An acute and deeply insightful book of essays exploring poetic form and the role of instinct and imagination within form-from former poet laureate, Pulitzer Prize and National Book Award winning author Robert Hass. Robert Hass-former poet laureate, winner of the National Book Award, and recipient of the Pulitzer Prize-illuminates the formal impulses that underlie great poetry in this sophisticated, graceful, and accessible volume of essays drawn from a series of lectures he delivered at the renowned Iowa Writers' Workshop. A Little Book on Form brilliantly synthesizes Hass's formidable gifts as both a poet and a critic and reflects his profound education in the art of poetry. Starting with the exploration of a single line as the basic gesture of a poem, and moving into an examination of the essential expressive gestures that exist inside forms, Hass goes beyond approaching form as a set of traditional rules that precede composition, and instead offers penetrating insight into the true openness and instinctiveness of formal creation. A Little Book on Form is a rousing reexamination of our longest lasting mode of literature from one of our greatest living poets.

A Little Book on Form - An Exploration into the Formal Imagination of Poetry

Universally lauded poet Robert Hass offers a stunning, wide-ranging collection of essays on art, imagination, and the natural world-with accompanying photos throughout. What Light Can Do is a magnificent companion piece to the former U. S. Poet Laureate's Pulitzer Prize and National Book Award-winning poetry collection, Time and Materials, as well as his earlier book of essays, the NBCC Award-winner Twentieth Century Pleasures. Haas brilliantly discourses on many of his favorite topics-on writers ranging from Jack London to Wallace Stevens to Allen Ginsberg to Cormac McCarthy; on California; and on the art of photography in several memorable pieces-in What Light Can Do, a remarkable literary treasure that might best be described as "luminous."

What Light Can Do - Essays on Art, Imagination, and the Natural World

Robert Hass est un poète américain né le 1er mars 1941 à San Francisco, en Californie.

En Californie au début du printemps, il y a des matins jaunes pâles, lorsque la brume brûle lentement dans le jour, l'air pique comme l'automne, clarifie comme la douleur - eh bien, j'ai rêvé moi-même de cette côte.

Ne pas faire trop de revendication de poésie, mais c'est une question qui va au cœur moral de l'entreprise de tout art: «Comment voyez-vous le monde et quel droit avez-vous pour voir le monde de la manière ce que vous faites?'

Quand j'étais plus jeune, j'étais tellement fou de la poésie que je n'ai pas remarqué qui remarquait. Cela me semblait tellement énorme et grand.

KO UN est un poète crucial pour le XXIe siècle, et c'est une traduction extrêmement fraîche et vive.

Toute la nouvelle pensée est sur la perte, en cela elle ressemble à toute la vieille pensée.

Si vous êtes imaginativement responsable de l'endroit dans lequel vous vivez, vous comprenez le bassin versant.

La poésie avait entre les mains de diverses personnes devenu un lieu de connaissance gênante dans la mesure où c'était un lieu de connaissance. Mais c'était un endroit où vous pouviez parler d'autres types d'expérience que la version officielle.

Un mouvement a commencé pour les écoles communes, et à la fin du 19e siècle, 91 % des Américains savaient lire et écrire.

Vous commencez à voir que toutes ces choses sont connectées: le type de coupes qui signifient moins de protection de l'environnement sont également le type de coupes qui signifient moins d'éducation musicale pour les écoles et qui signifient également des écoles plus surpeuplées.

L'écriture est un processus de découverte incessant.

Il y a très peu de recherches solides sur le lectorat, mais les gens font des déclarations à ce sujet tout le temps.

Vous n'aviez que des livres et des livres généralisés que les gens pouvaient se permettre au milieu du 19e siècle. Plus de gens ont-ils lu de la poésie au tournant du 20e siècle alors qu'il y avait environ cinquante millions de personnes?

Le premier livre qui m'a vraiment assommé était les «frères Karamazov». Je l'ai lu quand j'étais lycéen.

Quand je suis entré dans le travail, le financement des sciences humaines au niveau fédéral était considérablement réduit. C'était la marée haute du nouveau Congrès républicain.

Il est clair qu'il doit y avoir un certain jeu entre la vitalité de l'invention dans la vie économique et une réglementation de celle-ci, et à certains égards, les grandes guerres idéologiques du 20e siècle qui ont coûté tant de vies avaient à voir avec la gestion des économies gérées par le gouvernement ou les économies dirigées par la libre circulation du capital, qui n'est que partiellement soumise à la réglementation gouvernementale.

Lorsque vous composez un verset, qu'il n'y ait pas de largeur de cheveux en séparant votre esprit de ce que vous écrivez. Dites rapidement ce que vous pensez; N'hésitez jamais à un moment.

Je suppose qu'il y a quelque chose à dire pour la pure renforcement de nos croyances, mais vraiment je pense que la poésie est plus utile comme désenchantement que l'enchantement.

Je pense qu'un pour cent de la population a fréquenté l'université lorsque Wallace Stevens et Robert Frost et Gertrude Stein étaient à Harvard. Maintenant, je pense que quarante pour cent des Américains ont des études collégiales. C'est un changement astronomique.

La littérature, l'étude de la littérature en anglais au 19e siècle, n'appartenait pas à des études littéraires, qui avaient à voir avec le grec, le latin et l'hébreu, mais plutôt avec l'élocution et la prise de parole en public. Ainsi, quand les gens lisent la littérature, c'était pour mémoriser et le réciter.

Mon soupçon est qu'une fois que vous avez de l'alphabétisation en place, le lectorat n'a pas beaucoup changé.

La poésie est une cheminée en été ou un fan en hiver.

Quand j'étais à l'université, j'ai perdu ma bourse un an. J'avais assez d'argent pour les frais de scolarité, mais pas la place et la planche. J'ai donc campé dans les collines.

Alors que je commençais à lire à ce sujet, j'ai vu qu'au début du 19e siècle, en dehors de la Nouvelle-Angleterre - qui était un endroit inhabituellement alphabétisé - pratiquement personne ne pouvait lire ou écrire. Et même en Nouvelle-Angleterre, le taux global n'était que d'environ 60%. Cela signifie toujours que quatre personnes sur 10 ne pouvaient pas mettre leur nom à un testament.

On peut préférer le printemps et l'été à l'automne et à l'hiver, mais la préférence n'est guère au point. La terre tourne, et nous vivons dans le grain de la nature, tournant avec.

Je pensais qu'il n'était pas pertinent de parler de ce qu'était une chose merveilleuse de la poésie si vous n'aviez pas enseigné aux gens à lire.

Il y a des moments où le corps est aussi numineux que les mots, des jours qui sont la bonne chair qui continue. Une telle tendresse, ces après-midi et soirs, disant BlackBerry, BlackBerry, BlackBerry.

Le problème de décrire les poètes en tant que législateurs est qu'à ce niveau de politique - la politique en tant qu'invention politique - les poètes n'ont pas de compétences particulières et ne sont pas aptes.

La Terre pardonne l'année précédente chaque année.

Il semble que tous les dix ans, il y a un livre qui dit que la poésie était populaire, et maintenant ce n'est pas le cas, mais nous n'avons vraiment aucun moyen de savoir, en termes de taille relative du public et d'autres choses, exactement qui étaient les lecteurs.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Hass

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