A gritty, one-of-a-kind backstage account of the worlds greatest touring band, from the opinionated music journalist who was along for the ride as a young reporter for  Rolling Stone  in the 1990s     ONE OF THE TOP FIVE ROCK BIOGRAPHIES OF THE YEAR-- SAN FRANCISCO CHRONICLE     ONE OF THE BEST BOOKS OF THE YEAR-- KIRKUS REVIEWS     A book inspired by a lifelong appreciation of the music that borders on obsession, Rich Cohens fresh and galvanizing narrative history of the Rolling Stones begins with the fateful meeting of Mick Jagger and Keith Richards on a train platform in 1961--and goes on to span decades, with a focus on the golden run--from the albums  Beggars Banquet  (1968) to  Exile on   Main Street  (1972)--when the Stones were at the height of their powers. Cohen is equally as good on the low points as the highs, and he puts his finger on the moments that not only defined the Stones as gifted musicians schooled in the blues, but as the avatars of so much in our modern culture. In the end, though, after the drugs and the girlfriends and the bitter disputes, there is the music--which will define, once and forever, why the Stones will always matter.   Praise for  The Sun & The Moon & The Rolling Stones    Fabulous . . . The research is meticulous. . . . Cohens own interviews even yield some new Stones lore. -- The Wall Street Journal    [Cohen] can catch the way a record can seem to remake the world [and] how songs make a world you cant escape. -- Pitchfork     No one can tell this story, wringing new life even from the leathery faces of mummies like the Rolling Stones, like Rich Cohen. . . . The book beautifully details the very meaning of rock n roll. -- New York Observer     Masterful . . . Hundreds of books have been written about this particular band and [Cohens] will rank among the very best of the bunch. -- Chicago Tribune     Cohen, who has shown time and time again he can take any history lesson and make it personal and interesting . . . somehow tells the [Stones] story in a whole different way. This might be the best music book of 2016. -- Mens Journal     [Cohens] account of the bands rise from footloose kids to old, clean, prosperous stars is, like the Stones, irresistible. -- People     You will, as with the best music bios, want to follow along on vinyl. -- The Washington Post     A fresh take on dusty topics like Altamont and the Stones relationship with the Beatles . . . Cohen takes pilgrimages to places like Nellcôte, the French mansion where the Stones made  Exile on Main Street,  and recounts fascinating moments from his time on tour. -- Rolling Stone     On the short list of worthwhile books about the Stones . . . The book is stuffed with insights. -- San Francisco Chronicle

The sun & the moon & the Rolling Stones

Yiddish Connection, c'est l'histoire des gangsters juifs américains, à l'époque où le pouvoir était entre les mains du syndicat du crime, dirigé par Louis Lepke, Dutch Schultz et Bugsy Siegel.Conté par le petit-fils des propriétaires du restaurant où se retrouvaient les truands, ce récit restitue la truculente odyssée de ces fils d'émigrants, héros hors-la-loi, qui faisaient rêver les enfants du quartier. Ponctuée de meurtres, de parties de poker à un million la mise, la chronique de Rich Cohen sonde ce monde parallèle où l'ex-vendeur de cravates ambulant se métamorphose en bootlegger. Kouflax (champion de base-ball) qui refuse le lancer dans les World Series à l'occasion de Yom Kippour, Meyer Lansky qui devient le maître de Cuba, Bo Weinberg qui, chaussé de ciment, est balancé dans l'East River pour avoir conspiré contre ses pairs, chacune des riches heures de cette Amérique clandestine est reconstituée, comme autant de pièces à conviction de ce véridique polar.

Yiddish connection ; histoires vraies des gangsters juifs américains

Tough jews

Le fait est que Jerry Weintraub, le beau producteur de films baissier, l'homme à la longue carrière, qui a travaillé avec Arthur Godfrey et Elvis Presley et Frank Sinatra et George Clooney, est un grand conteur - il est tout aussi qu'il est autre chose. Il prend aussi du temps à raconter des histoires.

Pour faire face au terrorisme, en particulier à la suite d'événements horribles, il y a une tendance à désespérer, à voir dans la bataille un problème sans solution.

La plupart des moustaches se trouvent en attendant que Clark Gable ou Tom Selleck les répare dans l'esprit. Les plus grands sont identifiés avec un homme célibataire, un mauvais homme, généralement, qui a tellement enveloppé son identité avec une configuration particulière de cheveux faciaux que les deux sont devenus inséparables.

Je croyais depuis longtemps que la célébrité, la façon dont nous adorons et formulons et vendons nos pop stars, est ce qui a rempli le besoin de dieux qui était autrefois rempli par les photos dans des vitraux. Hollywood est la Venise post-chrétienne - en d'autres termes, un panthéon de saints sans les tracas et le chagrin de religion.

La moustache de la brosse à dents est la configuration la plus puissante des poils du visage que le monde ait jamais connus. Il surpasse quiconque le touche. En faisant simplement tomber une moustache de brosse à dents sur une affiche, vous faites une déclaration politique.

La personne qui devrait vraiment rédiger une appréciation du défunt grand Dom DeLeuse est Burt Reynolds, qui, encore plus que Mel Brooks, fait du joyeux, le beanie portant un gros homme un coup de pied et une légende.

Écrire une histoire de non-fiction, c'est comme craquer un coffre-fort. Cela semble impossible au début, mais une fois que vous êtes, vous y êtes.

C'est un fait établi. Certaines femmes ne peuvent pas rester enceintes, devenir grandes et gonflées, et se transporter autour d'un estomac géant, et certaines femmes, pour des raisons probablement comprises par Darwin, adorent ça.

Quand une star de cinéma est assise et vous parle, c'est presque toujours, et seulement, car elle fait la promotion de quelque chose.

La moustache de la brosse à dents a été introduite pour la première fois en Allemagne par des Américains, qui se sont présentés à la fin du 19e siècle comme les Américains se présenteraient avec des queues de canard dans les années 1950. C'était un peu d'efficacité moderne, une réponse aux moustaches ornées de l'Europe - une effluve pop qui tombait dans l'emprise d'un mauvais et mauvais homme.

Avec George Clooney, la qualité distinctive est un type unique de phoniness américain - charmant car il est conscient de lui-même comme un faux. C'est aussi vieux que le vieux Huck Finn, mais, à notre époque, il a migré des franges vers le centre.

Certaines femmes ne peuvent pas rester enceintes, devenir grandes et gonflées, et se transporter autour d'un estomac géant, et certaines femmes, pour des raisons probablement comprises par Darwin, adorent ça.

C'est un défi, écrire sur les acteurs, en particulier un bon acteur, parce que vous ne pouvez pas toujours dire quand ils sont honnêtes et quand ils font semblant - c'est-à-dire quand ils agissent. Les très bons ne semblent pas toujours se connaître.

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