Angelica est capturée en Afrique et vendue comme esclave dans une plantation aux Antilles.
La jeune fille connaît alors la souffrance, l'humiliation et la rage. Cette colère qui gronde dans le coeur d'Angelica fait trembler l'île toute entière... Les esclaves se révoltent.

Moi, Angelica esclave

Aube Claire, la jeune Esquimaude, et son chien Étoile Noire, qui a du sang de loup, participent à l'Iditarod, grande course de traîneaux qui relie Anchorage, dans le golfe d'Alaska, à Nome, sur les bords de la mer de Béring. L'épreuve est extrêmement dure. Le froid, la fatigue et la peur sont constamment de la partie. Jour et nuit, mille dangers - et le découragement - guettent les concurrents. Éviter l'abandon constitue déjà un exploit physique et nerveux pour un homme dans la force de l'âge. Pour une adolescente, cela tient du prodige. Si Aube Claire se lance dans ce Paris-Dakar des glaces en remplacement de son père blessé, c'est pour une poignée de dollars et pour une pincée de gloire. Mais c'est aussi pour prendre la mesure d'elle-même, par besoin de se dépasser. Et de ce point de vue, il ne lui sera pas indispensable d'arriver première pour avoir dans la bouche un goût de victoire.

étoile noire, aube claire

Left alone after the deaths of her father and brother, who take opposite sides in the War of Independence, Sarah Bishop flees from the British who seek to arrest her and struggles to shape a new life for herself in the wilderness.

Sarah Bishop

En dessous de moi, Rontu courait le long des falaises qui aboyaient les goélands hurlants. Les pélicans bavardaient alors qu'ils terminaient l'eau bleue. Mais soudain, j'ai pensé à Tutok, et l'île semblait très calme.

L'attribution annuelle de 5 000 $ va à un auteur pour un livre méritoire publié l'année précédente pour les enfants ou les jeunes adultes. Scott O'Dell a créé ce prix pour encourager d'autres écrivains - en particulier les nouveaux auteurs - se concentrer sur la fiction historique. Il espérait de cette manière pour accroître l'intérêt des jeunes lecteurs dans le contexte historique qui a contribué à façonner leur pays et leur monde.

Ils étaient noirs comme un lézard et très grand et, comme les yeux d'un lézard, pouvaient parfois avoir l'air endormi.

Beaucoup de notre tribu est allée à la falaise chaque nuit pour compter le nombre tué pendant la journée. Ils ont compté la loutre morte et ont pensé aux perles et à d'autres choses que chaque pelt signifiait. Mais je ne suis jamais allé à la crique et chaque fois que je voyais les chasseurs avec leurs longues lances sur l'eau, j'étais en colère, car ces animaux étaient mes amis. C'était amusant de les voir jouer ou se coucher parmi le varech. C'est plus amusant que l'idée des perles de porter autour de mon cou.

Plus que tout, ce sont les dauphins bleus qui m'ont ramené à la maison.

Ses oeuvres

Ses derniers livres