La guerre est finie pour tout le monde. Sauf pour Zofia. Allemagne, 1945. Zofia, Juive polonaise de 18 ans, a survécu au pire. Réchappée des camps, elle a vu toute sa famille exterminée, à l'exception de son frère Abek, dont elle a été séparée. Difficile de retrouver Abek dans un océan de disparus, avec une mémoire défaillante et sa propre vie à reconstruire. Au fil de son enquête, Zofia traverse la Pologne et l'Allemagne jusqu'à atterrir dans un camp de réfugiés, avec d'autres jeunes rescapés. Cette famille d'adoption l'aidera-t-elle à regarder vers l'avant, ou à renouer avec son passé ?

Un nom sur la liste

La guerre est finie pour tout le monde. Sauf pour Zofia.

Allemagne, 1945. Zofia, Juive polonaise de 18 ans, a survécu au pire. Réchappée des camps, elle a vu toute sa famille exterminée, à l'exception de son frère Abek, dont elle a été séparée.
Difficile de retrouver Abek dans un océan de disparus, avec une mémoire défaillante et sa propre vie à reconstruire. Au fil de son enquête, Zofia traverse la Pologne et l'Allemagne jusqu'à atterrir dans un camp de réfugiés, avec d'autres jeunes rescapés. Cette famille d'adoption l'aidera-t-elle à regarder vers l'avant, ou à renouer avec son passé ?

La jeune fille qui a disparu est juive. 

Il faut que tu la retrouves avant les nazis. 

Amsterdam, 1943. 

Hanneke sillonne à vélo les rues de la ville afin de se procurer au marché noir les marchandises qu'on lui commande. Ses parents ignorent tout de ses activités clandestines. Un jour, l'une de ses clientes lui fait une requête particulière. Il s'agit de retrouver une jeune fille qu'elle cachait chez elle et qui a disparu. Elle s'appelle Mirjam Roodvelt. Elle est juive. 

Un écho vibrant au Journal d'Anne Frank. 

"Monica Hesse, comme John Boyne et Ruta Sepetys, illustre le renouveau de la fiction historique dans la littérature pour adolescents."

Une fille au manteau bleu

Amsterdam, 1943. Hanneke a dix-sept ans. Elle sillonne les rues à vélo afin de dénicher au marché noir les marchandises qu'on lui commande. Un jour, l'une de ses clientes lui fait une requête particulière : retrouver une jeune fille juive disparue, avant les nazis. Elle s'appelle Mirjam et porte un manteau bleu...

La jeune fille qui a disparu est juive. 
Il faut que tu la retrouves avant les nazis. 
 
Amsterdam, 1943. 
Hanneke sillonne à vélo les rues de la ville afin de se procurer au marché noir les marchandises qu'on lui commande. Ses parents ignorent tout de ses activités clandestines. Un jour, l'une de ses clientes lui fait une requête particulière. Il s'agit de retrouver une jeune fille qu'elle cachait chez elle et qui a disparu. Elle s'appelle Mirjam Roodvelt. Elle est juive... 
 
Un écho vibrant au Journal d'Anne Frank. 
"Monica Hesse, comme John Boyne et Ruta Sepetys, illustre le renouveau de la fiction historique dans la littérature pour adolescents."

Amsterdam, 1943. Hanneke sillonne les rues de la ville afin de dénicher des marchandises au marché noir. Un jour, une cliente lui fait une requête particulière, retrouver une jeune fille juive qu'elle hébergeait et qui a disparu. En recherchant la prénommée Mirjam Roodvet, Hanneke découvre les activités secrètes des réseaux d'entraide aux familles juives et entre à son tour dans la clandestinité.

Lorsque Holly Madison, l'ancienne petite amie en chef de HEF, est sortie avec un livre révélateur sur la vie dans le manoir, la révélation la plus bizarre était qu'avant les infâmes orgies de l'homme, toutes les copines live-in devaient mettre en correspondance Pajama en flanelle rose.

À la fin de sa vie, on a beaucoup plus de facilité à imaginer Hugh Hefner achetant à sa petite amie une paire de pantoufles confortable que l'un des corsets en satin que les lapins portaient.

Comme beaucoup de gens, j'ai lu «The Diary of Anne Frank» encore et encore et encore quand je grandissais - je suis toujours complètement abattu par ce qu'il s'agit d'un livre étonnant. Et en tant qu'adolescent, j'ai fait beaucoup de lecture sur les camps de concentration et les vastes horreurs de la guerre.

Cela fait partie de l'expérience américaine: nous traitons avec les moustiques en août, les retards de l'aéroport autour de Thanksgiving, les soins de santé coûteux et le potentiel d'être abattu, à tout moment, par une arme semi-automatique alors que nous essayons de procéder à l'asinée la plus ennuyeuse, la plus précieuse et la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, la plus précieuse, aspects de notre vie quotidienne.

Les gènes sont des choses mystérieuses, toujours imprévisibles après toutes nos recherches, des taches de l'humanité qui peuvent détruire des vies mais, tout aussi souvent, nous apprennent à apprécier l'étonnante merveille de notre existence.

L'écriture de fiction et le journalisme, selon mon expérience, sont vraiment d'excellents terrains de formation l'un pour l'autre.

La cuisine est une chose étrange. Dans les maisons, je parie que ce sont encore des femmes qui font plus de cuisine.

Les gens à travers le temps sont affligés, sont tombés amoureux, sont tombés amoureux. Nous sommes parfois mesquins et parfois héroïques, et nous avons été comme ça pour toujours.

Dans la fiction, vous apprenez à rythmer et comment créer des tensions - ce que vous voulez également dans un très bon article de fonctionnalité de non-fiction.

J'espère que les gens n'arrêteront jamais de se déguiser en Harry Potter. Cela me semble moins comme quelque chose que vous portez parce que vous pensez que c'est une excellente idée de costume et plus comme quelque chose que vous portez parce que vous aimez vraiment porter votre robe Poudlard, et vous n'obtenez vraiment qu'une seule chance par an.

Bien avant que l'écrivain, Gillian Flynn ne soit de populariser le concept de la «fille cool» insupportable, qui n'existe que dans les fantasmes fervents des hommes, Hugh Hefner lui a rêvé, l'a déshabillée et l'a mise dans son magazine.

Je peux plier mon poignet jusqu'à mon avant-bras. Je peux mettre mes doigts en arrière jusqu'à ce qu'ils se reposent sur ma main. Un pouce d'auto-stoppeur pourrait se croiser en un angle à 90 degrés; Le mien ira à 135.

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