Le plus souvent, la couverture médiatique mentionne désormais les personnes séropositives dans des contextes criminels.

Le phénomène de la criminalisation du VIH est tellement plus massif que les gens ne le comprennent.

Maintenant, les personnes atteintes de VIH ne meurent plus, mais vivent de nombreuses années - nous sommes là plus pour affecter potentiellement les autres.

Les personnes séropositives peuvent perdre la garde de leurs enfants, perdre leur logement et faire face à la violence entre partenaires intimes.

Il existe des lois qui ne s'appliquent qu'aux personnes vivant - nous devenons une sous-classe virale.

Dans les années 80 et 90, il y avait un certain degré de compassion pour les personnes atteintes du VIH parce qu'il y avait des souffrances humaines visibles.

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