Fasciné par l'Afrique et par les textes de Karen Blixen, Peter Beard a vingt-quatre ans lorsqu'il s'installe au Kenya. Il y développera une oeuvre d'une exceptionnelle originalité. Par ses photographies de grands fauves, de crocodiles et d'éléphants, par ses images d'un pays dont il vit le tragique au quotidien, dans sa pureté et dans sa sauvagerie, par son journal enfin où il mêle en un gigantesque collage les témoins de son "africanité" et les souvenirs d'une vie civilisée qu'il ne renie pas, Peter Beard est un cas unique dans l'histoire de la photographie contemporaine.

Peter Beard

"Plus l'homme blanc s'est enfoncé en Afrique, plus la vie s'y est effacée, quittant les plaines, le bush... jusqu'à disparaître en hectares de trophées, de peaux et de carcasses". - Peter BeardPublication phare sur l'Afrique, The End of the Game allie le texte capital de Peter Beard à ses remarquables photographies illustrant la surpopulation et la famine dont souffrent des dizaines de milliers d'éléphants, de rhinocéros et d'hippopotames dans les plaines du Tsavo, au Kenya, et les parcs d'Ouganda durant les années1960 et 1970. Beard nous offre, grâce à plus de vingt ans de recherches et d'expériences, un puissant et poignant témoignage sur les dégâts causés par l'intervention humaine en Afrique. Ses propres textes et images sont complétés par des photographies historiques et des écrits d'entrepreneurs, d'explorateurs, de missionnaires et de chasseurs de gros gibier, dont la quête d'aventure et de "progrès" a changé la face d'un continent : Theodore Roosevelt, Frederick Courteney Selous, Karen Blixen (Isak Dinesen), Philip Percival, J. A. Hunter, Ernest Hemingway et J. H. Patterson. Dans cette édition spéciale cinquantenaire, limitée à 5. 000 exemplaires et imprimée en bichromie intense, TASCHEN republie The End of the Game, accompagné d'un avant-propos mis à jour de Paul Theroux, écrivain voyageur et romancier mondialement connu. Abordant des thèmes comme la distance par rapport à la nature, la densité et le stress, et la perte du sens commun, ce document incontournable résonne toujours aujourd'hui, dans un contexte de crises environnementales croissantes déjà d'actualité il y a un demi-siècle.

The End of the Game

AUCUN THEME DE L'HISTOIRE MODERNE n'a autant captivé l'imagination que celui de l'Ouest américain et aucune représentation de cette épopée n'a surpassé les spectacles du Wild West original. Sur cette scène inégalée, les acteurs étaient eux-mêmes d'authentiques héros : Buffalo Bill Cody, Texas Jack Omohundro, Wild Bill Hickok, Captain A. H. Bogardus, Annie Oakley, Doc Carver, Lilian Smith, Captain Jack Crawford (" L'Eclaireur Poète des Plaines "), Sitting Bull et ses Indiens légendaires, Pawnee Bill et May Lillie. Ces vedettes et supervedettes pionnières sont les prédécesseurs des personnages du cinéma et de la télévision des années plus récentes et de la troupe du spectacle de Disneyland-Paris.
L'Ouest Sauvage de Buffalo Bill dresse le panorama de ces personnages pittoresques, qui ont façonné l'image de l'Ouest pour le monde entier. Cet ouvrage présente les accoutrements et les costumes originaux et souvent flamboyants, qui faisaient souvent tout le sel des représentations de ces vedettes et il rend hommage à des personnages tels que William Mathewson, reconnu par Cody lui-même comme " le véritable Buffalo Bill ".
Les nombreuses illustrations viennent de la collection Michael del Castello sur l'Ouest américain, tandis qu'un chapitre révèle les richesses du Centre Historique Buffalo Bill, Wyoming et du Musée Autry de l'Héritage de l'Ouest de Los Angeles, Californie.
Cody et ses contemporains ont fait revivre l'Ouest à des millions de spectateurs grâce à leurs tournées du Wild West Show en Amérique et en Europe. Abondamment illustré et sans égal sur le sujet, l'Ouest Sauvage de Buffalo Bill est un document de valeur pour quiconque s'intéresse à la plus fascinante collection de souvenirs sur l'Amérique et à cette saga exceptionnelle qu'est l'histoire de l'Ouest.
Des spectacles originaux sur le Wild West de P. T. Barnum à Hoboken (New Jersey), aux représentations à grand spectacle de vedettes telles que Buffalo Bill et Annie Oakley, on peut voir les armes et les matériels de ces aventuriers qui ont séduit les têtes couronnées d'Europe et fait connaître la saga du Wild West américain au monde entier, introduisant en même temps les noms de Colt, Winchester, Wells Fargo et le Far West dans la légende américaine.
Dans cet ouvrage exceptionnel, les auteurs apportent la contribution la plus spectaculaire, la plus somptueuse et la plus détaillée sur Buffalo Bill et sur les étapes du spectacle du Wild West.
L'Ouest Sauvage de Buffalo Bill est une chronique incomparable, réalisée grâce à des décennies de recherches et de collectes, enrichies des images des maîtres-photographes Peter Beard et Douglas Sandberg, des documents et des archives de musées ou de collections privées, en particulier celle de Michael del Castello, présentée au Royal Armouries Museum de Leeds pour l'exposition temporaire de l'été 1999 : " Buffalo Bill's Wild West ".
Avec plus de 225 planches en couleur et 160 illustrations en noir et blanc, les armes, les affiches, les photos, les costumes, les selles, les équipements, les diligences et, pour la première fois, le chariot-armurerie Winchester du Buffalo Bill's Wild West, sont ramenés à la vie. Les illustrations exceptionnelles, finement détaillées, comprennent plus de 50 affiches et documents publicitaires, plus de 100 photos cartonnées, de nombreuses armes historiques, des objets de publicité, des cartes de visite, et des souvenirs sur le monde du spectacle.
Tous les grands champions de tir sont présentés : Buffalo Bill Cody, Annie Oakley, Frank Butler, Doc Carver, Johnny Baker, Pawnee Bill, Lilian Smith, Captain A. H. Bogardus et ses fils, Captain E. E. Stubbs, Curtis Liston, Arizona Joe et beaucoup d'autres, qui sont autant de grandes célébrités du sport et du spectacle de leur époque.
Se situant dans la série des ouvrages à succès : Colt, une légende américaine - Winchester, une légende américaine - L'Ouest américain, ce nouvel ouvrage couvre une période fascinante de l'histoire et du spectacle que l'on ne reverra plus jamais.

L'OUEST SAUVAGE DE BUFFALO BILL. - Une légende américaine

Nous ajoutons un milliard de personnes toutes les décennies. Nous ne sommes que des médecins de spin. Tout ce que nous faisons est censé être grand, et pourtant c'est toujours au détriment de la diversité et de la nature. Nous sommes comme des éléphants. L'écologie de l'éléphant est plus similaire à l'homme que toute autre.

Je n'ai jamais obtenu de sortie d'une personne. Je ne suis pas un homme d'affaires; Je suis du côté du bon sens. Libère la ruine de l'atmosphère de la photographie.

Le monde entier est une gale. Le but est de le choisir de manière constructive.

À New York, je vis sur un tas de compost de toutes les choses que j'accumule.

La vie n'est qu'un film des doigts. Avouons-le. Et n'importe quel petit morceau - vous pouvez l'étendre ou l'enrichir, je pense que vous voulez pousser cela et le faire.

C'est un tel gaspillage, sommeil. Tu es juste allongé là.

L'institution du mariage devrait être réexaminée en raison de sa claustrophobie écrasante. Les chances sont empilées contre la spontanéité et l'effermescence. C'est une institution qui a été provoquée pour la famille et les enfants, mais biologiquement, c'est très non naturel. C'est le masochisme et la torture de la façon dont il a été organisé.

Un artiste qui proclame partout que l'art qu'il fait est de l'art commet probablement une grave erreur. Et c'est une erreur que j'essaie de ne pas faire.

J'ai eu quelques moments de surbrillance au début des années 60 quand je faisais beaucoup de frottements. J'ai utilisé afta; C'est un produit chimique incroyable. Si vous le versez sur quelque chose et que vous frottez, vous obtenez des résultats incroyables. Avant cela, j'ai utilisé du liquide plus léger et, bien, j'ai toujours aimé le sang. Tout le monde pense que je suis très malade, mais le fait est que le sang est meilleur que n'importe quelle encre ou peinture.

Je suis pour la conservation, mais c'est surtout un con. C'est le problème. C'est sentimental. Achetez un éléphant un verre, un lion un acre.

Pendant longtemps, j'ai été extrêmement irrité d'être photographié, puis j'ai cessé de m'en préoccuper. La photographie est un cliché nauséabond, mais elle a beaucoup à offrir. Elle permet d'en apprendre beaucoup sur une personne. Vous exagérez la conscience. La photographie épaissit la vie.

Je suis un évasion. Je ne suis pas un planificateur; Je n'ai jamais pris de décision sur quoi que ce soit dans ma vie. La bonne chose à propos de l'Afrique est que vous pouvez vous échapper pour toujours. Vous pouvez faire ce que vous voulez sans que quelqu'un regarde par-dessus votre épaule.

J'ai fait une vie pour moi en Afrique qui était aussi loin que vous pouviez passer de l'école d'art à Yale.

Étant si pathétique, je ne lis pas. Je fais juste ... faire des choses - écrire des interviews que vous ne pouvez pas lire, sur des photos d'empreintes de pas et de choses comme ça. J'aime un peu l'idée de clouer la chose et de ne pas vraiment en montrer trop. Il y a tellement de choses que vous pouvez prendre pour le collage de nos jours.

Dans le monde des dessins animés de haut niveau, mon héros admiré numéro un serait Chas Addams - vraiment un artiste de haut niveau que le «New Yorker» a eu la chance de trouver et d'employer.

J'apprends que la pression humaine sur la faune devient de plus en plus dangereuse. Vous devez être plus alerte parce que plus d'animaux ont été poussés, blessés, soumis à un harcèlement humain, embusqué, toutes sortes de stress. Quand ils attaquent, c'est totalement prévisible.

Comme la société, le journal est un monde de secrets inutiles. Tout est là, mais il n'y a rien.

Je pense que la caméra est une merveilleuse machine, n'est-ce pas? Et ne pas prendre des photos dans ce siècle est fou.

J'avais une grand-mère très avancée, la mère de ma mère, qui voulait m'acheter une caméra. Mes parents ne la laisseraient pas. Finalement, elle a gagné et j'ai eu une caméra vers 1948, un Voigtlander.

J'aime les choses qui ne ressemblent pas au contrôle. C'est comme la vie elle-même. Vous apprenez simplement à bénéficier d'accidents et de chances que vous prenez.

Cela ne me dérange pas le mot «dilettante». Un dilettante signifie quelqu'un qui fait ce qu'il aime.

Les éléphants sont comme des humains. Ils sont très intelligents, très logiques.

La conservation est destinée aux coupables sur Park Avenue avec des caniches et des piétons.

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