Le Kama Sutra est le recueil de référence sur les relations intimes et sur l'épanouissement en amour. Composé à l'origine au troisième siècle de notre ère, par le moine abstinent Vatsyayana, il offre un aperçu des pratiques sociales et des coutumes sexuelles d'un monde ancien. Au XIXe siècle, ce texte connait un nouveau souffle grâce à la traduction anglaise de Sir Richard Burton qui, convaincu de la pertinence de ses idées, est déterminé à le diffuser auprès du public occidental. Le Kama Sutra a apporté un vent de fraîcheur - sinon une onde de choc - en comparaison des poussiéreux manuels de conseils maritaux de l'époque. Son principe essentiel, selon lequel le bonheur dans le mariage repose sur la maîtrise des arts du plaisir charnel et intellectuel, est encore d'actualité. Malgré sa réputation grivoise, il s'agit d'un guide instructif, direct et plein de bon sens pour mener une existence heureuse.

Le Kama Sutra

"On vient de me faire une offre d'un million de dollars pour la publication d'un seul mois de ce journal" , écrit avec étonnement Richard Burton en 1968. L'acteur est alors un des monstres sacrés du 7e art et forme un couple mythique et scandaleux avec Elizabeth Taylor. Cette relation passionnée, leur train de vie babylonien, leur beauté, leurs excès et leurs succès : le journal intime de Burton nous y plonge "caméra à l'épaule" , comme si nous y étions. Mais il révèle aussi un homme insoupçonné, infiniment plus complexe que le commun des acteurs hollywoodiens. Sceptique et distant à l'égard du cinéma, il se montre en revanche fou de théâtre et de littérature. Doté d'un sens de l'humour irrésistible et d'une grande faculté d'observation, Richard Burton possédait les qualités rares et indispensables du diariste - pour notre plus grand bonheur. "Ce journal est, en un mot, fascinant". - The Washington Times "Burton raconte sa vie à la manière d'un drame poignant où "demain est toujours une surprise". Il en vient à nous manquer chaque fois que l'on pose le livre. Sa voix est de celles qui vous poursuivent longtemps". - The Daily Telegraph "Il émerge de la lecture de ces carnets un Richard Burton comme même ses plus grands fans n'auraient jamais osé le rêvé. Il s'y montre si sensible, intelligent, profondément cultivé et éclairé qu'on se prendrait presque à se dire qu'on aurait aimé l'avoir à dîner". - The Wall Street Journal "Ces écrits révèlent un homme porté à la réflexion et attentionné, engagé dans une approche intellectuelle du monde qui l'entoure. On est bien au-delà de la simple image du coureur de jupons avec un penchant pour la boisson [... ]. Ses carnets témoignent d'un intérêt profond pour le passé, le présent et l'avenir". - The Times "Un livre indispensable". - The Financial Times "Un aperçu réjouissant de la vie de l'acteur, qui ne cherche pas à cacher ses aspérités". - The Los Angeles Times "Même à notre époque où il semblerait que nous soyons menacés d'une overdose d'informations sur les célébrités, il y a dans ces pages quelque chose d'absolument fascinant". - NBC Today Acclamé comme l'un des acteurs les plus marquants de sa génération, Richard Burton (1925-1984) eut le tort, pour certains, de négliger sa carrière. Parce qu'au cinéma et à ses intrigues, il préféra les livres... et surtout sa liberté.

Journal intime

Depuis Ptolémée et pendant près de deux mille ans, voyageurs et géographes tentèrent en vain de résoudre l'énigme du Grand Fleuve. Marchands d'esclaves et trafiquants avaient eu beau remonter son cours sur près de cinq mille kilomètres, nul n'avait pu leur dire où il prenait sa source. Au début du XIXe siècle, personne n'osait seulement penser que celle-ci était à chercher dans l'hémisphère sud, par-delà une chaîne de volcans couverts de neiges éternelles. Il faut dire qu'à l'époque, cette Afrique des montagnes, défendue par des fortifications naturelles réputées infranchissables, était totalement inconnue des Européens. Burton et Speke seront les premiers à forcer les portes de ces contrées situées quasi hors du monde, lieu d'une fascinante civilisation de rois pasteurs dont les fastes barbares évoquent irrésistiblement le climat politique des Mines du roi Salomon.

Aux sources du Nil - La découverte des grands lacs africains 1857-1863

Le Roman Marron : Etudes Sur La Litte. Martiniquai

LE ROMAN MARRON . ETUDES SUR LA LITTE. MARTINIQUAI

Comment vivez-vous avec une personne pendant 13 ans et une autre pour huit et trouvez-vous les deux aussi étrangers que des étrangers?

L'un des moments les plus heureux de la vie humaine, il me semble, est le départ d'un voyage lointain dans des terres inconnues. Secouant avec un puissant effort les entraves de l'habitude, le poids de la routine, le manteau de nombreux soucis et l'esclavage de la maison, l'homme se sent une fois de plus heureux.

Chaque mot que j'écris, je soupçonne le lendemain.

J'écris pour me faire plaisir, bien qu'il y ait un sentiment dans un endroit dans ma tête que cela peut être publié. Je n'ai pas écrit depuis rien.

Un acteur est quelque chose de moins qu'un homme, tandis qu'une actrice est quelque chose de plus qu'une femme.

À quel point les astuces de la mémoire sont-elles étranges, qui, souvent brumeuses comme un rêve des événements les plus importants de la vie d'un homme, préservent religieusement les maîtres maîtres.

J'ai fait plus de millions que je ne peux compter. Mais vous savez, c'est un or Faerie - les gens de taxes en prennent la majeure partie, et le reste va aux gens dont vous avez besoin pour rester en vie, des endroits où vivre, des transports pour aller d'ici à là.

Les Gallois sont tous des acteurs. Ce ne sont que les mauvais qui deviennent professionnels.

Warren Beatty semble très gêné et actualisé.

Ce diamant a tellement de carats que c'est presque un navet.

Mon prochain film, `` The Prince of Players '', a été la première dinde d'Hollywood à Cinemascope - lorsque CinemaScope était nouveau et plus chaud qu'un pistolet.

Je n'ai pas une grande vitalité physique depuis que j'avais une opération du cou, et je suis plus conscient qu'avant de l'ennui de l'action.

Ils empêchent leurs livres Lean avec la graisse des autres travaillent.

Tout le monde peut jouer Henry VIII. Je veux dire, même Robert Shaw... l'a joué.

J'ai grandi parmi des héros qui sont descendus dans la fosse, qui jouaient du rugby, raconté des histoires, chanté Songs of War.

La fausse amitié, comme le lierre, se désintègre et ruine les murs qu'il embrasse; Mais la véritable amitié donne une nouvelle vie et une nouvelle animation à l'objet qu'il soutient.

Je ne parlais pas anglais avant d'avoir dix ans, lorsque Philip Burton, le maître d'école qui est devenu mon tuteur, m'a pris sous son aile.

Si vous allez faire des déchets, soyez les meilleures ordures.

Vous atteignez le haut du tas, mais c'est un cercle, et vous glissez sur le côté descendant, peut-être pendant des années. Vous avez peur.

Ses oeuvres

Ses derniers livres