In this brilliant narrative of the Warsaw Uprising, British historian Norman Davies offers a stirring account of one of the defining moments of the 20th century. 1944. WWII was tearing Europe apart. To the Wehrmacht, Nazi-occupied Warsaw represented the the last line of defence against the advancing Red Army. So, when the Red Army reached the river Vistula, the people of Warsaw believed that liberation had come. The city waited for salvation. Little did it know, it was in the eye of a storm. Instead of liberating, the Soviets remained where they were, allowing the Wehrmacht time to regroup and Hitler to order that the city of Warsaw be razed to the ground. For 63 days the Resistance fought on in the cellars and the sewers. Defenceless citizens were slaughtered in their tens of thousands. One by one the city's monuments were reduced to rubble, watched by Soviet troops on the other bank of the river. Vividly and authoritatively told by one of our greatest historians, Rising '44 is the poignant narrative of Warsaw's 63 days.

Rising '44 - The Battle for Warsaw

La Pologne semble avoir réémergé à la surface de la conscience européenne dans le bref intermède qui sépara les accords de Gdansk d'août 1980 du coup d'Etat de décembre 1981. On avait jusqu'alors fini par oublier que ce pays, avant d'être par une nouvelle tragédie de son histoire un pays d'Europe de l'Est, avait longtemps été, au même titre que les contrées occidentales, une terre de l'Europe. On conclut donc trop vite que les tristes événements de Varsovie n'étaient le symptôme que d'une crise de régime.Il aura fallu toute la science et la maîtrise internationalement reconnues de Norman Davies pour comprendre enfin, à travers cette Histoire de la Pologne, que nous sommes les témoins des convulsions d'une nation. Car tout aujourd'hui se noue: l'héritage de l'humiliation d'un pays à qui le régime communiste fut brutalement imposé; l'héritage d'une défaite où de 1939 à 1947, Hitler et Staline s'acharnèrent à détruire toutes les élites politiques, intellectuelles et culturelles du pays; l'héritage du désenchantement, lorsque dans l'entre-deux-guerres l'indépendance enfin recouvrée avait le goût amer des crises de régime; l'héritage de la maîtrise spirituelle, lorsque de 1795 à 1918, la Pologne souffrante des Partitions affirmait dans sa liberté aliénée sa pleine appartenance à la grande culture européenne; l'héritage enfin d'une des plus anciennes cultures de notre continent.Norman Davies tisse dans le court, moyen et long temps les lignes de force d'un peuple et d'une nation qui ont toujours su retrouver, contre des régimes mensongers, la mémoire longue de leur existence.

Histoire de la Pologne

Ivor Norman Richard Davies, qui signe Norman Davies, né le 8 juin 1939 à Bolton dans le Grand Manchester, est un historien britannique, spécialiste du Royaume-Uni, de la Pologne et de l'Europe.

Je ne vois pas pourquoi un livre ne devrait pas être intellectuellement sain, divertissant et amusant à lire. Les historiens qui écrivent l'histoire académique, qui est illisible, perdent essentiellement leur temps.

Le Royaume-Uni n'est pas, et n'a jamais été un État-nation.

J'ai d'abord rencontré l'histoire de l'armée Anders par accident. Quand je suis allé pour la première fois à Oxford dans les années 1960, j'ai découvert que certains de mes voisins proches avaient été sur le sentier Anders.

Pourquoi certaines choses se souviennent-elles et d'autres oubliées? C'est le thème que je veux poursuivre sur la Seconde Guerre mondiale.

La confection terroriste de 1932-1933 était un double usage par produit de collectivisation, conçu pour supprimer le nationalisme ukrainien et la concentration la plus importante de paysans prospères à un lancer.

Le gouvernement du droit et de la justice ne veut pas qu'un tas d'historiens étrangers décident de ce qui se passe dans «leur» musée.

À la fin de l'Empire romain, à l'époque byzantine, l'Empire rétrécit et rétrécit jusqu'à ce qu'il se compose d'une ville, de Constantinople, et les Turcs ottomans peuvent l'entourer.

Un mauvais historien est encore plus dangereux que du bois documentaire mort.

C'est notre vanité qui nous fait penser que ce qui fait partie de notre monde aujourd'hui doit être stable et sécurisé.

La politique de la «politique de la mémoire» semble fonctionner en grande partie par insinuation.

L'idée que les historiens écrivent la version définitive de quelque chose qui durera pour toujours est moins courant qu'auparavant.

J'ai entendu parler du général Anders et de son armée il y a plus de 50 ans. Je l'admirais alors et je l'admire encore; Et je ressens un lien spécial avec les hommes, les femmes et les enfants qu'il a sauvés de la faim, des maladies et des abus officiels. La leur est une histoire d'endurance et de courage qui donne une foi dans l'esprit humain.

Nos cartes mentales sont déformées par qui sont les «gagnants» de l'histoire et qui sont les pouvoirs d'aujourd'hui.

L'Irlande du Nord doit, à l'avenir, être absorbée par la République irlandaise. Le Pays de Galles et l'Écosse doivent passer de la dévolution au statut indépendant complet. Les quatre nations de ces îles doivent s'engager absolument au projet d'une Europe unie.

Les jeunes doivent apprendre dans un cocon rempli de faux optimisme. Contrairement à leurs parents et grands-parents, ils grandissent avec très peu de sens du temps impitoyable.

Il est important de se rappeler que Jean-Paul II n'était pas un Américain ou un Français.

Aucune des nations modernes d'Europe n'est vraiment originaire.

L'histoire doit donner aux Polonais le principal crédit pour avoir mis le bloc soviétique à genoux.

La fragmentation de l'Europe met l'image historique plus large hors de portée.

Pourquoi un État dure-t-il mille ans? Pourquoi pas 999? Pourquoi pas mille et un? Quels sont les événements qui réduisent enfin le tout? C'est ce que je demande.

Les États semblent avoir un cycle de vie naturel, et tout peut se produire pour les transformer en autre chose, et que quelque chose pourrait être une mauvaise chose.

La Pologne est le pont naturel entre l'est et l'ouest.

Celle-ci certainement pour quiconque sur le chemin d'une avalanche est la suivante: se tenir toujours n'est pas une option.

La question est de savoir si une Europe confiante sera un rival pour l'Amérique du Nord - ou s'ils travailleront ensemble et deviendront un bloc plus unifié.

Je l'aide toujours un peu quand les gens disent que je suis un champion des poteaux, car j'ai toujours eu une vision très multinationale de la Pologne.

Les gens ne voient pas très souvent leur mort venir ... Regardez la Révolution française: le roi de France pensait dans les années 1780: «Nous faisons plutôt mieux que mon père dans les années 1770».

La fabrication du mythe est absolument nécessaire pour créer les images simplifiées que les gens vivent.

La plupart des poteaux sont par le tempérament «agin».

Les gagnants de Wars commencent debout dans les enjeux de la Souvenir d'après-guerre.

Chaque côté essaie de légitimer leurs objectifs en attrayant l'histoire, en choisissant parfois sélectivement des épisodes et d'autres fois simplement en inventant l'histoire.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Norman_Davies

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