For nearly ninety years, Hollywood's brightest stars have favoured the Chateau Marmont as a home away from home. Filled with deep secrets but hidden in plain sight, its evolution parallels the growth of Hollywood itself. 
Perched above the Sunset Strip like a fairy-tale castle, the Chateau seems to come from another world entirely. An apartment-house-turned-hotel, it has been the backdrop for generations of gossip and folklore: 1930s bombshell Jean Harlow took lovers during her third honeymoon there; director Nicholas Ray slept with his sixteen-year-old Rebel Without a Cause star Natalie Wood; Anthony Perkins and Tab Hunter met poolside and began a secret affair; Jim Morrison swung from the balconies, once nearly falling to his death; John Belushi suffered a fatal overdose in a private bungalow; Lindsay Lohan got the boot after racking up nearly $50,000 in charges in less than two months.
Much of what's happened inside the Chateau's walls has eluded the public eye - until now. With wit and prowess, Shawn Levy recounts the wild parties and scandalous liaisons, creative breakthroughs and marital breakdowns, births and untimely deaths that the Chateau Marmont has given rise to. Vivid, salacious and richly informed, the book is a glittering tribute to Hollywood as seen from the suites and bungalows of its most hallowed hotel.

The Castle on Sunset

Bien sûr en ce temps-là, il y a John Wayne, Ray Charles, Marlon Brando et -évidemment - Elvis Presley. Mais entre 1957, date de la mort de son mentor Humphrey Bogart, et 1963, date de l'assassinat de son ami J. F. Kennedy, Frank Sinatra est la plus grande star de la scène américaine. Mieux - entouré d'un redoutable gang de vieux amis - le fameux Rat Pack (Dean Martin, Sammy Davis Jr., Peter Lawford, Joey Bishop), « The Voice » incarne l'Amérique de cette époque. Une Amérique complexe, hédoniste et lumineuse, à l'image des néons des casinos et du soleil de Palm Springs. Une Amérique crépusculaire aussi, où entertainment tente de faire bon ménage avec politique et mafia, sur fond de racisme et de corruption. Entre New York et Miami, Los Angeles et Las Vegas, entre chefs-d'oeuvre pop et jazzy et films à succès, entre conquêtes féminines, whiskies on the rocks, fêtes avec les Kennedy ou les mafieux de Chicago, ce livre aux allures de roman noir, digne d'American Tabloïd de James Ellroy, retrace le bouillonnant âge d'or d'un immense parrain du showbiz et de ses complices, véritables aristocrates du cool.

Sinatra confidential ; showbiz, casinos & mafia

Je ne sais pas si c'est que ma propre enfance s'est sentie, ou j'ai grandi trop vite, ou je me poussais trop à un jeune âge, mais j'ai l'impression de m'accrocher à une certaine qualité enfantine en moi-même, car Le résultat d'une enfance qui était parfois compliquée.

Si cela allait être unique, si vous voulez faire un film de robot en 2011 ... il devait être différent, et il devait être plus que ses machines et plus que son action.

Pour vous connecter avec les personnages, vous devez vous connecter avec le monde. Si le monde se sent vaguement familier, je crois que les personnages se sentiront relatives.

Dans tous mes films, il y a toujours une sorte d'élément sincère, pour pouvoir faire un drame et pouvoir passer plus de temps dans les trucs émotionnels sans pression pour revenir au drôle qui est très libérateur pour moi.

J'ai tout d'abord appris à ne pas être intimidé par des effets visuels que je ne comprends pas. Tout peut être appris. Vous pouvez ensuite les utiliser comme outils pour raconter votre histoire. J'ai également appris que vous devez être vraiment vigilant, plus le film est complexe pour ne pas vous perdre et ne pas perdre de vue la priorité.

Lorsque vous faites un drame, vous êtes mis au défi de faire beaucoup plus de confiance à votre voix intérieure. Parce que lorsque vous mettez une comédie devant même un dépistage de 25 personnes, vous savez si cela fonctionne ou non. Le baromètre est manifeste.

Je pense simplement que les films sportifs ont un intérêt viscéral aussi intégré, une victoire épique ou une qualité rédemptrice. Quand ils réussissent, cela peut faire une expérience de film vraiment excitée.

Pourquoi embaucher ces génies s'ils sont obligés de s'en tenir au script? Vous souhaitez autonomiser vos acteurs en tant que collaborateurs.

Je n'ai jamais décidé de construire une carrière de comédie du géant. Mon goût pour les films est beaucoup plus éclectique que cela, donc mes aspirations en tant que cinéaste sont beaucoup plus éclectiques que cela.

Même quand j'étais enfant, j'avais une bonne chose avec les enfants. À ce jour, si je vais à une fête d'anniversaire avec l'un de mes enfants, je vous le jure, je suis tellement plus heureux de traîner avec mes enfants et leurs amis que de parler aux adultes.

Je vis ma vie assez émotionnellement, pour le meilleur et pour le pire. Je suis assez mince et transparent. Je dirige avec mon cœur et je voulais faire un film qui faisait de même.

Vous ne desservez pas une grande comédie de prémisse amusante, puis vous tirez dans le pied avec trop d'ironie. Vous avez besoin que le public investisse dans le plaisir et la chaleur et vous vous souciez généralement des personnages.

Ce n'est pas une coïncidence que la «nuit au musée» a complètement fait sauter le couvercle de ma carrière. J'ai finalement eu une poignée sur le ton.

Certes, dans mon appétit pour plus de défis, c'est très vivant. J'adore la comédie et ça me vient de manière naturelle.

De nombreuses stars comiques ont essayé de faire un film de type «Night at the Museum», dans lequel un Joe de tous les jours réagit aux circonstances folles. Beaucoup à plat ont échoué.

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