Dans ce livre, Ramesh Balsekar nous présente l'oeuvre majeure, l'Anubhavamrita, d'un jeune sage indien non dualiste du XIIIe siècle, Jnaneshwar (1275-1296). Déjà le texte en lui-même, à la fois poétique et philosophique, serait assurément une formidable source d'inspiration, mais les commentaires de Balsekar, éclairés par l'enseignement de Nisargadatta Maharaj, nous permettent une percée plus précise dans la compréhension même de ce qu'est une approche réellement non duelle, et de ses implications dans notre vie quotidienne. Le sujet du livre est que la dualité entre l'Absolu non manifesté et la manifestation de l'univers est illusoire et n'existe pas réellement. Jnaneshwar et Ramesh affirment que c'est uniquement lorsque l'identification à l'entité individuelle est totalement abandonnée que nous demeurons tel que nous sommes vraiment. Ramesh Balsekar nous offre ici l'opportunité de goûter en sa compagnie l'essence même de l'expérience de l'immortalité, ICI ET MAINTENANT. A défaut d'en faire l'expérience, le lecteur attentif, qui accepte de laisser de côté tout ce qu'il sait ou croit savoir, se retrouve dans une ouverture, une disponibilité, où le pressentiment de CE QUI EST prend le relais. Ramesh nous le rappelle : CE QUI EST est toujours là, tellement simple, qu'il suffit de cesser de conceptualiser, d'imaginer, de fantasmer, pour que cela saute aux yeux. Nous sommes d'ores et déjà ce que nous cherchons, la liberté, la quiétude. Nisargadatta, Balsekar, nous invitent ici à simplement ETRE.

L'expérience de l'immortalité

Ce précieux petit livre est un parfait condensé de la pensée de Ramesh Balsekar.
«La conscience est tout ce qui est», «La conscience est immanente au monde...
Merveille des merveilles, elle transcende en même temps la manifestation et tout ce qu'elle contient.» Cet enseignement est celui du pur Advaïta (la non-dualité) que l'auteur met merveilleusement à notre portée, sans le dénaturer.
Cet «Un sans second», R. Balsekar l'appelle indifféremment «Conscience», «Dieu», la «Source»...
A l'instar de Ramana Maharshi et de Nisargadatta Maharaj (dont il est le disciple), il affirme que : «Tout ce qui est est Conscience - JE SUIS...» Cette réalité éternelle est accessible à tout être humain.

Tout est conscience

Ici, pas d'intellectualisme spirituel ni de dévotion béate et infantile, mais un texte vivant et stimulant, qui transcende l'esprit religieux. Ce livre est l'expression d'un vécu profond, d'une expérience de vie centrée autour de cette question cruciale : qui suis-je ? Ramesh S. Balsekar démontre dans ces entretiens socratiques modernes qu'il est sans conteste l'un des grands représentants actuels d'une sagesse vivante.

Laisser la vie être

Ramesh Balsekar a sélectionné et rassemblé, organisé et commenté ici des fragments d'entretiens de Ramana Maharshi (1879-1950), considéré comme l'un des plus grands saints de l'Inde, par sa présence et son enseignement accessible à tous qui attira des milliers d'Indiens et d'Occidentaux à la recherche de la Vérité. Les questions et les réponses choisies ici sont principalement axées sur la réalisation du bonheur ultime, inhérent à notre véritable nature, et sur les moyens d'y parvenir. Ces recommandations insistent notamment sur le rôle essentiel de l'acceptation de ce qui arrive, sur le dépassement du mental, des désirs et des aversions, et sur l'intégration de cet enseignement non-duel dans la vie quotidienne, ce qui le rend accessible et praticable par un large public.

Conseils de Ramana Maharshi pour la réalisation spirituelle

Les Orients de l'Être, contient l'enseignement ultime du Maître Nisargadatta Maharaj reconnu en Inde comme l'un des grands maîtres spirituels du XXe siècle. Il a été recueilli par celui qui devint son successeur, Ramesh S. Balsekar. Modelé sur le psychisme occidental, cet enseignement radical s'exprime dans une langue simple et percutante.

Les Orients de l'être

Texte vivant et stimulant, Laisser la vie être transcende l'esprit religieux. Ici, pas d'intellectualisme spirituel ni de dévotion béate et infantile. Ce livre est l'expression d'un vécu profond, d'une expérience de vie centrée autour de cette question cruciale : qui suis-je ? Ramesh S. Balsekar démontre encore une fois, dans ces entretiens socratiques modernes, qu'il est sans conteste l'un des grands représentants actuels de la sagesse.

Laissez la vie etre

Maharaj : Que voulez-vous réellement ? Que recherchez-vous exactement ? - Je veux atteindre la réalité. Voilà ce que je veux. Maharaj riant : Si vous pouviez seulement réaliser combien ceci est drôle ! Qui est ce "je " qui veut atteindre la réalité ? Est-ce ce dispositif corporel qui veut atteindre la réalité ? Et qu'entendez-vous exactement par cette " réalité" que vous voulez atteindre ? - Maintenant que vous l'avez formulé ainsi, cela semble effectivement très drôle, ou peut-être tragique. - Qui écoute ces paroles, comiques ou tragiques ? - Moi. Moi, celui qui est assis là. - Comprenez donc que ce que vous êtes, tant que le corps est là, est cette présence consciente. Une fois votre corps disparu, et avec lui le souffle vital, la conscience aussi s'en ira. Seul ce qui existait avant l'apparition de ce corps-avec-conscience, l'Absolu, le présent-à-jamais, est votre véritable identité. C'est cela que nous sommes tous réellement. C'est cela la réalité. Elle est ici et maintenant. Où est-il question de quelqu'un atteignant cette réalité ?

Nisargadatta Maharaj Ou Les Orients De L'Etre

Le vrai bonheur est l'absence de l'équilibre de la félicité

La réalisation de soi est sans effort. Ce que vous essayez de trouver, c'est ce que vous êtes déjà.

La séparation est l'absence d'amour, et l'amour est l'absence de séparation.

Comprenez que rien ne se passe à moins que ce ne soit la volonté de Dieu et que vous fassiez ce que vous aimez. Qu'est-ce qui peut être plus simple que cela?

Le bonheur que vous recherchez ne se trouve pas dans le flux de la vie, mais dans votre attitude envers tout ce que la vie apporte.

Le sens de la dualité, qui est un obstacle au véritable amour, doit prévaloir tant que l'apperception de la vérité ne s'est pas produite. Une fois l'individualité remise, il n'y a que l'amour total.

C'est précisément pour la raison que la vérité est tout à fait simple, basique, élémentaire et totalement évidente, qu'elle est complètement négligée.

L'homme de sagesse est dépourvu d'ego même s'il peut sembler l'utiliser. Son esprit vacant ou à jeun ne fait rien ni ne fait rien. Il est en dehors de la volonté, ni cela ni cela. Il est tout et rien.

Les mots sont une distraction des Lumières. Se débarrasser de la pensée conceptuelle signifie l'illumination.

Ses oeuvres

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