Rod Lurie (en hébreu : רוד לוריא) est un réalisateur, scénariste, producteur et acteur israélien né le 15 mai 1962 en Israël.

Je pensais me donner 10 ans en tant que journaliste de divertissement et construire tellement d'influence qu'il n'y avait aucun moyen que Hollywood puisse m'ignorer lorsque j'ai commencé à livrer des scripts. Je ne savais pas qu'ils étaient très bons pour l'ignorer.

Vous ne pourrez jamais - et je veux dire ne pourrez jamais savoir si j'étais un gars d'Obama ou un gars d'Hillary.

Je peux être accusé d'être acerbe en tant que critique et écrivain.

J'ai adoré aller au cinéma, surtout quand j'étais adolescent dans les années 70. Comment ne pourriez-vous pas dans la plus grande époque du cinéma auteur?

Vous apprenez un peu plus sur votre film auprès du public de la projection de tests. Avec des comédies et des films intenses, vous devez calibrer le film et voir comment le public réagit.

Ce n'est plus parce que le boogeyman de l'Union soviétique n'existe plus, cela ne signifie pas que le monde vit angéliquement.

Je me souviens avoir regardé des films comme «Fatal Attraction» et regarder le public aller des bananes à la fin du film.

Lorsque vous faites un cadre de gel, vous avez la possibilité de trouver la photo exacte que vous voulez - pas de devinettes.

Lorsque vous faites un film comme «Straw Dogs», votre objectif est que les yeux des gens restent collés à l'écran. Il ne vous sert à rien de se détourner de l'écran.

Si je dois répondre une fois de plus, «Pourquoi vouliez-vous refaire« chiens de paille? », Avec l'accent mis sur le mot« Pourquoi », je vais me retourner.

Je pense que les «chiens de paille» en tant qu'histoire sont éminemment redémarrés. Il peut être modernisé et américanisé sans problème et sans renoncer à aucune intégrité artistique.

Hollywood est amoureux de l'actrice de 20 à 30 ans, mais par la nature même de l'expérience de vie du personnage, les rôles ne peuvent pas être aussi riches. Vous ne pouvez avoir Angelina Jolie que dans un hôpital psychiatrique tant de fois.

Ce qui fait un homme, c'est quand vous allez à l'encontre de votre propre instinct à faire à la bonne chose.

Vous apprenez un peu plus sur votre film auprès du public de la projection de tests.

J'ai tourné une partie de «Resurrect the Champ» à Denver, et j'ai passé un été à aller à l'école de survie à Colorado Springs.

Marc Frydman et moi sommes submergés par la confiance que la télévision Touchstone a montré en nous, et nous sommes ravis de continuer à essayer de les faire sortir du parc.

Nous sommes considérés par le monde comme un État quasi-raciste dans lequel nous permettons aux catastrophes naturelles d'effacer notre communauté minoritaire, dans laquelle notre système pénal est conçu pour traiter injustement les Noirs et dans lesquels nous laissons les systèmes médicaux et éducatifs de nos ghettos s'enfuir au niveau de certains pays du tiers-monde.

Chaque fois que vous faites un film, quand c'est fait, en tant que cinéaste, vous ne vous asseyez jamais là et dites: «Mon garçon, j'ai vraiment bien compris». C'est: "Où ai-je foiré?"

Je suis un grand fan de Steven Bochco depuis plus de deux décennies.

"Nothing But the Truth" est un thriller journalistique qui se déroule pendant la fin des temps pour la presse écrite.

Ce n'est pas une si mauvaise chose d'apporter un optimisme naïf à Washington.

Je pense que la plupart des jeunes officiers que je connais sont des gauchistes, des libéraux et des démocrates. Et la raison en est la suivante: tous nos soldats, les hommes qui travaillent directement pour nous, sont des minorités - les Noirs ou les Latinos. Et nous sympathions avec eux. Notre travail consiste à les conseiller et à les aider.

L'armée américaine est probablement l'institution la plus socialiste des États-Unis.

Je pense que les gens étaient un peu prématurés dans la rédaction de films violents. Ils vont continuer à être fabriqués et le public continuera d'aller les voir.

Il n'y a jamais eu un jour à West Point où je ne me suis pas demandé: «Où devrais-je mettre la caméra?

Je veux avoir un film où les yeux des gens sont collés à l'écran, pas lorsqu'ils courent à partir de l'écran.

'All the President's Men' est un film qui a une place très personnelle pour moi parce qu'il m'a donné envie d'être journaliste, puis il m'a donné envie d'être cinéaste.

Tout ce qui concerne l'Irak est une condamnation à mort au box-office... Vous ne pouvez pas faire de films sur une guerre impopulaire alors que la guerre continue - les gens ne veulent pas payer pour être déprimés, bien qu'ils aillent parfois au cinéma pour s'instruire.

Je ne connais pas un gars plus gentil au monde qu'Alan Alda.

Parfois, les sources anonymes, lorsqu'ils énoncent simplement des opinions ou menant une campagne de frottis, sont certainement des lâches.

Ses oeuvres