Les Maîtres d'Hollywood - volume 2 réunit neuf entretiens menés par Peter Bogdanovich avec quelques-uns des plus grands noms du cinéma américain : Alfred Hitchcock, Edgar G. Ulmer, Otto Preminger, Joseph H. Lewis, Chuck Jones, Don Siegel, Frank Tashlin, Robert Aldrich, Sidney Lumet. Précédé d'une courte introduction, chaque entretien aborde une large variété de sujets : l'histoire personnelle du metteur en scène, son rapport à la technique et à la réalisation, ses thèmes de prédilection, les tournages de films, l'inspiration artistique, le choix des acteurs et les rapports entretenus avec eux, les anecdotes, etc.

Un premier volume, avec sept autres entretiens (Fritz Lang, Howard Hawks, Josef von Sternberg, George Cukor, Leo McCarey, Allan Dwan et Raoul Walsh), paraît en janvier 2018.

Né en 1939, Peter Bogdanovich appartient à la génération de cinéastes cinéphiles du "Nouvel Hollywood" qui a régné en maître sur le cinéma américain entre le début et la fin des années 1970. Il est l'auteur de quelques films cultes comme La Dernière séance (1971) ou On s'fait la valise, docteur? (1972). En 2014 est sorti son dernier film, Broadway Therapy.
Passionné par l'âge d'or du cinéma classique, il a rencontré et interviewé la plupart des grands cinéastes d'Hollywood, de Ford à Hitchcock.

Les Maîtres d'Hollywood 2

D'où Alfred Hitchcock a-t-il tiré sa théorie du MacGuffin ? Pourquoi Don Siegel a-t-il frappé Steve McQueen sur le tournage de L'enfer est pour les héros ? Comment Otto Preminger a-t-il défié, film après film, la censure ? Pourquoi Sidney Lumet a-t-il toujours refusé de s'installer à Hollywood ? Que pensait Chuck Jones, le père de Bip Bip et Coyote, de Walt Disney ? Auteur phare du Nouvel Hollywood, inépuisable cinéphile, Peter Bogdanovich s'est entretenu avec les plus grands cinéastes américains. Face à lui, chaque réalisateur livre avec générosité sa vision du cinéma, mêlant anecdotes de tournage, description de ses méthodes de travail, digressions biographiques... Après un premier tome qui réunissait Fritz Lang, Howard Hawks, George Cukor, Josef von Sternberg, Raoul Walsh, Leo McCarey et Allan Dwan, ce second volume poursuit magistralement l'histoire de l'âge d'or du cinéma hollywoodien et de ceux qui l'ont fait.

Les maîtres d'Hollywood - Tome 2, Alfred Hitchcock, Don Siegel, Sidney Lumet, Joseph H. Lewis, Frank Tashlin, Robert Aldrich, Chuck Jones, Edgar G. Ulmer, Otto Preminger

Auteur phare du Nouvel Hollywood, inépuisable cinéphile, Peter Bogdanovich s'est entretenu depuis ses vingt-et-un ans avec les plus grands noms du cinéma américain. Ce premier tome réunit sept entretiens avec des cinéastes qui ont donné naissance à quelques-uns des chefs-d'oeuvre de l'histoire du cinéma : Rio Bravo, Les Contrebandiers de Moonfleet, Elle et lui, La Charge fantastique, Indiscrétions, Shanghaï Express... D'Allan Dwan (l'un des grands pionniers, avec D.W. Griffith) à George Cukor (qui tourne son dernier film en 1981), c'est à une traversée de l'histoire du cinéma américain que nous convie Peter Bogdanovich, dévoilant les coulisses de l'usine à rêves, les secrets de tournage, les rapports de force avec les studios, et les points de vue des créateurs sur chacun de leurs films. Mine d'informations sur l'industrie du cinéma classique hollywoodien, c'est aussi un livre indispensable à tout apprenti cinéaste.

Les maîtres d'Hollywood - Tome 1, Fritz Lang, George Cukor, Allan Dwan, Leo McCarey, Raoul Walsh, Howard Hawks, Josef von Sternberg

Dans quelles circonstances Fritz Lang est-il arrivé à Hollywood ? Comment Raoul Walsh s'est-il nourri de son expérience de cowboy ? Howard Hawks a-t-il vraiment été influencé par Casablanca pour Le Port de l'angoisse ? Comment George Cukor dirigeait-ilses acteurs? Quel était le film favori de Leo McCarey ?
 Auteur phare du Nouvel Hollywood, inépuisable cinéphile, Peter Bogdanovich s'est entretenu depuis ses vingt-et-un ans avec les plus grands noms du cinéma américain.Ce premier tome réunit sept entretiens avec des cinéastes qui ont donné naissance à quelques-uns des chefs-d'oeuvre de l'histoire du cinéma : Rio Bravo, Les Contrebandiers de Moonfleet, Elle et lui, La Charge fantastique, Indiscrétions, Shanghaï Express... 
D'Allan Dwan (l'un des grands pionniers, avec D.W. Griffith) à George Cukor (qui tourne son dernier film en 1981),c'est à une traversée de l'histoire du cinéma américainque nous convie Peter Bogdanovich, dévoilant les coulisses de l'usine à rêves, les secrets de tournage, les rapports de force avec les studios, et les points de vue des créateurs sur chacun de leurs films. Mine d'informations sur l'industrie du cinéma classique hollywoodien, c'est aussi un livre indispensable à tout apprenti cinéaste.

Les Maîtres d'Hollywood 1

Orson Welles è stato l'artista più dirompente e decisivo dall'avvento del cinema sonoro. A ventitré anni sconvolse l'America annunciando alla radio l'invasione della Terra da parte di creature venute da Marte. A venticinque, con un'opera cruciale come Quarto potere, riscrisse la grammatica filmica imponendo tecniche come la profondità di campo, il long-take e il piano sequenza. Da allora la sua carriera fu una lotta incessante tra un talento artistico smisurato e le logiche asfissianti dell'industria cinematografica. Drammaticamente in anticipo sui tempi, visse il resto della sua vita affacciato su un precipizio. Da una parte la vertigine dell'arte, il demone della recitazione, la forza oscura che sprigionava dalle sequenze abbaglianti dei suoi film; dall'altra i mille compromessi, i ruoli svilenti accettati per finanziare l'ennesimo capolavoro, gli spettri della depressione, dell'alcol, del fallimento creativo e umano. E in mezzo a tutto questo, film e opere teatrali che vibrano della potenza dei grandi classici, dall'Orgoglio degli Amberson a Otello, dalla Signora di Shangai all'Infernale Quinlan. Un pomeriggio del 1968, fu proprio Welles a telefonare a Peter Bogdanovich - allora giovane regista, poi diventato autore di prima grandezza - per chiedergli di scrivere insieme a lui il libro-intervista a cui avrebbe affidato la sua verità e il suo riscatto: nacque così Il cinema secondo Orson Welles. Durante i loro colloqui, che durarono otto anni, tra Parigi, Hollywood, New York, Roma e molte altre città, Welles raccontò per intero la propria carriera, confessando con ironia e disincanto se stesso, la vita trascorsa girovagando da un set all'altro, lo sconfinato amore per il cinema. Lo sguardo vivido e divertito di Orson Welles, l'odore dei sigari che fumava ininterrottamente, la sua vorace imponenza rivivono in un libro che si affianca al Cinema secondo Hitchcock di François Truffaut per la capacità di far parlare il cinema attraverso la viva, insostituibile voce dei suoi maestri. E di raccontare il romanzo di un regista rivoluzionario, eccessivo, impetuoso, che seppe rompere le regole del dramma coniugando lo sguardo sul contemporaneo di Bertolt Brecht all'arte senza tempo di William Shakespeare.

Il cinema secondo Orson Welles

Au cours de sa brillante carrière qui s'étale sur près d'un demi-siècle, Clint Eastwood a fait preuve d'une constance et d'une créativité toujours renouvelées, depuis ses rôles de dur jusqu'à sa consécration aux Oscars en tant que metteur en scène.  dévoile l'homme derrière l'icône, à travers une collection de photos variées et souvent méconnues. Ces magnifiques images sont rehaussées par des citations fameuses attribuées à Clint Eastwood ou à ceux qui l'ont bien connu. De ses premiers portraits de studio à ses rôles dans des westerns, en passant par tout son travail derrière la caméra, Eastwood a constamment abordé son travail avec ténacité, dévotion, et de l'allure - c'est ce que portrait intime en photos, capture parfaitement. Préfacé par l'écrivain et réalisateur hollywoodien Peter Bogdanovich, est la biographie en images de référence pour tous ceux qui apprécient ou veulent prendre la mesure de l'apport essentiel de Clint Eastwood au cinéma.

Clint Eastwood - Les images d'une vie

Moi, Orson Welles

Peter Bogdanovich (en serbe en écriture cyrillique : Петар Богдановић, Petar Bogdanović) est un critique, réalisateur et acteur américain de cinéma né le 30 juillet 1939 à Kingston (État de New York) et mort le 6 janvier 2022 à Los Angeles (Californie).
Il a été critique de cinéma avant de se lancer dans la réalisation. Son film le plus connu, La Dernière Séance (1971), a été nommé huit fois aux Oscars et en a obtenu deux. En 1990, Peter Bogdanovich réalisa une suite à La Dernière Séance : Texasville.

La comédie est la chose la plus difficile à bien faire. Je me souviens d'une blague que nous avons faite dans «Quoi de neuf, Doc? Cela n'a pas eu un seul rire. Nous avons donc déplacé le tir d'un pied et demi d'un côté, et tout d'un coup, le rire était là. Cela vous rend fou; L'équilibre est tellement délicat.

Je ne sais pas comment vous avez 40 ans sans avoir tout un tas de regrets.

Mask" n'était pas la version que je voulais quand il est sorti à l'origine. Elle a rapporté de l'argent, mais elle aurait pu en rapporter beaucoup plus. Ma version était beaucoup moins déprimante - tragique, mais beaucoup moins déprimante.

Cher est l'une des femmes les plus talentueuses que j'aie jamais rencontrées. Elle a une profondeur et une émotion qui n'ont même pas été touchées.

Les acteurs ont le contrôle, obtenant des sommes scandaleuses. La raison pour laquelle ils obtiennent ce genre d'argent est que les studios ne savent pas quoi faire d'autre. Ils n'ont aucune idée de ce qu'il faut faire, sauf pour payer beaucoup d'argent à un acteur.

Je pense que l'une des raisons pour lesquelles les plus jeunes n'aiment pas les films plus âgés, les films ont dit avant les années 60, c'est qu'ils ne les ont jamais vus sur grand écran, jamais. Si vous ne voyez pas de film sur grand écran, vous ne l'avez pas vraiment vu. Vous en avez vu une version, mais vous ne l'avez pas vu. C'est mon sentiment, mais je suis démodé.

Je pouvais à peine croire qu'elle existait vraiment, qu'elle n'était pas un rêve. Il y avait quelque chose de miraculeux chez Dorothy Stratten.

Les Dents de la mer" a été le premier film de catégorie A à sortir comme un film d'exploitation. Ils ont gagné beaucoup d'argent avec ce film parce qu'ils ont pu économiser beaucoup d'argent sur la publicité. Au lieu d'avoir une pleine page de publicité dans le New York Times pour un cinéma, ils l'avaient pour 100 cinémas.

La fin du système de studio a signalé la fin des grandes étoiles d'écran. Ils étaient le genre d'acteurs qui ont apporté leurs propres personnages charismatiques à chaque rôle qu'ils ont joué. Le public avait l'impression de les connaître immédiatement chaque fois qu'ils regardaient un de leurs films.

L'une des choses qui ne va pas avec les images aujourd'hui, je pense, est que tant de personnes qui les font commencer à vouloir le faire.

Il n'y a pas de «vieux» films de films uniquement que vous avez déjà vus et ceux que vous n'avez pas.

J'ai cessé de me soucier de ce que les gens pensent.

Une beauté formidable et une énorme laideur vous mette à l'extérieur des choses.

La comédie doit être construite avec soin.

Je pense que «Paper Moon» est un drame de comédie. 'Quoi de neuf doc?' C'était la comédie la plus sévère, mais mon film préféré est «Ils ont tous ri», qui est une sorte de comédie douce-amère.

Si les cinéastes ignorent le passé, ils réinventent la roue dans chaque image. Vous vous asseyez et pensez: "Eh bien, nous sommes de retour à 1903 ici."

Mais à un certain moment, et je ne sais pas vraiment ... les gens m'ont demandé cela. Je ne sais pas exactement ce que c'était qui m'a poussé vers la mise en scène, mais je pense que c'était une notion naïve que si je dirigeais, je serais en mesure de jouer tous les rôles. Une sorte de cupidité.

Le critère pour juger si un film réussit ou non est le temps.

On m'a proposé «Popeye», ce que Robert Altman a fait. Ils m'ont offert 2 millions de dollars pour diriger cela, ce qui était un bon argent. Je ne m'intéressais pas. Je n'aime pas ce genre de film.

Pendant un certain temps, tous les studios avaient leurs divisions d'art, mais cela s'est passé assez rapidement. Maintenant, ils se concentrent vraiment sur ces immenses blockbusters, passant une fortune sur des photos de dessins animés et des films de bandes dessinées et des films de super-héros, et ils ne font pas de photos comme `` How Green Was My Valley '', qui était un vainqueur des Oscars dans son jour.

Pendant le système de studio hollywoodien, ils ont cherché des personnes inhabituelles. Les étoiles avaient des particularités.

Le drame est facile. La comédie est difficile.

J'avais certainement une séquence arrogante. Et j'étais certainement défensif dans certains cas. Peut-être que je suis toujours arrogant, mais j'essaie de ne pas l'être.

J'ai commencé à agir dans «The Sopranos» vers 1999 et 2000. Je l'ai fait pendant six ans. C'était tout un travail, et j'ai adoré.

Vous voyez tellement de films ... les plus jeunes qui viennent de MTV ou qui viennent de publicités et il n'y a aucun sens de la grammaire du film. Il n'y a pas de véritable sens de la façon de raconter visuellement une histoire. Il est juste coupé, coupé, coupe, coupe, coupe, vous savez, ce qui est assez facile.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Peter_Bogdanovich

Ses oeuvres

Ses derniers livres