centre d'un univers plus terrifiant encore que ce qu'il avait pu supposer, le suspense se reconduit jusqu'aux dernières lignes.
Michel Faber nous entraîne dans une narration d'une habileté machiavélique, doublée d'une fable cruelle sur le fonctionnement souterrain des hiérarchies de pouvoir dans les sociétés fondées sur la marchandise et le profit. Sous la peau est une oeuvre qui échappe à toute classification et qui ne manquera pas tour à tour de fasciner, troubler, voire de choquer le lecteur.

J'ai les yeux ouverts sur ce que fait la pauvreté aux gens.

Tous mes romans parlent de personnes qui s'efforcent de guérir et d'évoluer.

Je suis une femme déchue, mais je vous assure: je ne suis pas tombé. J'ai été poussé.

Je suis solitaire et j'ai toujours été.

"The Crimson Petal and the White" est un livre, et il gagnera ou perdra la confiance de chaque lecteur lorsqu'il commencera à lire ses pages. Cette relation continuera.

De nos jours, sa vie ressemble plus à un journal: sans but, à jour et plein d'événements insignifiants

Pendant des années, j'étais tout à fait un athée militant. Je voulais brûler toutes les églises ou les transformer en emporiums record d'occasion.

Le monde change trop vite. Vous quittez les yeux de quelque chose qui a toujours été là, et la minute suivante, c'est juste un souvenir.

L'histoire se livre à des caprices étranges dans la façon dont il habille ses femmes.

J'étais peu enclin à avoir le statut d'écrivain.

À l'université, l'un de mes domaines d'études était la littérature victorienne, j'ai donc décidé de voir si je pouvais écrire un roman comme étant soigneusement planifié et construit comme ceux de George Eliot, mais avec l'énergie narrative de Dickens.

"A Christmas Carol" est une chose symbolique extravagante - aussi riche en symboles que le pudding de Noël est riche en raisins secs.

Je suis de plus en plus respectueux des gens qui ont la foi et de plus en plus effrayés par eux.

J'ai tendance à traiter les choses émotionnelles très, très lentement.

Dans tout mon travail, je pense que j'explore l'idée que nous sommes des étrangers les uns aux autres, comment il y a une distance énorme qui nous sépare tous.

Mes énergies s'habituent assez rapidement, et l'espace psychique dans lequel je suis quand j'écris est très solitaire, donc j'ai trouvé que plus difficile et plus difficile de revenir.

Les très bons livres ont besoin d'un élément du chaos: quelque chose de bizarre ou inexplicable.

Et vous savez ce que les gens commencent immédiatement à chercher, cinq minutes après leur arrivée quelque part? Vous savez ce que leur pensée? Je vais vous dire: comment vont-ils se faire baiser, et où vont-ils trouver des substances altérant l'esprit.

Je ne me souviens pas très bien de mon enfance pour une raison ou une autre, peut-être un traumatisme d'enfance ou peut-être juste un très mauvais souvenir. Ma première vie a été effacée de mes banques de mémoire.

Le simple fait de mon roman filmé signifie très peu pour moi. Pendant longtemps après la publication de la pétale Crimson en 2002, il semblait que Hollywood allait l'adapter.

Lorsque la personne que vous aimez a un cancer, ils vivent en un sens sur un cancer de la planète. Ils sont dans un endroit où vous n'êtes pas. Et vous ne pouvez pas les suivre.

Un texte peut être superbement écrit, d'une subtilité exquise, profondément significatif, mais semble toujours être un luxe supplémentaire, quelque chose que nous ajoutons au magasin déjà bien approvisionné de notre expérience de lecture.

Si quelqu'un est un méchant de dessin animé, vous pouvez le rejeter, mais s'il se comporte mal, mais vous les aimez un peu, il se met vraiment sous votre peau.

Bien sûr, c'est amusant d'écrire sur une égoïdienne, mais je sais qu'il y aura des critiques qui ne m'ont jamais rencontré, qui ne savent rien de moi, qui va dire que c'est l'autobiographie: il vient de changer les noms d'un Peu de gens, et le reste est totalement tel qu'il était.

L'une des choses que mon succès en tant qu'auteur m'a forcé à affronter est à quel point c'est dysfonctionnel ... c'est peut-être un mot fort, mais à quel point je suis obsessionnel.

Avant de publier, je pensais que les hommes lisent des manuels de voiture ou des livres sur le football. Mais une fois que j'ai commencé à avoir des conversations vraiment sérieuses avec des amoureux masculins de la littérature, je lâche ce préjudice.

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