Clarkesworld is a Hugo and World Fantasy Award-winning science fiction and fantasy magazine. Each month we bring you a mix of fiction, articles, interviews and art. Our September 2023 issue (#204) contains: Original fiction by Nnedi Okorafor ("Stones"), D. A. Xiaolin Spires ("The Queen of Calligraphic Susurrations"), Nika Murphy ("A Guide to Matchmaking on Station 9"), Arula Ratnakar ("Axiom of Dreams"), Djuna ("The People from the Dead Whale"), R. L. Meza ("The Five Remembrances, According to STE-319"), and RJ Taylor ("Upgrade Day"). Non-fiction includes an article by Julie Novakova, interviews with S. L. Huang and Jared Shurin, and an editorial by Neil Clarke.

Clarkesworld Magazine Issue 204 - Clarkesworld Magazine, #204

Lorsqu'elle était encore enfant, Fatima a reçu la visite de la Mort, et elle a tout perdu. Son village, sa famille, et jusqu'à son nom, devenu Sankofa. Son seul trésor était une boîte contenant une graine aux pouvoirs mystérieux, mais on l'en a dépouillée. A présent crainte et respectée comme le sont ceux qui ont une connaissance intime de la Mort, Sankofa erre sur la terre d'Afrique, accompagnée de son renard Movenpick, à la recherche de ce qui a disparu, et de ce qui l'attend.

Sankofa - La fille adoptive de la mort

Dans une Afrique post-apocalyptique, la guerre continue de faire rage. Enfant du viol, rejetée par les siens du fait de sa peau et ses cheveux couleur de sable, Onyesonwu porte en elle autant de colère que d'espoir. Seule sa mère ne semble pas étonnée lorsqu'elle se met à développer les prémices d'une magie unique et puissante. Lors de l'un de ses voyages dans le monde des esprits, elle se rend compte qu'une terrible force cherche à lui nuire. Pour en triompher, elle devra affronter son destin, sa nature, la tradition et comprendre enfin le nom que sa mère lui a donné : Qui a peur de la mort.

Qui a peur de la mort ?

De retour sur Terre après son année passée à la formidable université d'Oomza, Binti a appris être la descendante des Enyi Zinariya, un peuple extraterrestre. Elle est désormais capable de communiquer sans technologie tierce à travers de grandes distances. Mais la découverte de ce nouveau don, qu'elle maîtrise encore difficilement, s'accompagne d'une douloureuse nouvelle : pendant sa retraite dans le désert, les Khoush ont attaqué son village et sa famille a péri dans l'incendie de leur demeure

Binti Tome 2

Un one-shot inédit où l'on retrouve tous les personnages les plus populaires de Marvel, alors qu'Avengers 4 arrive dans les salles obscures avec les mêmes héros et héroïnes. Une ancienne Dora Milaje revient pour attaquer la Panthère Noire, l'homme qu'elle protégeait. Les gardes du corps du souverain du Wakanda vont avoir besoin de l'aide de Spider-Man, des X-Men et des Avengers pour combattre la traîtresse.

Black Panther : pour le wakanda éternel

An award-winning literary author enters the world of magical realism with her World Fantasy Award-winning novel of a remarkable woman in post-apocalyptic Africa.

 Now optioned as a TV series for HBO, with executive producer George R. R. Martin!

 In a post-apocalyptic Africa, the world has changed in many ways; yet in one region genocide between tribes still bloodies the land. A woman who has survived the annihilation of her village and a terrible rape by an enemy general wanders into the desert, hoping to die. Instead, she gives birth to an angry baby girl with hair and skin the colour of sand. Gripped by the certainty that her daughter is different - special - she names her Onyesonwu, which means 'Who fears death?' in an ancient language.

 It doesn't take long for Onye to understand that she is physically and socially marked by the circumstances of her conception. She is Ewu - a child of rape who is expected to live a life of violence, a half-breed rejected by her community. But Onye is not the average Ewu. Even as a child, she manifests the beginnings of a remarkable and unique magic. As she grows, so do her abilities, and during an inadvertent visit to the spirit realm, she learns something terrifying: someone powerful is trying to kill her.

 Desperate to elude her would-be murderer and to understand her own nature, she embarks on a journey in which she grapples with nature, tradition, history, true love, and the spiritual mysteries of her culture, and ultimately learns why she was given the name she bears: Who Fears Death.

Who Fears Death

World Fantasy Award 2011.Afrique, après l'apocalypse. Le monde a changé de bien des façons, mais il est une région où les génocides intertribaux continuent d ensanglanter la terre.Une femme survit à l'anéantissement de son village et au viol commis par un général ennemi.Elle erre dans le désert dans l espoir d y mourir, mais donne naissance à une petite fille dont la peau et les cheveux ont la couleur du sable.Persuadée que son enfant est différente, extraordinaire, elle la nomme « Onyesonwu », ce qui signifie, dans une langue ancienne : « Qui a peur de la mort ? »À mesure qu Onye grandit, elle comprend peu à peu qu'elle porte les stigmates physiques et sociaux de sa violente conception.Des pouvoirs magiques aussi insolites que remarquables commencent à se manifester chez elle alors qu elle est encore enfant. Sa destinée mystique et sa nature rebelle la poussent à quitter son foyer pour se lancer dans un voyage qui la forcera à affronter sa nature, la tradition, l histoire, l amour, les mystères spirituels de sa culture, et à apprendre enfin pourquoi elle a reçu le nom q' elle porte : Qui a Peur de la Mort.

Afrique, après l’apocalypse. Le monde a changé de bien des façons, mais il est une région où les génocides intertribaux continuent d’ensanglanter la terre. Une femme survit à l’anéantissement de son village. Elle erre dans le désert dans l’espoir d’y mourir, mais donne naissance à une petite fille dont la peau et les cheveux ont la couleur du sable.Persuadée que son enfant est différente, extraordinaire, elle la nomme « Onyesonwu », ce qui signifie, dans une langue ancienne : « Qui a peur de la mort ? » À mesure qu’Onye grandit, elle comprend peu à peu qu'elle porte les stigmates physiques et sociaux de sa violente conception.Des pouvoirs magiques aussi insolites que remarquables commencent à se manifester chez elle alors qu’elle est encore enfant. Sa destinée mystique et sa nature rebelle la poussent à quitter son foyer pour se lancer dans un voyage qui la forcera à affronter sa nature, la tradition, l’histoire, l’amour, les mystères spirituels de sa culture, et à apprendre enfin pourquoi elle a reçu le nom qu’elle porte : Qui a Peur de la Mort.

Le silence est la meilleure réponse à un imbécile.

Je pense que la fiction spéculative a moins de conditions tacites que la fiction littéraire pour les écrivains de couleur.

Bien que je savais que je n'aurais pas dû m'en soucier, les mots font encore mal comme des pinces et des pincements peuvent être très douloureux lorsqu'ils sont faits au même endroit plusieurs fois de suite.

N'est-ce pas la pire douleur de savoir qu'il y a un remède pour la maladie de votre enfant et ne peut pas l'obtenir? Oh, ce doit être l'un des pires types de douleur au monde.

Un de mes pieds est de toute une taille plus longue que l'autre. L'un est la taille dix, l'autre est de taille onze.

Créatures imparfaites et imparfaites! C'est ce que nous sommes tous les deux, Oga! C'est ce que nous sommes tous!

J'essaierais d'écrire une fiction «réaliste», et quelqu'un volerait, ou il y aurait un trou noir plein de démons ou une fille qui attirait des grenouilles.

Il y a une histoire dans «Kabu Kabu» intitulée «Bakasi Man» où j'ai pu explorer l'esprit d'un «mauvais homme». C'était amusant.

J'adore et je suis terrifié par l'eau, en particulier l'océan.

« Qui a peur de la mort » aborde la poussée et l'attraction dans la culture africaine auxquelles les femmes puissantes sont confrontées lorsque leur culture a certains devoirs et croyances qui peuvent les étouffer.

La science-fiction est le seul genre qui permet aux écrivains africains d'envisager un avenir de notre point de vue africain.

Tu n'es pas fou. Vous êtes juste prêt à changer.

J'adore la vie océanique. Je suis fasciné qu'une grande partie de cela reste inexplorée par les êtres humains. L'eau de mer diluée consistait en la même concentration d'éléments et de minéraux que le plasma sanguin. Ils ont aussi la même quantité de sodium.

Nous avons pleuré et sangloté et pleuré et saigné des larmes. Mais quand nous avons terminé, tout ce que nous pouvions faire était de continuer à vivre.

Je vois le monde comme un lieu magique. Par conséquent, il était naturel que la magie soit passé de ma fiction comme la fumée.

C'est plus amusant d'écrire des méchants. Ils sont plus un défi, et je reçois une sorte de plaisir malade de se plonger dans leur esprit. Il y a rarement vide, et il y a presque toujours une intelligence profonde.

Les gens s'inspirent d'écrire, de peindre, de dessiner, de chanter, de sculpter, de danser de différentes manières. Et il existe de nombreux types d'art. Mais la seule chose qu'ils ont tous en commun, c'est qu'ils sont tous une sorte de magie. Parfois, la magie coule de ses doigts, d'autres fois, il est transféré à la personne qui connaît le résultat. La magie a toujours travaillé de manière mystérieuse.

J'ai grandi en lisant Stephen King, Peter Straub, Clive Barker, Robert McCammon, les livres de non-fiction d'Isaac Asimov et Roald Dahl.

Il est normal de se soucier de ce que les autres pensent, mais vous devriez donner un peu plus de poids à ce que vous, vous-même, pensez ... L'habitude de penser est l'habitude de gagner en force. Vous êtes plus fort que vous ne le croyez.

Tout au long de la nuit, elle s'est battue. Ou s'est battue pour se connaître. Elle s'est effondrée puis s'est rassemblée, puis elle s'est encore effondrée et s'est rassemblée, encore et encore.

Je vais dans l'océan pour me calmer, pour renouer avec le Créateur, pour être juste heureux.

C'est drôle comme tout ce que les gens ne comprennent pas semblent être «maudits».

Utilisez vos pouvoirs pour le bien au lieu du mal

J'adore écrire sur les monstres et la nourriture.

J'ai claqué la porte sur le visage de l'enfant, un cri horrible piégé dans ma gorge.

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