Un soir d'été, onze passagers embarquent à bord de l'avion privé de David Bateman, un magnat de la presse. Seize minutes plus tard, l'avion s'abîme en mer, au large de New York. Deux personnes survivent miraculeusement à la catastrophe : Scott Burroughs, un artiste peintre sur le retour, et JJ Bateman, quatre ans, désormais orphelin et héritier d'une immense fortune. Alors que l'enquête débute, la pression médiatique menace de rendre la situation incontrôlable. D'autant qu'on découvre des liens insoupçonnés entre les victimes... S'agit-il d'un simple accident ou d'une machination?

Avant la chute

Un soir d'été, onze personnes embarquent à bord de l'avion privé de David Bateman, un magnat de la presse. Onze privilégiés, dont Scott Burroughs, un artiste peintre sur le retour. Seize minutes plus tard, l'avion s'abîme en mer, entre l'île de Vineyard et New York. Deux personnes survivent miraculeusement à la catastrophe : Scott, et JJ Bateman, quatre ans, désormais orphelin et héritier d'une immense fortune.
L'enquête sur les circonstances du crash débute sous le feu des projecteurs, et la pression médiatique menace de rendre la situation incontrôlable. D'autant que les investigations révèlent d'étranges coïncidences, qui semblent indiquer que le drame n'est pas un simple accident. Les passagers se sont-ils vraiment retrouvés par hasard sur le même vol ? Ou leur rencontre résulte-t-elle d'un plan machiavélique ?

"Quand il avait sept ans, il était fou de sa balançoire. Il poussait sur ses pieds et pointait les talons vers le ciel en criant : "Encore ! Encore !" C'était un enfant vorace, infatigable, et tellement vivant qu'à côté de lui tout le monde paraissait malade, immobile. La nuit, il se couchait sur son lit défait, à moitié habillé, le front plissé, les poings serrés, comme une tornade qui n'aurait plus d'air. Qui était ce petit garçon et comment devint-il un homme jouant avec des balles de pistolet dans une chambre de motel ? Qu'est-ce qui le poussa un jour à plaquer sa vie tranquille pour commettre un acte barbare ? J'ai lu les rapports. J'ai regardé les images. Mais la réponse continue de m'échapper. Plus que tout, je veux savoir. Car voyez-vous, je suis son père". La vie de Paul Allen bascule un soir, après l'assassinat du favori à l'élection présidentielle. Le suspect n'est autre que son fils, Daniel. Commence alors une longue quête pour reconstituer les derniers mois de la vie de son fils, rétablir la vérité et enfin affronter leur passé.

Le bon père

Un soir d'été, onze personnes embarquent à bord de l'avion privé de David Bateman, un magnat de la presse. Onze privilégiés, dont Scott Burroughs, un artiste peintre sur le retour. Seize minutes plus tard, l'avion s'abîme en mer, entre l'île de Vineyard et New York. Deux personnes survivent miraculeusement à la catastrophe : Scott, et JJ Bateman, quatre ans, désormais orphelin et héritier d'une immense fortune. L'enquête sur les circonstances du crash débute sous le feu des projecteurs, et la pression médiatique menace de rendre la situation incontrôlable. D'autant que les investigations révèlent d'étranges coïncidences, qui semblent indiquer que le drame n'est pas un simple accident. Les passagers se sont-ils vraiment retrouvés par hasard sur le même vol ? Ou leur rencontre résulte-t-elle d'un plan machiavélique ?

"Quand il avait sept ans, il était fou de sa balançoire. Il poussait sur ses pieds et pointait les talons vers le ciel en criant : "Encore! Encore!" C'était un enfant vorace, infatigable, et tellement vivant qu'à côté de lui tout le monde paraissait malade, immobile. La nuit, il se couchait sur son lit défait, à moitié habillé, le front plissé, les poings serrés, comme une tornade qui n'aurait plus d'air. Qui était ce petit garçon et comment devint-il un homme jouant avec des balles de pistolet dans une chambre de motel? Qu'est-ce qui le poussa un jour à plaquer sa vie tranquille pour commettre un acte barbare? J'ai lu les rapports. J'ai regardé les images. Mais la réponse continue de m'échapper. Plus que tout, je veux savoir. Car voyez-vous, je suis son père." 

La vie de Paul Allen bascule un soir, après l'assassinat du favori à l'élection présidentielle. Le suspect n'est autre que son fils, Daniel. Commence alors une longue quête pour reconstituer les derniers mois de la vie de son fils, rétablir la vérité et enfin affronter leur passé.

From the award-winning creator of the TV show Fargo and author of the bestseller Before the Fall, an intense, psychological novel about one doctor's suspense-filled quest to unlock the mind of a suspected political assassin: his twenty-year old son. As the Chief of Rheumatology at Columbia Presbyterian, Dr. Paul Allen's specialty is diagnosing patients with conflicting symptoms, patients other doctors have given up on. He lives a contented life in Westport with his second wife and their twin sons—hard won after a failed marriage earlier in his career that produced a son named Daniel. In the harrowing opening scene of this provocative and affecting novel, Dr. Allen is home with his family when a televised news report announces that the Democratic candidate for president has been shot at a rally, and Daniel is caught on video as the assassin.  Daniel Allen has always been a good kid—a decent student, popular—but, as a child of divorce, used to shuttling back and forth between parents, he is also something of a drifter. Which may be why, at the age of nineteen, he quietly drops out of Vassar and begins an aimless journey across the United States, during which he sheds his former skin and eventually even changes his name to Carter Allen Cash. Told alternately from the point of view of the guilt-ridden, determined father and his meandering, ruminative son, The Good Father is a powerfully emotional page-turner that keeps one guessing until the very end. This is an absorbing and honest novel about the responsibilities—and limitations—of being a parent and our capacity to provide our children with unconditional love in the face of an unthinkable situation.

Le Bon père

Noah Hawley, né en 1967 à New York, est un écrivain, scénariste et réalisateur américain. Auteur de roman policier, il est notamment le créateur de la série télévisée américaine Fargo.

Je n'écris pas ces histoires pour les récompenses qui me reviennent. Je les écris parce que je dois les écrire. C'est une maladie à un certain niveau. C'est une contrainte.

Je suppose que j'ai toujours cette devise: "Avec quoi puis-je m'en tirer?" Et l'imprévisibilité dans le film - c'est la chose la plus difficile qui soit.

Ce qui est génial, c'est que chaque support a un ensemble unique de choses qu'il fait et fait bien. Le film est un support visuel, et évidemment, vous ne pouvez pas intégrer un livre entier en deux heures à moins que vous ne soyez vraiment économique à ce sujet. De toute évidence, ils disent qu'une image vaut mille mots, et à un certain niveau, c'est en quelque sorte vrai.

L'Amérique est un pays immense, rempli de grandes étendues de terres ouvertes. Si vous ne faites pas attention, vous pouvez vous y perdre - émotionnellement, mentalement, spirituellement.

Pour une raison quelconque, j'ai tendance à prendre les choses qui se passionnent vraiment. Si vous faites une liste de personnes que vous ne voulez pas offenser, ce sont les lecteurs de Vonnegut, les fans de bandes dessinées et les amateurs de Coen Brothers.

Je pense que le premier travail d'un écrivain est de divertir, même dans les romans: raconter une histoire convaincante qui pousse le lecteur vers une fin. En même temps, les meilleures histoires sont axées sur les personnages.

Les années 50 et les années 70 sont en quelque sorte similaires en ce qu'ils sont à la fois de paranoïa majeure en Amérique.

Il y a une différence entre les acteurs de cinéma et le jeu télévisé, en particulier avec les stars de cinéma, c'est-à-dire qu'ils savent que leur visage mesure 20 pieds de haut sur l'écran. Ils savent qu'ils n'ont pas à faire grand-chose.

Je me suis assis pour faire une pause dans l'écriture d'un livre et j'ai écrit une fonctionnalité de spécifications qui finirait par être le film «Lies & Alibis» avec Steve Coogan.

Je me considère comme un écrivain de premier tableau, donc quand je m'assois pour écrire quelque chose, le premier brouillon est généralement assez proche du projet de fin. Il y aura des ajustements en cours de route, mais ce n'est pas comme si j'allais 20 pages et le jeter et recommencer.

La dernière chose que vous voulez, c'est être désespéré à Hollywood.

L'écriture est cet acte étrange, non? Pour s'asseoir et taper, ou écrire à la main, ou tout ce que font les gens. Et cela nécessite une vraie discipline parce que c'est vraiment un pur acte de volonté que vous créez quelque chose, et que vous le faites par vous-même.

J'adore l'idée que la salle de montage est la dernière fois que vous écrivez. Vous devriez toujours résoudre de manière créative des problèmes même à ce moment-là. Ce n'est vraiment que lorsque vous êtes verrouillé que vous pouvez appeler ça.

Ce qui rend quelque chose de tragique, c'est qu'il aurait pu être évité à plusieurs points.

Ramener la collecte de timbres et ramener Bridge semble être un assez bon moyen de combattre le monde moderne.

Je reste un énorme fan de «Game of Thrones».

Il n'y a toujours rien de tel qu'un livre pour vraiment vous faire sentir que vous avez disparu dans un monde.

Les gens, ils ne savent pas se plier; Ils se brisent.

La meilleure stratégie pour faire en sorte que les gens se soucient de ce qui se passe est s'ils sympathisent avec les deux côtés. Si vous avez juste un méchant avec un V Capital V, il devient très bidimensionnel.

Tout le monde dit toujours que le conflit est un drame, et je suis d'accord, mais je ne pense pas non plus que vous ayez besoin de drame partout. Ou conflit partout.

L'une des choses que j'aime dans les films de Joel et Ethan Coen est qu'il y a cet élément de l'éthéré et du mythique avec lequel ils jouent.

Si je dois écrire dans un avion ou me lever tôt pour écrire ou écrire tard, vous devez juste vous asseoir. Lorsque vous avez le temps, vous devez être en mesure de le faire.

Il y a le métier d'agir, puis il y a une qualité. Il y a une qualité que quelqu'un a.

Lorsque vous êtes un écrivain dans une émission, votre travail consiste à écrire dans la voix du coureur d'émission, vraiment.

Je me considère comme un écrivain de premier tableau, donc quand je m'assois pour écrire quelque chose, le premier brouillon est généralement assez proche du projet de fin.

Les histoires «X-Men» sont les histoires d'étrangers: des gens qui ne s'intégrent pas dans la société normale et sont ostracisés; C'est une métaphore pour le sexe, la race ou l'orientation sexuelle.

Dans un livre, vous pouvez vraiment parler d'idées, de thèmes et de personnages d'une manière plus profonde que vous ne pouvez même sur l'écran.

Il n'y a qu'une seule note que vous avez jamais diffusée et c'est clarté.

La télévision consiste à apprendre à écrire dans la voix de quelqu'un d'autre, donc si vous le faites assez longtemps sans vendre votre propre projet, ils supposent que vous n'avez pas votre propre voix; Tu es juste une bonne imitation.

Je ne pense pas que nous devons souffrir personnellement pour faire un grand art. Si vous êtes prêt et organisé, et que vous savez ce que vous recherchez, vous pouvez faire un grand art et ensuite rentrer chez vous.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Noah_Hawley

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