Je n'étais vraiment pas très impliqué politiquement avec quoi que ce soit jusqu'à ce moment-là. Ensuite, j'ai commencé à lire sur la deuxième Intifada palestinienne, et j'ai parlé à des amis dans des militants et des cercles de journalisme. Ensuite, en quelque sorte par la chance, je me suis retrouvé à la démocratie maintenant.

Je détestais la culture, je détestais le travail. J'ai très vite réalisé que ce n'était pas ce que je voulais faire. Donc, après deux ans, j'ai suivi des cours d'écriture - j'ai toujours aimé écrire - et j'ai pensé que la seule façon dont j'allais être payé pour écrire était dans le journalisme. Je n'étais vraiment pas très impliqué politiquement avec quoi que ce soit jusqu'à ce moment-là. Ensuite, j'ai commencé à lire sur la deuxième Intifada palestinienne, et j'ai parlé à des amis dans des militants et des cercles de journalisme. Ensuite, en quelque sorte par la chance, je me suis retrouvé à la démocratie maintenant.

J'avais trois ans lorsque Hosni Mubarak est arrivé au pouvoir. J'ai vécu sous Hosni Mubarak presque toute ma vie. Avant même de démissionner, je savais que ce n'était plus l'Égypte de Hosni Moubarak, et peu importe ce qui s'était passé, ce ne serait plus jamais. Une barrière de peur avait été brisée. Et une fois que cette barrière a été brisée, elle ne serait plus jamais construite. Les gens savaient qu'ils avaient ce pouvoir, qu'ils ne seraient plus poussés. Il y avait juste cette intrépidité et cette détermination.

Je détestais la culture [travaillant en banque], je détestais le travail. J'ai très vite réalisé que ce n'était pas ce que je voulais faire. Donc, après deux ans, j'ai suivi des cours d'écriture - j'ai toujours aimé écrire - et j'ai pensé que la seule façon dont j'allais être payé pour écrire était dans le journalisme.

Mubarak était la colle qui tenait ce mélange de personnes très sans leader et biologique et très pluraliste. Maintenant qu'il est parti, il y a beaucoup plus de débats et de division sur ce qui se passera ensuite, ce qui est sain. Nous sommes essentiellement encore sous la dictature militaire en ce moment. L'armée gouverne le pays. Il peut émettre des lois par décret.

Hosni Mubarak était la colle qui contenait un mélange de personnes très sans leader et organique et très pluraliste. Maintenant qu'il est parti, il y a beaucoup plus de débats et de division sur ce qui se passera ensuite, ce qui est sain. Nous sommes essentiellement encore sous la dictature militaire en ce moment. L'armée gouverne le pays. Il peut émettre des lois par décret.

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