Denver Moore a grandi dans l'esclavage, cueillant du coton pour « l'Homme blanc » jusqu'à la fin des années 1960, sans jamais recevoir de salaire ni aller à l'école. En fait, il considérait sa survie dans la rue comme une ascension dans la vie. Jamais il n'aurait pu s'imaginer devenir l'ami d'un homme blanc qui conduisait un VUS et qui buvait du café Starbucks. Ron Hall, marchand d'oeuvres d'art haut de gamme, a connu une ascension fulgurante. Se sentant dans son élément dans les haciendas de Hollywood, les galeries de Soho et les châteaux européens, il n'avait jamais soupçonné que le prochain chapitre de sa vie serait écrit dans un refuge pour sans-abri d'un quartier défavorisé. Et encore moins qu'un homme de la rue à la loyauté indéfectible et à la perspicacité étonnante l'accompagnerait dans les moments les plus difficiles de sa vie. Et enfin de Debbie Hall, une femme courageuse aux convictions profondes. C'est sa compassion et sa persévérance qui ont permis de les unir pour transformer et redonner espoir à des milliers de gens d'un quartier défavorisé.
C'est l'histoire de la vraie vie, souvent déchirante, mais empreinte d'espoir et toujours surprenante. Une histoire en laquelle on peut croire.

Différent, tout comme moi

29 juillet 1969, coup de tonnerre dans le monde maritime. Alors que s'achève la mythique Golden Globe Race, première course autour du monde sans escale en solitaire, le Britannique Donald Crowhurst est en tête lorsque la BBC annonce que le futur héros des mers a triché. Durant deux cent quarante-trois jours, Crowhurst a inventé de toutes pièces son parcours, délivrant par radio de fausses positions tandis qu'il se contente de faire des ronds dans l'eau en Atlantique, attendant de rejoindre le peloton de tête - Robin Knox-Johnston et Bernard Moitessier - au retour du cap Horn. Journal de bord frauduleux, lettres mensongères à sa famille... le crime était presque parfait, mais l'immense réalité de l'océan ne tarde pas à rattraper Crowhurst, qui finit par être pris à son propre piège et par sombrer dans la folie. À partir des carnets, de documents filmés retrouvés sur son navire et de lettres de Crowhurst, Nicholas Tomalin et Ron Hall, journalistes au Sunday Times, nous font revivre la tragédie de cet homme ordinaire décidé à se sauver coûte que coûte de la faillite, pris au piège de la mer et de ses mensonges. En dressant le portrait de ce héros shakespearien victime du « drame maritime du siècle » comme on a coutume de l'appeler, les deux enquêteurs livrent le récit d'une dérive inéluctable conduisant Crowhurst du mensonge à la démence jusqu'au suicide.

L'étrange voyage de Donald Crowhurst

29 juillet 1969, coup de tonnerre dans le monde maritime. Alors que s'achève la mythique Golden Globe Race, première course autour du monde sans escale en solitaire, le Britannique Donald Crowhurst est en tête lorsque la BBC annonce que le futur héros des mers a triché. Durant deux cent quarante-trois jours, Crowhurst a inventé de toutes pièces son parcours, délivrant par radio de fausses positions tandis qu'il se contente de faire des ronds dans l'eau en Atlantique, attendant de rejoindre le peloton de tête - Robin Knox-Johnston et Bernard Moitessier - au retour du cap Horn. Journal de bord frauduleux, lettres mensongères à sa famille... le crime était presque parfait, mais l'immense réalité de l'océan ne tarde pas à rattraper Crowhurst, qui finit par être pris à son propre piège et par sombrer dans la folie. 
À partir des carnets, de documents filmés retrouvés sur son navire et de lettres de Crowhurst, Nicholas Tomalin et Ron Hall, journalistes au Sunday Times, nous font revivre la tragédie de cet homme ordinaire décidé à se sauver coûte que coûte de la faillite, pris au piège de la mer et de ses mensonges. En dressant le portrait de ce héros shakespearien victime du « drame maritime du siècle » comme on a coutume de l'appeler, les deux enquêteurs livrent le récit d'une dérive inéluctable conduisant Crowhurst du mensonge à la démence jusqu'au suicide.

J'étais devenu riche en tant que marchand d'art, mais ma vie n'a jamais été riche jusqu'à ce que je commence à servir dans une mission et que j'ai commencé à être béni par ceux qui étaient fondamentalement désespérés. Les voir a de l'espoir était la plus grande bénédiction de ma vie.

La plupart des gens ne se sont jamais vraiment assis et ont appris à connaître un sans-abri, mais chaque sans-abri est juste une vraie personne qui a été créée par Dieu et c'est le même genre de différent que nous; Ils ont juste une autre histoire.

Chaque fois que vous abordez quelque chose dans la peur et l'agressivité ou en mode d'auto-préservation, vous allez effrayer les gens. Mais si vous allez dans l'amour, avec l'idée d'être les pieds et les mains du Christ, si vous allez avec l'idée de montrer l'amour du Christ, alors ils s'adoucissent parce que l'amour change tout.

La plus grande idée fausse sur les sans-abri est qu'ils se sont mis dans le désordre - laissez-les se sortir. Beaucoup de gens pensent qu'ils sont simplement paresseux. J'exhorte ceux-là à se faire un ami lors d'une mission locale et à découvrir à quel point ces hypothèses sont mal.

Si les chrétiens veulent être les mains et les pieds du Christ, nous ne devons pas juger ceux qui sont différents de nous.

Quelqu'un en qui vous pouvez évidemment faire confiance et quelqu'un avec qui vous feriez confiance à votre vie - c'est un très bon ami.

Ce n'est pas la couleur de notre peau qui divise notre nation; C'est la condition de nos cœurs.

Ensemble, nous pouvons changer le monde, juste un acte aléatoire de gentillesse à la fois.

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