Winona, jeune orpheline indienne lakota, grandit au sein d'un foyer peu ordinaire, dans une ferme du Tennessee, élevée par John Cole, son père adoptif, et son compagnon d'armes, Thomas McNulty. Quelques temps après la guerre de Sécession, cette drôle de petite famille tente de joindre les deux bouts avec l'aide de deux esclaves affranchis, Tennyson et Rosalee. Mais Winona puis Tennyson sont violemment attaqués par des inconnus. Dans cet État toujours déchiré par le cruel héritage de la guerre civile, Winona, courageuse et maligne, tente d'obtenir justice. Dans ce sublime roman sur l'identité et la mémoire, nous retrouvons les personnages de Un jour sans fin. Une belle histoire d'amour et de rédemption.

Des milliers de lunes

Dans les années 1850, chassé d'Irlande par la Grande Famine, le jeune Thomas McNulty vient tenter sa chance en Amérique. Il rencontre John Cole, qui devient l'ami et l'amour de sa vie. Tour à tour, Thomas et John vont combattre les Indiens des grandes plaines de l'Ouest, se travestir en femmes pour monter des spectacles, et s'engager du côté de l'Union dans la guerre de Sécession. Jusqu'à ce que la violence de la guerre les rattrape... Sebastian Barry dessine le portrait d'une famille touchante et inhabituelle, composée de ce couple inséparable, de Winona, leur fille adoptive sioux, et du vieux poète noir McSweny, et pose un regard neuf sur une des périodes les plus brutales de l'histoire américaine.

Des jours sans fin

Dans les années 1850, chassé d'Irlande par la Grande Famine, le jeune Thomas McNulty vient tenter sa chance en Amérique. Il rencontre John Cole, qui devient l'ami et l'amour de sa vie. Tour à tour, Thomas et John vont combattre les Indiens des grandes plaines de l'Ouest, se travestir en femmes pour monter des spectacles, et s'engager du côté de l'Union dans la guerre de Sécession. Jusqu'à ce que la violence de la guerre les rattrape... 
Sebastian Barry dessine le portrait d'une famille touchante et inhabituelle, composée de ce couple inséparable, de Winona, leur fille adoptive sioux, et du vieux poète noir McSweny, et pose un regard neuf sur une des périodes les plus brutales de l'histoire américaine.

Chassé de son pays d’origine par la Grande Famine, Thomas McNulty, un jeune émigré irlandais, vient tenter sa chance en Amérique. Sa destinée se liera à celle de John Cole, l’ami et amour de sa vie.Dans le récit de Thomas, la violence de l’Histoire se fait profondément ressentir dans le corps humain, livré à la faim, au froid et parfois à une peur abjecte. Tour à tour Thomas et John combattent les Indiens des grandes plaines de l’Ouest, se travestissent en femmes pour des spectacles, et s’engagent du côté de l’Union dans la guerre de Sécession.Malgré la violence de ces fresques se dessine cependant le portrait d’une famille aussi étrange que touchante, composée de ce couple inséparable, de Winona leur fille adoptive sioux bien-aimée et du vieux poète noir McSweny comme grand-père.Sebastian Barry offre dans ce roman une réflexion sur ce qui vaut la peine d’être vécu dans une existence souvent âpre et quelquefois entrecoupée d’un bonheur qui donne l’impression que le jour sera sans fin.

L'Irlandais Jack McNulty est un 'homme provisoire', tout comme l'ont été ses missions avec l'armée britannique durant la Seconde Guerre mondiale. En 1957, installé à Accra, en proie à l'angoisse et au ressassement, il décide de rédiger l'histoire de sa vie. 

Homme ordinaire, aussi héroïque qu'insignifiant, Jack a été le témoin de choses extraordinaires. Il a travaillé et erré à travers le monde, tour à tour soldat, ingénieur, observateur de l'ONU. Son mariage avec Mai, la plus jolie fille de Sligo, est à la fois étrange et tumultueux, mais comme tout le reste, il finira par lui glisser entre les doigts...

L'homme provisoire

Obligée autrefois de fuir l'Irlande et les siens avec son fiancé pour de mystérieuses raisons, Lilly Bere, à quatre-vingt-neuf ans, revit le chemin parcouru depuis son arrivée dans le Nouveau Monde - le côté de Canaan - au rythme des hommes de sa vie. D'une traversée clandestine à leur installation précaire à Chicago, le jeune couple n'aspire qu'à une vie normale. Mais c'est sans compter avec la menace sourde qui pèse sur eux, et qui va pousser Lilly, désormais seule au monde, à s'enfuir à Cleveland. Devenue employée de maison grâce à son amie Cassie, elle y est témoin des injustices et du racisme de la société américaine. Quand elle rencontre le séduisant et énigmatique Joe, elle croit enfin toucher le bonheur du doigt - jusqu'à une explosion pendant laquelle Joe disparaît. Ce n'est là qu'un des nombreux mystères de la vie de Lilly, racontée comme un thriller, et imprégnée d'une infinie douceur.

Du côté de Canaan

Willie Dunne est le fils d'un policier dublinois. Un garçon sensible, doté d'une voix d'exception. Pas assez grand pour marcher sur les traces de son père comme policier, il s'engage comme volontaire pour combattre dansles tranchées, malgré l'amour infini qui le lie à une jeune fille avec laquelle il désire plus que tout se marier. De la bataille de la Somme jusqu'à la fin de la guerre, ou presque, il assiste à d'horribles combats. La guerre, dès lors, le façonne. Mais elle lui réserve également une surprise.

Un long long chemin

A Long Long Way

Le monde recommence à chaque naissance, disait mon père. Il a oublié de dire, à chaque mort, ça se termine. Ou ne pensait pas qu'il en avait besoin. Parce que pour une bonne partie de sa vie, il a travaillé dans un cimetière.

Cela vaut toujours la peine de détacher le bonheur, il y a tellement de l'autre chose dans une vie, vous feriez mieux de mettre les marqueurs du bonheur pendant que vous le pouvez.

Parce que cela me frappe, il y a quelque chose de plus grand que le jugement. Je pense que ça s'appelle Mercy.

Je me levai et me dirigeai vers lui. Vous auriez fait vous-même vous-même. C'est une affaire ancienne. Quelque chose vous propulse vers un chagrin soudain, ou peut-être aussi parfois. Vous vous éloignez. Je me suis déplacé vers lui, je ne pouvais pas m'en empêcher.

Fred Astaire. Pas un bel homme. Il s'est dit qu'il ne pouvait pas chanter. Il était chauve toute sa vie. Il a dansé comme un guépard coule avec la grâce de la première création. Je veux dire, cette première semaine. Un de ces jours, Dieu a créé Fred Astaire. Samedi peut-être, puisque c'était le jour des photos. Lorsque vous êtes Fred, vous vous sentiez mieux à propos de tout. C'était un remède. Il a été mis en bouteille dans les films et tout autour de la Terre, de Castlebar au Caire, il a guéri l'arrêt et les aveugles. C'est la vérité évangélique. St. Fred. Fred le Rédempteur.

Quel est le son d'une rupture cardiaque de quatre-vingt-neuf ans?

Parce que la fidélité n'est pas une question humaine, mais une question divine.

Il aimait raconter des histoires. Il avait été partout dans le monde. La frontière nord-ouest, le paysage du Kush hindou, était l'un des grands paysages de mon enfance parce qu'il l'avait l'habitude de l'évoquer avec ses histoires. Il m'a appris la séquence des rangs dans l'armée britannique quand j'avais environ huit ans. J'étais dans le lit avec lui pendant qu'il me disait tout sur sa vie - sauf probablement les vraies choses, car bien sûr, vous ne pouviez pas y aller.

Je suis assez vieux pour savoir que le temps de passer est juste une astuce, une commodité. Tout est toujours là, qui se déroule toujours, toujours. Le passé, le présent et le futur, dans le noggin éternellement, comme les pinceaux, les peignes et les rubans dans un sac à main.

C'est drôle, mais cela me frappe qu'une personne sans anecdotes qu'ils soignent pendant qu'ils vivent, et qui leur survivent, soient plus susceptibles d'être complètement perdus non seulement dans l'histoire, mais la famille les suivant. Bien sûr, c'est le sort de la plupart des âmes, réduisant des vies entières, aussi vives et merveilleuses, à ces tristes noms noirs sur les arbres familiaux flétrissants, avec une demi-date qui pendait après un point d'interrogation.

Cela vaut toujours la peine de détacher le bonheur, il y a tellement de choses dans une vie, vous feriez mieux de mettre les marqueurs du bonheur pendant que vous le pouvez.

Je savais immédiatement que quelque chose n'allait pas, mais vous pouvez le savoir et ne pas laisser la pensée dans votre tête, à l'avant de votre tête. Il danse à l'arrière, où il ne peut pas être contrôlé. Mais l'avant de la tête est où commence la douleur.

Il est très difficile d'être un héros sans public, bien que, dans un sens, nous sommes chacun le héros d'un film particulier et à moitié ruiné appelé notre vie.

Il y a rarement une difficulté de religion où il y a de l'amitié.

Le monde n'est pas plein de trahisons, il est plein de gens avec des motifs décents et un désir complet de faire le bien de ceux qui les connaissent et les aiment. C'est une vérité peu connue, mais je pense que c'est néanmoins une vérité. Empiriquement, depuis toutes les années de mon travail, j'en témoignerais. Je sais que c'est une conclusion miraculeuse, mais il y en a. Nous aimons faire des étrangers de tout le monde. Nous ne sommes pas des loups, mais les agneaux étonnés dans les marges des champs par la lumière du soleil et l'été.

Car je ne voulais pas qu'il voient ou me remet en question, car ici contient déjà des secrets, et mes secrets sont ma fortune et ma santé mentale.

Une barbe sur un homme n'est qu'une manière de cacher quelque chose, son visage bien sûr, mais aussi l'intérieur, comme une haie autour d'un jardin secret, ou une couverture sur une cage à oiseaux.

Je suppose donc que Dieu est le connaisseur des cœurs et des âmes sale, et peut voir l'ancien, le premier modèle, et les chérir pour cela.

Les larmes ont un meilleur caractère crié seul. Dommage peut parfois être plus loup que chien.

Je n'ai pas vraiment écrit mes pièces et mes livres - je les ai entendus. Les histoires sont déjà là, chantant dans vos gènes et dans votre sang.

Après tout, le monde est en effet beau et si nous étions une autre créature que l'homme, nous pourrions y être continuellement heureux.

Je pensais que si j'allais vivre une vie dans ce pays sur lequel j'étais accidentellement né, je dois les gens; Je dois avoir une histoire. . .. Je cherche ces gens en moi, où qu'ils se trouvent; C'est ma forme de recherche.

C'était une guerre de poisons royaux, dans l'air, dans la mémoire, dans le sang.

Il y a un tel réconfort à la simple vue de l'eau. Cela nous vêtements délicatement dans son sel et son parfum souffle

Et quelle que soit ma vie ce jour-là, c'était une autre vie après cela. Et c'est la vérité évangélique.

C'est parce que à la fin de la journée, le navire dans lequel nous naviguons est l'âme, pas le corps.

L'animal humain a commencé comme une simple chose qui se tortillait dans les mers anciennes, se débattant sur terre avec de nombreux regrets. C'est ce qui nous amène si plein de désir à la mer.

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