L'Algèbre de Serge Lang est l'un des plus célèbres traités d'algèbre de ces dernières années. Sa rédaction a été régulièrement reprise, étendue et enrichie par l'auteur, de nouvelles pages inédites faisant notamment leur apparition dans cette traduction en langue française.
Ouvert sur les recherches actuelles, l'ouvrage est écrit dans un style élégant et précis. Partant des définitions de base, Serge Lang aborde l'ensemble des domaines fondamentaux de l'algèbre d'aujourd'hui : théorie de Galois, modules et anneaux, algèbre linéaire et multilinéaire, représentations des groupes, algèbre homologique, théorie des catégories, etc. À la fin de chaque chapitre, de très nombreux exercices complètent et illustrent le cours.
L'ouvrage est destiné à un vaste public : les étudiants en 2e cycle / Master pourront s'y initier aux notions de base essentielles de l'algèbre moderne ; les chercheurs débutants ou confirmés pourront y trouver des présentations très riches des domaines de l'algèbre qu'ils seront amenés, un jour ou l'autre, à étudier.

Algèbre (3e édition)

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Le ski

Real and Functional Analysis

Undergraduate Algebra

Survey of Diophantine Geometry

Topics in Cohomology of Groups

Quelles normes sont confirmées par la communauté scientifique affectent la communauté en interne et affectent également ses relations avec la société dans son ensemble, y compris le Congrès.

Bien sûr, il y a des maladies dont les gens meurent.

Les problèmes de financement des universités et de leur liberté intellectuelle, menacés par les interférences politiques et bureaucratiques, sont des problèmes qui sont invariants dans le cadre des transformations des isme: socialisme, communisme, capitalisme ou tout autre isme ou ologie.

Ils ne peuvent pas compter sur la presse et ils ne peuvent pas compter sur les comités du Congrès pour attirer les problèmes de la communauté scientifique à leur propre attention ou pour contrôler la communauté scientifique.

Je ne suis pas ici préoccupé par l'intention, mais par les normes scientifiques, en particulier la capacité de faire la différence entre un fait, une opinion, une hypothèse et un trou dans le sol.

Dans une mesure qui sape les normes classiques de la science, certains prétendus résultats scientifiques concernant le «VIH» et les «sida» ont été gérés par des communiqués de presse, par désinformation, par des études de faible qualité et par une certaine suppression de l'information, manipulant les médias et les gens en général. Lorsque la presse scientifique officielle ne fait pas rapport correctement ou obstruant les vues dissidentes de celles de l'établissement scientifique, il perd la crédibilité et ne laisse aucune alternative que de trouver des informations ailleurs.

Il existe des milliers d'Américains qui ont des maladies définissant le SIDA mais qui sont séropositifs.

Des questions se sont posées sur la police de la science. Qui est responsable de la police? Ma réponse est: nous tous.

Bien sûr, le dépistage du VIH a essentiellement éliminé la transmission de ce virus par transfusions.

Si le point de vue de Baltimore, que les scientifiques qui ne prennent pas les paroles des autorités sont très éloignés du comportement ordinaire des scientifiques, prévaut dans la communauté scientifique, alors quelque chose de fondamental, très sérieux et très dérangeant arrive à la communauté scientifique.

À l'origine, au début des années 80, l'hypothèse médicamenteuse a été parmi la première qui est venue à l'esprit des scientifiques.

Je m'oppose à une approche juridique lors du règlement des questions de science ou de comportement scientifique.

Répondre aux questions de responsabilité scientifique n'implique pas nécessairement qu'il a besoin d'une compétence technique dans un domaine particulier (par exemple la biologie) pour évaluer certaines questions techniques.

L'axiomatisation est ce que l'on fait durer, ce sont les ordures. C'est l'hygiène des mathématiques, l'axiomatisation.

Mis à part tout cela, nous nous rappelons que les anticorps contre le paludisme et d'autres maladies prévalent en Afrique apparaissent comme séropositifs sur les tests.

En gros, cette hypothèse demande si la consommation de drogues provoque certaines des maladies officiellement associées au SIDA, telles que l'immunodéficience et le sarcome de Kaposi.

Le seul objectif de la science est l'honneur de l'esprit humain, et une question dans la théorie des nombres vaut une question concernant le système du monde.

Des questions se sont également posées sur le transmission du SIDA aux hémophiles via des transfusions sanguines.

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