Je ne suis pas un musicien assez bon pour aimer complètement maîtriser quelque chose dans quelques jours et le retourner.

Parfois, je trouve que faire venir mes vieilles idées est tout simplement préjudiciable.

Si je change de showrunners et que je reste dans la série, je l'approche comme si c'était leur émission, et je suis là pour écrire leur musique pour eux.

Lorsque vous changez de showrunners, c'est comme se divorcer et se remarier.

Si je faisais cinq émissions de flics, je commencerai probablement à lutter pour trouver une identité pour chacun et avoir du mal à trouver des inspirations.

La relation de showrunner à la télévision est ce que la relation du réalisateur dans le cinéma, il n'y a vraiment plus de relation importante.

Je pense que la chose que la musique peut faire est d'être troublante. C'est anormal - une musique perçue comme différente d'une manière non résolue ou inhabituelle.

J'aime toujours penser que je construis dans des blagues musicales historiquement précises qui sont si précises que, comme peut-être qu'il y a 7 ou 8 personnes dans le monde en regardant le spectacle qui s'asseoira et ira, "Oh mon Dieu, la musique jouée est la bonne genre de musique!"

La tension, en particulier en ce qui concerne l'horreur, est une chose très difficile à maintenir dans le grand sens.

Avec la télévision, vous produisez des heures et des heures de musique et pour le film, c'est une expérience plus courte pour le public et pour vous en tant que compositeur.

Alors que les figures accompagnées [sic] proviennent de Prelude, la mélodie est totalement originale de ce thème. D'abord indiqué sur un Duduk solitaire, puis en octaves par les violons et les altos, c'est un mélancome mélancolique et contemplatif.

J'ai toujours abordé la télévision d'un peu plus de perspective cinématographique, sinon une perspective beaucoup plus cinématographique en raison des émissions sur lesquelles j'ai eu la chance de travailler.

Ce que j'aime plus que tout, c'est la musique des années 80 de Jerry Goldsmith et la musique de genre de Bernard Herrmann des années 50 et 60.

J'ai eu beaucoup de chance en ce que je ne fais pas toutes les émissions de réseau ni toutes les émissions de câbles, la télévision est vraiment devenue un processus toute l'année dans la façon dont il est réalisé.

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