En 1973, Robert Silverberg imagine un grain de sable dans les rouages d'une ville-machine planétaire.

Traverser la ville

Pour son ultime incursion dans l'univers de Lord Valentin, Robert Silverberg nous invite a voyager dans l'espace et le temps, remontant aux sources de la colonisation humaine de Majipoor, la planete geante theatre d'un cycle en huit volumes. Sept nouvelles pour aller a la rencontre du grand lord Stiamot et du mythique Pontife Dvorn, se perdre dans les ruelles du Marche de minuit, visiter Sippulgar la ville aux dix mille dieux et Triggoin la cite des sorciers, ou encore retrouver Valentin, celui avec qui tout a commence. Que vous pensiez tout connaitre des mysteres de Majipoor ou que vous vouliez partir a la decouverte de l'un des cycles majeurs de la science-fiction, ne dans l'esprit de son plus grand maitre, Dernieres nouvelles de Majipoor est le passeport ideal."

Dernieres Nouvelles de Majipoor

Pour son ultime incursion dans l’univers de Lord Valentin, Robert Silverberg nous invite à voyager dans l’espace et le temps, remontant aux sources de la colonisation humaine de Majipoor, la planète géante théâtre d’un cycle en huit volumes. Sept nouvelles pour aller à la rencontre du grand Lord Stiamot et du mythique Pontife Dvorn, se perdre dans les ruelles du Marché de minuit, visiter Sippulgar – la ville aux dix mille dieux – et Triggoin, la cité des sorciers ou encore retrouver Valentin, celui avec qui tout a commencé.  Que vous pensiez tout connaître des mystères de Majipoor ou que vous vouliez partir à la découverte de l’un des cycles majeurs de la science-fiction, né dans l’esprit de son plus grand maître, Dernières nouvelles de Majipoor est le passeport idéal.

Dernières nouvelles de Majipoor

Sur Majipoor, la planète géante, règne Lord Valentin le Coronal qui, naguère jongleur, a retrouvé son trône, mais conservé un corps d'emprunt. Ces faits de haute chronique ont été relatés dans Le Château de Lord Valentin.Mais il n'est pas dit que le règne de Valentin restera serein. Tandis que le Coronal entreprend son Périple à travers les immensités de Majipoor, afin de se faire voir de ses peuples, accompagné de Carabella, son épouse bien aimée, de ses amis des jours d'infortune devenus grands seigneurs et d'une armée de courtisans, les nuages s'amoncellent, les maladies frappent les récoltes, s'étendent comme feu de forêt. Des monstres surgissent des forêts d'habitude paisibles de Majipoor. La famine survient, et la rébellion.Faudra-t-il faire la guerre aux Changeformes ? Car ce sont eux, premiers occupants de la planète, jadis massacrés et refoulés par les humains venus de l'espace, qui tentent une nouvelle révolte. Valentin, qui est épris de paix et d'amour, ne parvient pas à s'y résoudre. Majipoor va-t-elle sombrer ?

Valentin de Majipoor

Vous ne supportez plus ce vingt-cinquième siècle surpeuplé et pollué. Vous êtes chômeur de quatorzième classe, la plus basse. Une seule solution, fuyez dans le temps.
Grâce à l'invention de Lanoy, devenez un déserteur temporel. Au risque des paradoxes.Robert Silverberg est l'une des plus grandes figures de la science-fiction américaine.

Les Déserteurs temporels (Fugues dans le temps, Tome 1)

Révolutionnaires de toutes obédiences, arrêtés par un gouvernement trop magnanime pour les condamner à mort, ils ont été déportés. Plus loin que l'Alaska, la Sibérie ou l'Antarctique. Dans le passé. L'ère primaire, le Cambrien. Un milliard d'années avant notre ère. Le Marteau, ce gigantesque piston à refouler dans le temps, les dépose sans espoir de retour dans un monde où la vie n'a pas encore quitté les océans. Avec les années, ils succombent peu à peu au désespoir et à la folie. Jusqu'à ce que soit déporté parmi eux Lew Hahn qui ne ressemble en rien à un prisonnier politique. Pourquoi a-t-il été condamné ? L'un des romans les plus poignants de Robert Silverberg.

Les Déportés du cambrien

Hydros est une planète-océan où vivent en bonne intelligence les Gillies, premiers habitants de ce monde, et quelques humains, sur des îles flottantes construites par les Gillies. 
   Mais lorsque l'armateur Delagard commet l'irréparable, les Gillies décident de chasser les humains. 
   Où fuir ? L'espace est inaccessible. 
   Il ne reste à Lawler, le médecin, et à ses compagnons qu'à se confier à l'océan, sur les vaisseaux de Delagard, en espérant rejoindre le continent mythique nommé la Face des eaux, de l'autre côté du monde. 
   S'il existe... 

   Robert Silverberg, l'un des plus grands écrivains américains de science-fiction, nous donne ici un de ses plus beaux romans d'aventures et de mer, dans la veine de Joseph Conrad.

La face des eaux

L'hiver avait duré sept cent mille ans. Près de cent millions d'années plus tôt, un hiver identique avait anéanti les dinosaures. Le dernier avait ruiné l'humanité. Ces hivers récurrents sont provoqués par la chute régulière, tous les vingt-six millions d'années, d'essaims de comètes vers les régions centrales du système solaire, chute provoquée par une étoile voisine du soleil, Némésis, ou bien par la traversée du plan galactique par le système solaire.
Peu importe. Tous les vingt-six millions d'années, l'ardoise de la vie est presqu'entièrement effacée par une pluie tombée du ciel.
A l'abri d'un cocon souterrain, pendant sept cent mille ans, le Peuple a survécu. De génération en génération, il s'est transmis la Tradition qui affirme que, le Printemps revenu, il devra regagner la surface et rejoindre la glorieuse cité de Vengiboneeza où il recueillera l'héritage des humains et accomplira son destin. Cette fois au moins, tout de la mémoire du monde n'a pas été perdu. Hresh, l'enfant devenu par chance et par vocation l'Ancien, le détenteur du savoir, va devoir affronter la redoutable épreuve du Printemps et trouver la réponse à une question terrible : après si lontemps, le Peuple est-il vraiment, comme tous le croient, humain ?
Avec son talent habituel, Robert Silverberg, l'un des plus célèbres écrivains américains de science-fiction et le plus souvent couronné de prix littéraires, décrit l'aventure, dans un avenir très éloigné, d'une petite société qui a survécu à une catastrophe géologique. Il parvient de façon poignante à coupler le temps immensément long, mythique, de l'évolution avec celui, éphémère et historique, des destins individuels qui en tissent la trame.

à la fin de l'hiver Tome 1

Un symptôme déterminant de la décadence est un penchant pour une extravagance vaste et absurde.

Je trouve le monde et tout ce qu'il contient extrêmement fascinant. Est-ce un péché?

Il a été suggéré que Tiptree est une femme, une théorie que je trouve absurde, car il y a pour moi quelque chose de manière inéluctablement masculine sur l'écriture de Tiptree. Je ne pense pas que les romans de Jane Austen auraient pu être écrits par un homme ni les histoires d'Ernest Hemingway par une femme, et de la même manière, je crois que l'auteur des histoires de James Tiptree est masculin.

Ne passez jamais par une chance de se taire.

Lorsque vous savez que quelque chose meurt en vous, vous apprenez à ne pas faire confiance aux vitalités aléatoires du moment éphémère.

Ayant perdu notre présent et notre avenir, nous avions nécessairement de plier tous nos efforts au passé, ce que personne ne pouvait nous prendre si seulement nous étions assez vigilants.

Les utopies sont ennuyeuses. Les distopies en revanche sont intéressantes.

Vivre, nous nous inquiétons. Mourir, nous vivons. Je garderai ça à l'esprit. Je serai de bonne humeur.

Se consacrer à la vigilance lorsque l'ennemi est imaginaire est inactif, et se féliciter d'avoir cherché longtemps et bien pour un ennemi qui ne vient pas est stupide et pécheur. Ma vie a été un gaspillage.

Ainsi, le futur inflexible et incontournable dévore-t-il inéluctable le présent.

Qui ne pouvait pas revenir d'une visite dans le monde de Jack Vance, sans avoir l'impression qu'il avait été quelque part unique, qu'il avait vécu des choses indisponibles dans notre monde banal?

Les aristocrates pouvaient hausser les épaules, mais les roturiers, redoutant tout effondrement de l'ordre social, voulaient que les règles de comportement soient respectées.

Mon tempérament n'est pas enclin à plus d'auto-promotion que ce qui est absolument nécessaire pour mon bien-être professionnel.

Les habitants des services de service des citoyens ne sont pas, en règle générale, doués de beaucoup de bon sens, mais ils compensent souvent cela en étant extrêmement argumentatifs et vindicatifs.

Autobiographie. Apparemment, il ne faut pas nommer les noms de ceux qui ont été couchés avec, ou donner des chiffres explicites sur le montant d'argent que l'on a gagné, ceux qui sont les deux données les plus impatientes par les lecteurs; Tout le reste est légitime à révéler.

C'était comme ça tout le temps, au cours de ces années: un voyage sans fin, un voyage voyant. Mais les pouvoirs se décomposent. Le temps les libiches des meilleures visions. Le monde devient plus gris. Entropy nous bat. Tout s'estompe. Tout va. Tout meurt.

Je ne déteste personne, monsieur. Cela semble un gaspillage d'énergie émotionnelle.

Il y a de vraies forces invisibles, mais pas autant que nous le croyons, et ils nous gouverneraient si sévèrement si nous ne les admettons pas à nos âmes. Nous ne serions pas assailli à moitié si souvent par les démons, si nous n'avions pas pris la peine d'en inventer autant.

Rytime est périmée et empruntée est empruntée, peu importe à quel point vos modèles ont été originaux.

Les hommes de grand esprit sont à haut risque à un moment où les petites âmes gouvernent le monde.

Inacceptable, peut-être. Mais pas impensable. Rien n'est impensable une fois que quelqu'un l'a pensé.

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