En ce XXIIIe siècle trépidant, l'humanité s'est implantée sur nombre de planètes, se frottant à un univers exotique grouillant de vie. Afin de protéger leurs intérêts, les négociants interstellaires ont formé une alliance : la Ligue polesotechnique. Nicholas van Rijn, fondateur de la Compagnie solaire des épices et liqueurs, est le plus flamboyant de ces princes-marchands. Le présent volume réunit les récits qui constituent le quatrième volet de ses aventures picaresques, à savoir le roman Le Monde de Satan, dans une traduction révisée, et la longue nouvelle « L'Étoile-Guide », à ce jour inédite...

La hanse galactique Tome 4 : le monde de Satan

2430, l'humanité s'est implantée sur nombre de planètes, se frottant à un univers exotique grouillant de vie. Afin de protéger leurs intérêts, les négociants interstellaires ont formé une alliance : la Ligue polesotechnique. Nicholas Van Rijn, fondateur de la Compagnie solaire des épices et liqueurs, est le plus flamboyant de ces princes-marchands. En compagnie de l'équipage du Débrouillard, composé du beau David Falkayn, de la féline Chee Lan et du dragon philosophe Adzel, il navigue de planète en planète à la recherche de nouveaux marchés à conquérir... et de nouveaux pigeons à escroquer.

La hanse galactique Tome 3 : les coureurs d'étoiles

Voici l'histoire d'une épée qu'on dit capable de trancher jusqu'aux racines mêmes d'Yggdrasil, l'Arbre du Monde. Une épée dont on dit qu'elle fut brisée par Thor en personne. Maléfique. Forgée dans le Jotunheim par le géant Bölverk, et appelée à l'être à nouveau. Une épée qui, une fois dégainée, ne peut regagner son fourreau sans avoir tué. Voici l'histoire d'une vengeance porteuse de guerre par-delà le territoire des hommes. Un récit d'amours incestueuses. De haine. De mort. Une histoire de destinées inscrites dans les runes sanglantes martelées par les dieux, chuchotées par les Nornes. Une histoire de passions. Une histoire de vie...

L'Épée brisée

Voici l’histoire d’une épée qu’on dit capable de trancher jusqu’aux racines mêmes d’Yggdrasil, l’Arbre du Monde. Une épée dont on dit qu’elle fut brisée par Thor en personne. Maléfique. Forgée dans le Jotunheim par le géant Bölverk, et appelée à l’être à nouveau. Une épée qui, une fois dégainée, ne peut regagner son fourreau sans avoir tué. Voici l’histoire d’une vengeance porteuse de guerre par-delà le territoire des hommes. Un récit d’amours incestueuses. De haine. De mort. Une histoire de destinées inscrites dans les runes sanglantes martelées par les dieux, chuchotées par les Nornes. Une histoire de passions. Une histoire de vie…

Afin de mieux étudier le passé, trois scientifiques sont envoyés dans la Rome antique, sous le règne d'Auguste. Les lois du voyage dans le temps imposent que, par compensation, trois Romains parviennent au XXe siècle. Un marin, un voleur et une prostituée. A priori, trois ignares, sûrement incapables de se débrouiller à notre époque. Mais le choc des cultures n'est pas le même pour tout le monde.

Technique de survie

Joel Weatherfield est un génie, un véritable prodige, télépathe même. Un surhomme, presque. Le voilà cependant à vivre, tel un homme des bois, au fin fond des forêts de l'Alaska, loin du reste de l'humanité. Pour trouver un moyen de contacter les siens. Car Joel Weatherfield n'est pas exactement humain.

Terrien, prends garde !

« Tu ne mangeras pas la chair de tes semblables », tel est a priori le crédo des humains, à travers le temps ou l'espace. Mais, sur la planète Lokon récemment redécouverte, Moru a dévoré Donli, le compagnon d'Evalyth. Evalyth, folle de chagrin, ne pense qu'à se venger. Elle apprendra néanmoins le pardon.

Le partage de la chair

Poul Anderson, né le 25 novembre 1926 à Bristol en Pennsylvanie et mort le 31 juillet 2001  à Orinda en Californie, est un écrivain américain de science-fiction et de fantasy.

Installons-nous dans les affaires sérieuses de se saouler.

Il avait vu trop de cosmos pour avoir une grande foi en la capacité de l'homme à le comprendre.

Deux vies se sont réunies à travers la mort et des siècles. Demander ce que cela signifiait n'a pas de sens. Il n'y a pas de destin. Mais parfois il y a de la bravoure

Ne vous craignez aucune emprise. Gardez les tendons lâches et les sens ouverts, prêts à chaque instant pour couler avec la ruée vers l'action.

Sont plus heureux que les hommes que les habitants de Faerie - ou les dieux, d'ailleurs ... mieux une vie comme une étoile qui tombe, brillante à travers l'obscurité, qu'une inlassage qui peut voir rien au-dessus ou au-delà de lui-même… la journée s'approche quand Faerie doit Fade, l'erreur lui-même se rétrécit vers un sprite des bois puis à rien, et les dieux vont. Et le pire est, je ne peux pas croire que ce soit mal que les Immortels ne vivent pas éternellement.

À mon avis considéré, le bénéfice à réaliser par une colonie permanente dans l'espace n'est rien de moins que la survie de la civilisation industrielle, et donc la survie de presque toute la race humaine, ainsi que des équipements tels que la paix, la liberté, assez pour manger, et la chance d'atteindre un âge élevé en bonne santé.

Je n'ai pas encore vu de problème, aussi compliqué, ce qui, lorsque vous l'avez regardé de la bonne manière, n'est pas devenu encore plus compliqué.

Le paradis n'est pas aussi étroitement lié que l'enfer.

La volonté d'un fanatique de tuer ou d'être tué au service d'une cause ne peut pas prouver la justesse de cette cause.

Je n'ai pas encore vu de problème, aussi compliqué, qui, lorsqu'il est examiné de la bonne manière, n'était pas encore plus compliqué.

Un fanatique est un homme qui, lorsqu'il a perdu de vue son but, redouble d'efforts.

La colonisation signifie l'immortalité potentielle pour le genre humain. La sécurité de l'homme sur Terre n'a jamais été géniale, et elle diminue toutes les heures. Le désarmement, même le gouvernement mondial, ne garantira pas la survie à une époque où la population appuie les ressources naturelles à la limite et lorsque la connaissance de la façon de travailler un méfait à l'échelle planétaire est de plus en plus diffusée parmi les peuples qui pourraient devenir de plus en plus désespérés.

Pourquoi les gens de cette époque pensent-ils que leur propre vie appauvrie doit-elle être la norme de l'univers?

Ces terres ne sont pas toujours calmes. Nous pourrions bien avoir plus d'aventures devant nous. Mais nous les rencontrerons avec des cœurs élevés.

Tant de science-fiction américaine est paroissiale - pas aussi vrai maintenant qu'il y a des années, mais l'hypothèse est une culture à l'avenir, plus ou moins comme la nôtre, et avec les mêmes idéaux, les mêmes notions de la façon de faire les choses, juste une technologie plus grande et plus flashy. Eh bien, vous savez bien que cela ne fonctionne pas de cette façon.

La timidité peut être aussi dangereuse que la ténacité.

Ma connaissance de la psyché humaine est encore imparfaite. Certaines zones ne céderont pas au calcul.

Dans Harvest of Stars, il y a cette notion, pas originale avec moi bien sûr, qu'il deviendra possible de télécharger au moins les aspects de base d'une personnalité humaine dans un programme de machine.

Les machines ne peuvent trouver que ce que les hommes ignorants les ont programmés pour trouver.

À chaque étape ... des lois, des concepts et des généralisations entièrement nouvelles sont nécessaires, ce qui nécessite l'inspiration et la créativité tout aussi grand que dans la précédente.

Vous savez ce qu'ils disent de Bold Spacemen ne devenant jamais de vieux spacemen.

Personne n'essuyera-t-il le ricanement du visage du cosmos?

Mieux vaut une vie comme une étoile filante, brièvement brillante dans l'obscurité, que la longue, longue attente des immortels, sans amour et tristement sages.

La définition unique du gouvernement que j'ai jamais vu qui est logique est que c'est l'organisation qui revendique le droit de tuer des gens qui ne feront pas ce qu'il veut.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Poul_Anderson

Ses oeuvres

Ses derniers livres