A Londres, au bout d'une impasse délabrée, Frank n'est pas un disquaire comme les autres. Chez ce marchand de vinyles, une belle équipe de joyeux marginaux se serre les coudes, tous un peu abîmés par la vie. Surtout, Frank a un don. Il lui suffit d'un regard pour savoir quelle musique apaisera les tourments de son client. Quitte à préconiser du Aretha Franklin à un obsessionnel de Chopin... C'est ainsi que Frank fait la rencontre de Lisa, une mystérieuse femme au manteau vert. Après s'être évanouie devant sa boutique, elle le supplie de l'aider à comprendre la musique. Lors de leurs rendez-vous, Frank replonge dans sa propre enfance, revoyant sa mère, l'excentrique Peg, lui passer des vinyles sur sa vieille platine. Lui qui ne croit plus en l'amour depuis longtemps sent son coeur vibrer à nouveau. Et puis, un jour, Frank découvre le secret de Lisa. Le monde s'écroule, il disparaît. C'est sans compter, pourtant, sur l'extraordinaire solidarité qui règne sur Unity Street. Car après le chaos, il n'est jamais trop tard pour faire renaître l'espoir et réapprendre à danser...

Si on dansait...

À Londres, au bout d'une impasse délabrée, Frank n'est pas un disquaire comme les autres. Chez ce marchand de vinyles, une belle équipe de joyeux marginaux se serre les coudes, tous un peu abîmés par la vie. 

Surtout, Frank a un don. Il lui suffit d'un regard pour savoir quelle musique apaisera les tourments de son client. Quitte à préconiser du Aretha Franklin à un obsessionnel de Chopin... 

C'est ainsi que Frank fait la rencontre de Lisa, une mystérieuse femme au manteau vert. Après s'être évanouie devant sa boutique, elle le supplie de l'aider à comprendre la musique. Lors de leurs rendez-vous, Frank replonge dans sa propre enfance, revoyant sa mère, l'excentrique Peg, lui passer des vinyles sur sa vieille platine. 

Lui qui ne croit plus en l'amour depuis longtemps sent son cour vibrer à nouveau. Et puis, un jour, Frank découvre le secret de Lisa. Le monde s'écroule, il disparaît. 

C'est sans compter, pourtant, sur l'extraordinaire solidarité qui règne sur Unity Street. Car après le chaos, il n'est jamais trop tard pour faire renaître l'espoir et réapprendre à danser...

Avec une sensibilité magnifique, Rachel Joyce célèbre le courage de gens ordinaires, la force de l'amour, mais aussi la puissance de la musique qui, parfois, peut sauver des vies.

" Une écriture drôle et délicate. "

Daily Telegraph

À Londres, au bout d’une impasse délabrée, Frank n’est pas un disquaire comme les autres. Chez ce marchand de vinyles, une belle équipe de joyeux marginaux se serre les coudes, tous un peu abîmés par la vie.Surtout, Frank a un don. Il lui suffit d’un regard pour savoir quelle musique apaisera les tourments de son client. Quitte à préconiser du Aretha Franklin à un obsessionnel de Chopin…C’est ainsi que Frank fait la rencontre de Lisa, une mystérieuse femme au manteau vert. Après s’être évanouie devant sa boutique, elle le supplie de l’aider à comprendre la musique. Lors de leurs rendez-vous, Frank replonge dans sa propre enfance, revoyant sa mère, l’excentrique Peg, lui passer des vinyles sur sa vieille platine.Lui qui ne croit plus en l’amour depuis longtemps sent son cœur vibrer à nouveau. Et puis, un jour, Frank découvre le secret de Lisa. Le monde s’écroule, il disparaît.C’est sans compter, pourtant, sur l’extraordinaire solidarité qui règne sur Unity Street. Car après le chaos, il n’est jamais trop tard pour faire renaître l’espoir et réapprendre à danser…Avec une sensibilité magnifique, Rachel Joyce célèbre le courage de gens ordinaires, la force de l’amour, mais aussi la puissance de la musique qui, parfois, peut sauver des vies.« Une écriture drôle et délicate. »Daily Telegraph

En 1972, deux secondes furent ajoutées au temps pour compenser le mouvement de rotation de la terre. Deux secondes. Cela semble insignifiant. Mais pas pour le jeune Byron Hemming fasciné par ce phénomène. Il scrute en vain le cadran de sa montre, en attente de ce moment magique où les aiguilles reculeront de deux secondes. Alors que sa mère le conduit à l'école, il croit que ce moment arrive enfin, le crie à sa mère. Et c'est l'accident... aux innombrables conséquences. Intimement persuadés que les deux secondes supplémentaires sont responsables de ce jour funeste qui a changé sa vie, Byron et James, son meilleur ami, enquêtent pour découvrir ce qui s'est véritablement produit. Mais cette enquête risque de bouleverser encore plus leur destin... Des personnages attachants, un grand sens de l'observation, des situations poignantes... Un roman tendre et fascinant où l’obsession d’un enfant peut faire voler en éclats le miroir parfait dans lequel une famille aimait à se contempler.

Deux secondes de trop

Il aura suffi d'une lettre - la lettre d'adieu d'une amie qui se meurt - pour jeter Harold Fry sur les routes d'Angleterre.
 Quelques sous en poche, une paire de chaussures bateau et l'espoir de la revoir une fois encore...
 Cottage après cottage, bocage après bocage, Harold marche, persuadé que, tant qu'il avance, son amie vivra.
 Il marche et repense à sa vie.
 Mille kilomètres parcourus pour que le destin d'Harold Fry rejoigne celui de sa femme, son fils, son amie, et tous ceux qu'il croise sur sa route...
 
  Un roman d'une rare puissance, où on bascule sans cesse du rire aux larmes. Inoubliable.  Le Parisien Un roman qui fait frétiller vos neurones de plaisir et de... bonheur ! C'est drôle, surprenant, rempli de vie et d'humour, original, irrespectueux, tendre, provocateur.  Gérard Collard - LCI

La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry

Il aura suffi d'une lettre – la lettre d'adieu d'une amie qui se meurt – pour jeter Harold Fry sur les routes d'Angleterre. Quelques sous en poche, une paire de chaussures-bateau et l'espoir de la revoir encore une fois...Cottage après cottage, bocage après bocage, Harold marche, persuadé que, tant qu'il avance, son amie vivra. Il marche et repense à sa vie. Mille kilomètres parcourus pour que le destin d'Harold Fry rejoigne celui de sa femme, son fils, son amie, et tous ceux qu'il croise sur sa route...

La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry (Harold Fry, #1)

Il aura suffi d'une lettre la lettre d'adieu d'une amie qui se meurt pour jeter Harold Fry sur les routes d'Angleterre. Quelques sous en poche, une paire de chaussures-bateau et l'espoir de la revoir une fois encore... Cottage après cottage, bocage après bocage, Harold marche, persuadé que, tant qu'il avance, son amie vivra. Il marche et repense à sa vie. Mille kilomètres parcourus pour que le destin d'Harold Fry rejoigne celui de sa femme, son fils, son amie, et tous ceux qu'il croise sur sa route.

La Lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry (Harold Fry, #1)

Meet Harold Fry, recently retired. He lives in a small English village with his wife, Maureen, who seems irritated by almost everything he does, even down to how he butters his toast. Little differentiates one day from the next. Then one morning the mail arrives, and within the stack of quotidian minutiae is a letter addressed to Harold in a shaky scrawl from a woman he hasn't seen or heard from in twenty years. Queenie Hennessy is in hospice and is writing to say goodbye. Harold pens a quick reply and, leaving Maureen to her chores, heads to the corner mailbox. But then, as happens in the very best works of fiction, Harold has a chance encounter, one that convinces him that he absolutely must deliver his message to Queenie in person. And thus begins the unlikely pilgrimage. Harold Fry is determined to walk six hundred miles from Kingsbridge to the hospice in Berwick-upon-Tweed because, he believes, as long as he walks, Queenie Hennessey will live. Still in his yachting shoes and light coat, Harold embarks on his urgent quest across the countryside. Along the way he meets one character after another, each of whom unlocks his long-dormant spirit and sense of promise. Memories of his first dance with Maureen, his wedding day, his joy in fatherhood, come rushing back to him - allowing him to also reconcile the losses and the regrets. As for Maureen, she finds herself missing Harold for the first time in years. And then there is the unfinished business with Queenie Hennessy.

La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva le mardi... (Harold Fry, #1)

Les gens achetaient du lait, ou remplissaient leurs voitures d'essence, ou même la publication de lettres. Et ce que personne d'autre ne savait, c'était le poids épouvantable de la chose qu'ils transportaient à l'intérieur. L'effort surhumain qu'il a fallu parfois être normal, et une partie des choses qui semblaient à la fois faciles et tous les jours. La solitude de cela.

À la télévision, ce ne sont que des gens brillants et qui réussissent, et donc je pense que quelqu'un doit agiter un drapeau pour les gens ordinaires qui ne sont pas tout à fait sûrs qu'ils réussissent.

Si nous ne pouvons pas accepter ce que nous ne savons pas, il n'y a vraiment aucun espoir.

Le monde était composé de gens qui mettaient un pied devant l'autre; Et une vie peut sembler ordinaire simplement parce que la personne qui le vivait le faisait depuis longtemps.

Je pense que je suis quelqu'un qui fait des éloges avec un très grand - probablement trop grand - de sel.

J'aime écrire des gens sous un angle légèrement pointu, puis jeter plus de lumière dessus. Je pense que dans la vie, nous voyons quelqu'un et faisons des jugements très rapidement sur qui ils sont et ce qu'ils sont. Ou nous pensons que les gens sont ennuyeux parce qu'ils semblent ordinaires.

Perfect" parle d'une situation qui semble parfaite de l'extérieur - belle maison de campagne, belle épouse et mère, tout est là où il faut - et des profondes fissures qui, en fait, se cachent sous cette apparence. Perfect" est en partie une réponse au choc provoqué par le succès de mon premier livre, The Unlikely Pilgrimage Of Harold Fry (Le pèlerinage improbable d'Harold Fry).

J'ai traversé une étape d'écriture de ma main exiguë dans de minuscules livres. Mes deux sœurs et moi avons eu notre période Bronte. Ma maman vient du Yorkshire, et nous allions aux landes. Il a exploité nos visions romantiques de nous-mêmes.

Avant de donner naissance à l'espoir, j'ai fait une fausse couche. La douleur était tellement énorme, je devais m'en écrire. J'ai tenu un journal et je ne me sentais pas entièrement complet avant la naissance de l'espoir.

Ce n'était pas une vie, si elle vivait sans amour.

L'histoire de Harold Fry et de son pèlerinage improbable ont commencé comme une pièce d'après-midi pour la radio. Depuis de nombreuses années, j'écris des pièces de théâtre et d'adapter des romans pour «Woman's Hour» et la série «classique». C'était donc à l'origine une pièce de trois greffes, diffusée un après-midi ensoleillé sur BBC Radio 4.

Si nous ne devons pas devenir fous de temps en temps, il n'y a aucun espoir.

... Les gens prendraient les décisions qu'ils souhaitaient prendre et certains d'entre eux blesseraient eux-mêmes et ceux qui les aimaient, et certains passeraient inaperçus, tandis que d'autres apporteraient de la joie.

Harold ne pouvait plus passer un étranger sans reconnaître la vérité que tout le monde était le même, et aussi unique; et que c'était le dilemme d'être humain.

Je suis sûr que tout ce que vous faites contribue au type de roman que vous écrivez. Beaucoup d'acteurs ont une compréhension du drame et une bonne oreille pour le dialogue et aussi le rythme de la parole. De même, mes 16 années de drame radio m'ont influencé. Vous n'avez que 45 minutes, ou 7 000 mots, pour raconter une histoire, donc chaque scène doit avoir un point.

Et il peut prendre une vie, une vie de plusieurs années, pour accepter l'incongruité des choses: qu'un petit moment peut s'asseoir côte à côte avec un grand et faire partie de la même.

Les débuts pourraient se produire plus d'une fois ou de différentes manières. Vous pouviez penser que vous recommentiez quelque chose, alors que ce que vous faisiez en fait se poursuivait comme auparavant. Il avait fait face à ses lacunes et les avait surmontés et donc la vraie affaire de la marche ne se produisait que maintenant.

Après les deux verres, elle se sentit chaude à l'intérieur, et légèrement indistincte sur les bords.

Nous sommes prompts à coller des étiquettes sur les autres - en particulier ceux qui ne s'intègrent pas avec la norme. «Harold Fry» parle d'un mariage brisé; «Perfect» concerne une personne brisée. Ils visent tous les deux à trouver la gentillesse là où vous vous y attendez le moins.

Je ne m'attends pas à ce que quiconque se sente désolé pour moi, mais lorsque des amis demandent ce que cela fait d'être un premier romancier qui a également été répertorié depuis longtemps pour le prix Man Booker, je dois admettre que ma réponse m'a confondu. Je suis tellement dépassé, tellement ravi, tellement honoré et tellement surpris, je suis sorti dans un rhume violent.

Les acteurs entrent dans la tête d'autres personnes et n'ont pas peur des endroits compliqués que vous pouvez vous retrouver.

Je suis allé voir papa à l'hôpital après avoir subi une opération particulièrement exténuante. Je suis entré dans la pièce où il se remettait, et il était assis sur une chaise, portant sa chemise et sa cravate. C'était après huit heures de chirurgie. J'ai trouvé ça tellement émouvant.

Le passé était le passé; Il n'y avait pas d'échappement à vos débuts.

Je trouve cela très attrayant: le flou des lignes entre ce qui est drôle et ce qui est tragique. Et ce qui est ordinaire et ce qui ne l'est pas - les grandes choses dans les petites choses.

C'est ce que j'ai découvert - et c'est un cadeau en soi - que les livres vivent encore et encore dans différentes personnes. Que je pourrais signifier une chose au moment où j'écris, mais les expériences d'un lecteur le prendront ailleurs. C'est comme une conversation, je pense. C'est une vraie connexion.

Mon père avait passé des années à lutter contre le cancer de la tête et du cou. Il avait de nombreuses opérations et il a été réduit et réduit et réduit. À la fin, il avait une croissance si grande sous ses yeux que ça faisait mal de le regarder.

Je me considère comme une personne très ordinaire. J'aime écrire sur la juxtaposition entre les gens: la beauté d'eux parfois, puis le contexte banal et quotidien dans lequel nous nous trouvons.

Il a compris qu'en marchant pour expier les erreurs qu'il avait commises, c'était son voyage d'accepter l'étrangeté des autres. En tant que passant, il était dans un endroit où tout, pas seulement la terre, était ouvert. Les gens se sentiraient libre de parler et il était libre d'écouter. Pour en porter un peu au fur et à mesure.

Vous vous êtes levé et vous avez fait quelque chose. Et si vous essayez de trouver un moyen lorsque vous ne savez même pas que vous pouvez y arriver n'est pas un petit miracle; alors je ne sais pas ce que c'est.

Ses oeuvres

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