Deux critiques américains, Nat Hentoff et Nat Shapiro, ont réuni ici des interviews, des articles, des souvenirs et des lettres des principaux jazzmen des Etats-Unis : Louis Armstrong, Charlie Parker, King Oliver, Dizzy Gillespie, Fletcher Henderson, Stan Getz, Bunk Johnson, Duke Ellington, Fats Waller, Mary Lou Williams, Jo Jones, Jelly Roll Morton, Mezz Mezzrow, Billie Holiday... Ils y racontent l'histoire du jazz et leurs histoires, les débuts à La Nouvelle-Orléans, Chicago dans les années vingt, les extraordinaires jam-sessions à Kansas City, Harlem pendant la Grande Dépression, l'école West Coast... Un ouvrage unique en son genre, savoureux et foisonnant, où les musiciens s'expriment directement et librement, et dont la réédition dans une traduction révisée et augmentée réjouira tous les amateurs de jazz. "La musique, c'est votre propre expérience, vos pensées, votre sagesse. Si vous ne la vivez pas, elle ne sortira pas de votre instrument." Charlie Parker. "Qu'est-ce que le jazz ? Le rythme, le feeling, ça ne s'apprend pas." Coleman Hawkins.

Ecoutez-moi ça ! - L'histoire du jazz racontée par ceux qui l'ont fait

Deux copains flics : un Juif et un Noir. Leur patron : un gueulard. Un flic retraité : antisémite et nazi. De la came, du sang, du rackett. Du jazz aussi, en guise de musique funèbre. Greenwich Village, ou la salle d'attente de l'Enfer.

Le diable et son jazz

Une faune de toxicos et de trafiquants, de putes et de macs, de voleurs et d'assassins... et de flics. Mais en cas de pépin, motus et bouche cousue, ce qui fait que le malheureux Noah Green a bien du mal à enquêter sur les moitiés de défunts retrouvées dans des poubelles. D'autant que la police des polices lui cherche des poux dans la tête.

La police des polices

Nat Hentoff, né à Boston (Massachusetts) le 10 juin 1925 et mort à New York (État de New York) le 7 janvier 2017, est un journaliste, historien, romancier et critique américain de jazz et de musique country.
Au cours de sa longue carrière, il fait paraître de nombreux ouvrages sur le jazz, des romans, biographies, ainsi que de la littérature d'enfance et de jeunesse. Il est également chroniqueur pour de nombreux journaux et magazines américains comme The Village Voice durant plus de 50 ans.

Margot [Hentoff] écrivait régulièrement pour la voix, pour la critique de New York des livres, pour Harper's Bazaar, et elle avait vraiment le style d'écriture le plus distinctif, encore plus que le mien, que je n'ai jamais vu dans cette entreprise.

La personne qui a la forte propriété de la liberté d'expression est celle qui possède la presse.

[John] Le régime de McCarthy a pris fin par les sénateurs qui ont réalisé qu'il était allé trop loin. Ce que nous avons maintenant peut être plus insidieux.

En ce qui concerne le Patriot Act, et toutes les autres choses qu'il a promis qu'il ferait, comme la transparence au sein du gouvernement, [Barack] Obama a regéré ses promesses.

Cette [race] fait toujours partie de ce que [Barack Obama] roule. Sauf que cela aussi diminue.

Les médias ont été très mauvais de nous informer de ce qui se passe. Ils se concentrent sur les choses de surface. Ils ne se concentrent pas suffisamment sur le fait que le quatrième amendement concerne le soutien à la vie et que nous avons besoin d'un retour à la transparence au sein du gouvernement.

Je me sentais mieux dans ma peau que je l'ai fait [appeler Max Askeli commandant Askeli], plutôt que de le penser et de ne pas l'écrire pour avoir peur de ce qui pourrait m'arriver.

[Barack Obama pour être] bien pire [que George W. Bush].

J'ai toujours voulu être avocat, mais je n'ai certainement jamais voulu être un interprète trapèze.

[Bill Shawn] n'a pas beaucoup contrôlé les auteurs, mais il savait ce qu'il voulait.

J'écris une chronique pour la voix du village, ce que j'ai fait depuis des temps immémoriales, et parfois - et des livres. Et j'écris occasionnellement des notes mineures pour les albums records et des articles occasionnels.

Le besoin d'un point de vue pro-vie subit tout ce que vous faites.

Fortune devrait être une dotation nationale pour le maître du jazz artistique.

L'activité Habeas Corpus, c'est-à-dire qu'il [Bill Clinton] n'est pas difficile pour le crime.

A.J. [Muste] est mort à la fin des années 60, je pense. Il avait 81 ans, quelque chose comme ça.

J'ai été présenté au jazz, et c'est devenu une préoccupation et une passion fondamentales depuis.

Les moyennes et les extrémités sont centrales. Si vos moyens sont corrodés, vos extrémités seront corrodées. Et si vous vous battez pour préserver la liberté et que vous utilisez signifie qui éviscérent nos libertés, la fin sera également corrodée.

Être pro-vie est une perspective fondamentale de tout ce que je fais.

Nous devons continuer d'essayer de sauver la Constitution du président.

Mes parents étaient des juifs orthodoxes mais pas des juifs orthodoxes très réguliers. J'étais Bar Mitzvahed et tout ça. Mais Dieu n'a presque jamais été mentionné dans ma famille. Franklin D. Roosevelt l'était.

Ce terme a été utilisé avec l'hyperbole sur les parties du projet de loi sur les soins de santé où les médecins sont mandatés, si les gens sont sur l'assurance-maladie et d'un certain âge ou en maladie physique grave, pour les conseiller sur leurs alternatives de fin de vie. Je ne crois pas que ce soit un panel de mort.

Un moment particulier - et je ne suis pas, à ce jour, tout à fait sûr de ce que j'en pense - j'ai toujours voulu être dans les livres de droit - vous savez, Hentoff contre quelque chose ou autre.

UN J. [Muste] était - comme il aime à le dire, un pacifiste radical.

Il y a suffisamment de gens qui commencent à être activement impliqués pour que nous puissions changer les choses. Et nous devons encourager les autres à s'impliquer.

Nous entendons parler maintenant de la réforme de l'éducation publique. Il y a des milliards de dollars en jeu pour une telle réforme. Mais je n'ai pas entendu Arne Duncan, qui est le secrétaire américain à l'éducation, mentionner une fois l'analphabétisme civique du pays.

Je donnais des conférences à la Columbia Journalism School of Education. Je leur ai demandé ce qui se passait au quatrième amendement. J'ai dit: "Soit dit en passant, savez-vous ce qu'il y a dans le quatrième amendement?" Un étudiant a répondu: "Est-ce le droit de porter des armes?" Il est difficile de croire que ce sont des étudiants brillants.

Les emplois principaux seraient le New Yorker, la voix du village, le Washington Post et - je pense au journaliste quand Max Askeli était là, mais j'ai été licencié du journaliste.

Les gens que j'admire sont ceux qui continuent de produire, de travailler et de continuer.

Le quatrième amendement concerne le soutien à la vie et l'agent en chef est l'agence de sécurité nationale.

Ce qui ne va pas avec cela, c'est pour le moins, pour dire, la crédibilité du magazine. Et si j'écrivais pour [la Nouvelle République], je me sentirais diminué parce que le propriétaire avait fait une telle chose [licencier un journaliste].

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nat_Hentoff

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