Revivez, au travers de témoignages inédits, les grands moments qui ont fait la carrière de Ravi ShankarCes mémoires exceptionnels retracent le parcours d'un homme hors du commun. Dans une langue claire et élégante nourrie des témoignages des nombreux musiciens qui ont croisé sa route, Shankar se souvient de son enfance à Bénarès, de ses tournées en Europe à l'époque où il dansait dans la troupe de son frère Uday, de son engagement auprès du maître Allaudin Khan qui lui enseigna l'art du sitar. Viennent les années 1950 et 1960 où il commence à populariser la musique indienne en Occident et fait la rencontre décisive de George Harrison. On plonge alors dans les coulisses de ses plus mythiques performances, comme à Woodstock ou à Monterrey. Car Shankar a toujours voulu faire partager au public occidental les principes de la musique indienne et particulièrement son lien au sacré. On apprend comment Shankar a aussi composé de nombreuses musiques de films, en particulier pour Satyajit Ray, fondé des écoles de musique en Inde et en Californie, formé plusieurs disciples et même été élu député. On rencontre aussi toutes les personnalités qu'il a côtoyées au cours de sa riche existence : ses filles Anoushka Shankar et Norah Jones, les Beatles, Gene Kelly, Richard Burton, Peter Sellers, Marlon Brando, etc. Cette autobiographie comprend aussi des photos exceptionnelles tirées de ses archives personnelles. La vie de Ravi Shankar résume à elle seule la rencontre entre Orient et Occident. Cette autobiographie est à l'image de son auteur, l'un des plus grands musiciens du XXe siècle : pleine de charme, de dignité, d'esprit et d'humour. Quelques accords de sitar, le récit de nombreux festivals : découvrez la vie du célèbre musicien indien !CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE - "Ces Mémoires, écrits sur un ton très familier sont une lecture indispensable pour qui s'intéresse à l'Inde, à la musique, incarnées par un grand homme si simple, Ravi Shankar." (Jean-Claude Perrier, Livres-Hebdo)A PROPOS DE L'AUTEURNé en 1920 et mort en 2012, Ravi Shankar est à ce jour le musicien indien le plus connu. Sitariste, il a démocratisé et vulgarisé les sonorités de la musique traditionnelle indienne au cours des années 1960. De nombreux groupes rock de cette époque, tels que les Beatles ou les Rolling Stones, ont fortement été influencés par ces nouveaux timbres. Il est le père de la chanteuse Norah Jones. EXTRAITLe petit monde où je suis né, à Bénarès, ressemblait à l'Inde telle qu'elle existait deux mille ans auparavant. Excepté les quelques automobiles, bicyclettes et autres petits symboles de modernité qui m'entouraient, tout était vraiment vieux : le mode de vie, les temples et les ghats de la ville. Les ghats (littéralement : « lieux pentus ») sont des escaliers en gradins qui s'étagent sur les rives du fleuve. Ils ont fait la réputation de Bénarès, car, de là, on est témoin du cycle complet de la vie même, de la naissance à la mort. Tout a lieu là : des pièces de théâtre, des chansons mises en scène par des danseurs qui racontent l'histoire de Krishna et de Radha ou des chants fervents, les kirtans chantés en bengali et les bhajans chantés en hindi.

Raga Mala - Ma vie en musique

Ces mémoires exceptionnels retracent le parcours d'un homme hors du commun. Dans une langue claire et élégante nourrie des témoignages des nombreux musiciens qui ont croisé sa route, Shankar se souvient de son enfance à Bénarès, de ses tournées en Europe à l'époque où il dansait dans la troupe de son frère Uday, de son engagement auprès du maître Allaudin Khan qui lui enseigna l'art du sitar. Viennent les années 1950 et 1960 où il commence à populariser la musique indienne en Occident et fait la rencontre décisive de George Harrison. On plonge alors dans les coulisses de ses plus mythiques performances, comme à Woodstock ou à Monterrey. Car Shankar a toujours voulu faire partager au public occidental les principes de la musique indienne et particulièrement son lien au sacré. On apprend comment Shankar a aussi composé de nombreuses musiques de films, en particulier pour Satyajit Ray, fondé des écoles de musique en Inde et en Californie, formé plusieurs disciples et même été élu député. On rencontre aussi toutes les personnalités qu'il a côtoyées au cours de sa riche existence : ses filles Anoushka Shankar et Norah Jones, les Beatles, Gene Kelly, Richard Burton, Peter Sellers, Marlon Brando, etc. Cette autobiographie comprend aussi des photos exceptionnelles tirées de ses archives personnelles. La vie de Ravi Shankar résume à elle seule la rencontre entre Orient et Occident. Cette autobiographie est à l'image de son auteur, l'un des plus grands musiciens du XXe siècle : pleine de charme, de dignité, d'esprit et d'humour.

Raga mala - Ma vie en musique

Ces mémoires exceptionnels retracent le parcours d'un homme hors du commun. Dans une langue claire et élégante nourrie des témoignages des nombreux musiciens qui ont croisé sa route, Shankar se souvient de son enfance à Bénarès, de ses tournées en Europe à l'époque où il dansait dans la troupe de son frère Uday, de son engagement auprès du maître Allaudin Khan qui lui enseigna l'art du sitar. Viennent les années 1950 et 1960 où il commence à populariser la musique indienne en Occident et fait la rencontre décisive de George Harrison. On plonge alors dans les coulisses de ses plus mythiques performances, comme à Woodstock ou à Monterrey. Car Shankar a toujours voulu faire partager au public occidental les principes de la musique indienne et particulièrement son lien au sacré. On apprend comment Shankar a aussi composé de nombreuses musiques de films, en particulier pour Satyajit Ray, fondé des écoles de musique en Inde et en Californie, formé plusieurs disciples et même été élu député. On rencontre aussi toutes les personnalités qu'il a côtoyées au cours de sa riche existence : ses filles Anoushka Shankar et Norah Jones, les Beatles, Gene Kelly, Richard Burton, Peter Sellers, Marlon Brando, etc. Cette autobiographie comprend aussi des photos exceptionnelles tirées de ses drives personnelles. La vie de Ravi Shankar résume à elle seule la rencontre entre Orient et Occident. Cette autobiographie est à l'image de son auteur, l'un des plus grands musiciens du XXe siècle : pleine de charme, de dignité, d'esprit et d'humour.

Ravi signifie "soleil". C'est un mot d'origine sanskrite. Et "Shankar" est un autre nom de Shiva, l'un des dieux de la trinité sacrée que nous vénérons.

Quand les gens disent que George Harrison m'a rendu célèbre, c'est vrai d'une certaine manière.

Ah, "Pather Panchali" est le film le plus inspirant pour lequel j'ai écrit de la musique, et cela s'est fait de manière si spontanée. J'ai vu le film, j'ai composé sur place, avec moi-même et seulement quatre autres musiciens, et tout s'est fait en 4-1 minutes.

Mon ambition secrète a toujours été de fournir de la musique pour les films d'animation: quelque chose avec un thème indien, soit un conte de fées ou un conte mythologique ou sur le thème de Krishna. J'ai toujours un désir très profond, mais ce genre de chances ne vient pas toujours.

J'ai beaucoup de mal à m'asseoir au milieu de la nuit et à écrire. Tout ce que je fais est spontané. Parfois, cela prend beaucoup de temps; Parfois, cela vient comme ça.

Je crois en une chose: que quiconque est capable de faire quelque chose de bien pour quelqu'un, je veux dire, devrait être félicité.

Que vous en soyez conscient ou non, que vous les reconnaisiez comme spirituels ou non, vous avez probablement eu les expériences de silence, de transcendance, ou du divin - quelques secondes, quelques minutes qui semblent hors de temps; Un moment où l'ordinaire est beau, brillant; Un profond sentiment d'être en paix, se sentant heureux sans raison. Quand ces expériences viennent ... croyez en eux. Ils reflètent votre vraie nature.

Ce que fait Sri Chinmoy, c'est-à-dire Dieu! Il a une énorme envie créative fantastique.

J'ai toujours eu un instinct pour faire de nouvelles choses. Appelez ça bon ou mauvais, j'adore expérimenter.

Je continuerai à jouer aussi longtemps que mon corps me le permet, et aussi longtemps que je veux par mes auditeurs. Parce que la musique est la seule chose qui me fait avancer.

J'ai mon propre gourou spirituel, et je suis si heureux, et je me sens tellement satisfait que j'apprécierais beaucoup d'autres gourous célèbres, mais, vous savez, je ne suis pas attiré de cette façon parce que j'ai trouvé la personne.

Autrefois, je crois que Mozart a également improvisé au piano, mais en quelque sorte au cours des 200 dernières années, toute la formation de la musique classique occidentale - ils ne lisent pas entre les lignes, ils lisent les lignes.

J'aime voir d'autres musiciens indiens - vieux et jeunes - venir en Europe et en Amérique et avoir un certain succès. Je suis heureux d'avoir contribué à cela.

Dans notre culture, nous avons un tel respect pour les instruments de musique, ils font partie de Dieu.

J'adore le travail de Matisse et Picasso, mais je n'ai pas assez de millions pour en posséder un. Et je ne crois pas vraiment à la possession de l'art, de toute façon.

Un seul raga peut être effectué pendant deux heures, trois heures.

J'apprécie beaucoup Vilayat Khan, le joueur du Sitar, et Bismillah Khan, le joueur Shehnai; Et parmi les joueurs de tabla, bien sûr, Alla Rakha, Kishan Maharaja et toutes ces personnes.

J'ai commencé comme danseur, mais je suis progressivement intéressé à la musique.

L'illumination est le voyage de retour de la tête au cœur.

Tout le monde a le droit d'aimer ou de ne pas aimer quoi que ce soit ou n'importe qui. D'une fleur à une saveur à un livre ou à une composition, mais il est très triste que dans notre pays, nous nous battons réellement sur de telles choses d'une manière inconvenante.

La musique que j'ai apprise et que je veux donner, c'est comme adorer Dieu. C'est absolument comme une prière.

J'ai été admiré par tous ces hippies, et c'était merveilleux de jouer à Monterey et Woodstock, jouant pour un demi-million de personnes.

La pop change de semaine à semaine, de mois en mois. Mais la bonne musique est comme la littérature.

Pour moi, vous savez, depuis mon enfance, j'ai toujours eu une fascination pour les États-Unis.

Ma musique a un contexte très spirituel, une sainteté qui ressemble presque à l'adoration.

Beaucoup de gens, en particulier les jeunes, ont commencé à écouter Sitar depuis que George Harrison, l'un des Beatles, est devenu mon disciple.

Ses oeuvres

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