The Day May Break was photographed in Zimbabwe and Kenya in late 2020. It is the first part of a global series portraying people and animais that have been impacted by environmental degradation and destruction. The people in the photos have ail been badly affected by climate change—some displaced by cyclones that destroyed their homes, others such as farmers displaced and impoverished by years-long severe droughts. The photographs were taken at five sanctuaries/conservancies. The animais are almost ail long-term rescues, victims of everything from the poaching of their parents, to habitat destruction and poisoning. These animais can never be released back into the wild. As a result, they are habituated, and so it was safe for human strangers to be close to them, and photographed in the same frame at the same time. The fog is the unifying visuai. We increasingly find ourselves in a kind of limbo, a once-recognizabie world now fading from view. Created by fog machines on location, this often renders the animais almost a dream, or a memory of what the people once experienced in their cives. It is aiso an echo of the suffocating smoke from the wildfires, driven by climate change, devastating so much of the pianet. However, in spite of their ioss, these people and animais are the survivors. And therein lies possibility and hope.

The Day May Break

Nick Brandt - This empty world

Nick Brandt : inherit the dust

Dernier ouvrage d'une trilogie débutée en 2005, Chronique d'une terre dévastée achève le parcours de Nick Brandt sur les terres d'Afrique de l'Est. Photographiant au plus près les plus majestueux mammifères, le photographe restitue la beauté de la faune africaine.

Chronique d'une terre dévastée

Je veux avoir un véritable sentiment de connexion intime avec chacun des animaux - avec ce lion ou ce éléphant particulier devant moi. Je crois qu'être aussi proche de l'animal fait une énorme différence dans la capacité des photographes à révéler sa personnalité. Vous ne prendrez pas le portrait d'un être humain à une centaine de mètres et vous vous attendriez à capturer leur esprit; Vous vous rapprocheriez.

Je veux que mes images réalisent deux choses à cet égard - être une élégie pour un monde qui disparaît tragiquement, pour faire voir les gens quelle beauté disparaît. Aussi, pour essayer de montrer que les animaux sont des créatures sensibles tout aussi dignes de vie que les humains.

Peu de photographes ont déjà considéré la photographie des animaux sauvages, comme étant nettement opposé au genre de la photographie de la faune, comme une forme d'art. L'accent a été généralement mis sur la capture du drame des animaux sauvages en action, sur la capture de ce moment dramatique, par opposition à de simples animaux en état d'être.

Vous ne prendrez pas le portrait d'un être humain à une centaine de mètres et vous vous attendriez à capturer leur esprit; Vous vous rapprocheriez.

Mes images sont sans honte idylliques et romantiques, une sorte d'Afrique enchantée. Ils sont mon élégie pour un monde qui disparaît régulièrement, tragiquement.

Ses oeuvres

Ses derniers livres