Colore puro è un canto sulla fine di tutte le cose, perché anche se anche tutto ciò che amiamo, e odiamo, andrà perduto, l'unico conforto possibile è che saremo insieme, nel grande disegno della creazione imperfetta.« Dopo aver creato i cieli e la Terra, Dio ha fatto un passo indietro per contemplare la creazione, come un pittore che si allontana dalla tela. Il momento in cui ci troviamo ora è proprio questo: quello in cui Dio fa un passo indietro. Chi può dire da quando va avanti? Dall'inizio dei tempi, non c'è dubbio. E quanto tempo sarebbe? E per quanto ancora durerà? »In questa prima bozza del mondo, una ragazza di nome Mira lascia la sua casa di sempre per iscriversi all'accademia e diventare una critica d'arte. Qui incontra Annie e sente il suo petto aprirsi come un portale, ma dove questo conduca ancora non lo sa. « La prima bozza di qualcosa ha sempre un che di eccitante: è anarchica, sconclusionata, piena di vita, difettosa. Le prime bozze hanno qualcosa che manca alle seconde. »Quando il padre malato di Mira muore, il suo spirito si intrufola in lei ed è come se i suoi vuoti interiori venissero colmati. Tutti tranne uno: il sentimento dell'assenza. In un pomeriggio assolato, suo padre le aveva promesso che un giorno le avrebbe comprato il colore puro, e ora che non c'è più non potrà mai stringere tra le mani quella materia indefinita. Il mondo senza di lui ha perso di senso e per fuggire da questa assurdità Mira si trasforma in una foglia. Ma l'essere vivi e presenti è un problema che non può essere risolto dall'alto del ramo di un albero.« Le persone nate da un uovo d'uccello sono interessate alla bellezza, all'ordine e all'armonia. La gente nata da un uovo di pesce sembra sospesa nella gelatina; per un pesce, ciò che conta è la collettività. Una persona nata da un uovo di orso invece è come una bambina che si tiene stretta la sua bambola. Sono poche le persone che gli orsi dichiarano di amare e di voler proteggere. Le persone nate da questi tre tipi diversi di uova non si capiranno mai completamente. »

Colore puro

Ils sont jeunes, artistes, et n’ont qu’un seul but : devenir célèbres sans se compromettre. Sheila, elle aussi, voudrait être quelqu’un. Mais son cœur est en miettes et sa pièce de théâtre n’avance pas. Quand elle rencontre Margaux, peintre à l’esprit libre, et Israël, amant provocateur, Sheila décide de s’immiscer dans leur vie et de s’en inspirer. Pour savoir qui elle est vraiment.L’histoire se passe à Toronto, New York, Miami et Paris. Sheila s’y expose sans fard. Sa quête de l’amour, de la beauté et de l’amitié n’est autre que le « roman de la vie » d’une génération qui court après ses rêves. C’est aussi une comédie percutante où rien ni personne n’est épargné, une foire aux vanités de notre époque.« Entre journal intime, pièce de théâtre et confessions des plus littéraires, ce roman ne ressemble à aucun autre. »The New York Times

Comment être quelqu'un ?

Traduit de l'anglais (Canada) par Stéphane Roques

Ils sont jeunes, artistes, et n'ont qu'un seul but : devenir célèbres sans se compromettre. Sheila, elle aussi, voudrait être quelqu'un. Mais son cour est en miettes et sa pièce de théâtre n'avance pas. Quand elle rencontre Margaux, peintre à l'esprit libre, et Israël, amant provocateur, Sheila décide de s'immiscer dans leur vie et de s'en inspirer. Pour savoir qui elle est vraiment.

L'histoire se passe à Toronto, New York, Miami et Paris. Sheila s'y expose sans fard. Sa quête de l'amour, de la beauté et de l'amitié n'est autre que le " roman de la vie " d'une génération qui court après ses rêves. C'est aussi une comédie percutante où rien ni personne n'est épargné, une foire aux vanités de notre époque.

" Entre journal intime, pièce de théâtre et confessions des plus littéraires, ce roman ne ressemble à aucun autre. " 

The New York Times

Traduit de l'anglais (Canada) par Stéphane Roques
Ils sont jeunes, artistes, et n'ont qu'un seul but : devenir célèbres sans se compromettre. Sheila, elle aussi, voudrait être quelqu'un. Mais son cœur est en miettes et sa pièce de théâtre n'avance pas. Quand elle rencontre Margaux, peintre à l'esprit libre, et Israël, amant provocateur, Sheila décide de s'immiscer dans leur vie et de s'en inspirer. Pour savoir qui elle est vraiment.
L'histoire se passe à Toronto, New York, Miami et Paris. Sheila s'y expose sans fard. Sa quête de l'amour, de la beauté et de l'amitié n'est autre que le " roman de la vie " d'une génération qui court après ses rêves. C'est aussi une comédie percutante où rien ni personne n'est épargné, une foire aux vanités de notre époque.
" Entre journal intime, pièce de théâtre et confessions des plus littéraires, ce roman ne ressemble à aucun autre. " 
The New York Times

Sheila va avoir trente ans. Son mariage s'écroule. Sa pièce de théâtre n'avance pas. Elle a l'impression de n'être qu'une pâle reproduction, une anonyme parmi la foule. Pour se sentir exister, pour devenir quelqu'un, elle s'inspire de ceux qu'elle aime, les enregistre, s'immisce dans leur vie, parfois même un peu trop... Il y a Israël, son amant provocateur qui prend plaisir à la mettre à l'épreuve, et puis Margaux, peintre à l'esprit libre avec qui elle noue une amitié intense. Tous ces jeunes gens ont des idées bien arrêtées sur la vie, le sexe, l'art, et tous courent éperdument après leurs rêves.
Sheila s'expose sans fard dans ce récit intime. Ponctué d'emails ou de scènes de théâtre, libéré des carcans d'une narration classique, Comment être quelqu'un nous plonge dans le cheminement intérieur, émouvant et drôle, d'une jeune femme d'aujourd'hui.

Ne cherchez pas le nom de George Ticknor (1791-1871) dans votre dictionnaire. Cet Américain érudit n'est guère connu que pour le livre qu'il a consacré sur le tard à son meilleur ami, William H. Prescott. Ne cherchez pas non plus celui de W. H. Prescott, puisqu'il loge à la fois dans le livre de Ticknor, que vous ne lirez jamais... et dans celui que vous avez entre les mains et que vous allez dévorer, promis. Boston, 1850. Ticknor, invité à une soirée offerte par son vieil ami Precott, se demande que faire. Il flâne indécis par les rues, remuant des idées amères. Il n'a plus de goût à rien. S'il en croit le piètre succès qu'il rencontre auprès de ses contemporains, que  ne renonce-t-il à écrire ? Pourtant, s'il a toujours mis, comme Prescott, les livres au centre de sa vie, à la différence de l'historien de la Conquête espagnole partout admiré, il est condamné à demeurer un simple plumitif. Et puis Prescott est riche. Et puis Prescott est marié à Claire, qui n'a jamais laissé Ticknor indifférent. Et puis... Allons, chassons ces vilaines pensées, indignes d'une si belle amitié. Car Ticknor admire Prescott d'un cœur sincère. Et l'envie, si elle trouble son âme, n'égare pas son jugement, qu'on se le dise ! Le destin, farceur comme toujours, va prendre notre bonhomme au mot. L'ami Prescott meurt, est enterré avec pompe, et Ticknor va se découvrir sur le tard un vrai talent d'écrivain... en devenant son biographe. Qui d'entre nous n'a pas, un jour, comme l'infortuné Ticknor, le sentiment de s'être trompé de vie ? Point de vue de la critique anglo-saxonne : " Un roman qui ne ressemble à rien de ce qu'on a pu lire par ici. " National Post.

Ticknor - Occasion

Ne cherchez pas le nom de George Ticknor (1791-1871) dans votre dictionnaire. Cet Américain érudit n'est guère connu que pour le livre qu'il a consacré sur le tard à l'un de ses amis :
The Life of William Hickling Prescott (Philadelphie, 1863). Ne cherchez pas ce Prescott non plus, puisqu'il loge à la fois dans le livre de Ticknor, que vous ne lirez jamais... et dans celui que vous avez entre les mains et que vous allez dévorer tout à l'heure en quelques bouchées - les papilles comblées, veut-on croire...
Boston, 1850, donc. Ticknor est invité à une soirée offerte par son vieil ami Prescott, et se demande s'il doit ou non y aller. Il flâne indécis par les rues, remuant des pensées ronchonnes. Il n'a plus de goût à rien, peine à écrire quoi que ce soit, et le piètre succès qu'il rencontre auprès de ses contemporains lui laisse penser qu'il vaudrait mieux pour lui ne pas écrire du tout. Pourtant les livres ont toujours été au centre de sa vie. Gamin déjà il partageait avec Prescott un goût immodéré pour l'étude. Mais Prescott a su mettre son érudition au service d'une oeuvre - une oeuvre admirée de tous -, alors que lui n'est qu'un plumitif et ne sera jamais rien d'autre. Et puis Prescott est riche. Et puis Prescott est marié à Claire, qui n'a jamais laissé Ticknor indifférent. Et puis...
Allons, chassons ces vilaines pensées, indigne d'une si belle amitié. Car Ticknor admire Prescott d'un coeur sincère. Personne ne le connaît mieux que lui, ne l'apprécie mieux que lui... et l'envie, si elle trouble son âme, n'égare pas son jugement, qu'on se le dise !
Le destin, farceur comme toujours, va prendre notre bonhomme au mot. L'ami Prescott meurt, est enterré avec pompe, et le pauvre Ticknor va se découvrir sur le tard un vrai talent d'écrivain - en rédigeant la vie de son ami...
Qui d'entre nous n'a pas eu un jour, comme l'infortuné Ticknor, le sentiment de s'être trompé de vie ?

Ticknor

Les fables du milieu

Tout le monde est son propre genre de poète - vous ne pouvez pas le manquer lorsque leurs paroles sont écrites.

La chose qui m'inquiète, c'est que se passe-t-il lorsque votre talent s'enfuit? Parce que vous voyez cela avec des écrivains parfois: ils commencent à écrire ces horribles livres. Et il y a quelque chose d'horrible à ce sujet.

Je pense que beaucoup de gens essaient de se modifier et je pense que c'est une grosse erreur, car la personne interviewée répond à une personne, et si vous ne savez pas qui est cette personne, vous ne savez pas vraiment ce qui se passe avec la personne interviewée.

Il est si difficile de vivre que l'on a besoin d'un soutien autour de la vie. Nous ne pouvons pas vivre sans un soutien surnaturel.

Le principal problème que j'ai toujours eu avec les médias de mode est que les femmes sont encouragées à copier d'autres femmes.

Ce n'est que dans nos échecs que nous sommes absolument seuls. Ce n'est que dans la poursuite de l'échec que une personne peut vraiment être gratuite. Les perdants peuvent être l'avant-garde de l'ère moderne.

Raffi Cavoukian est né au Caire en 1948 et a déménagé avec ses parents arméniens à Toronto à l'âge de 10 ans.

Je pense qu'une partie de la raison pour laquelle j'aime tellement la collaboration est parce que c'est quelque chose d'inattendu qui arrive, et vous devez vous étirer pour l'absorber.

Je voulais parler à beaucoup de femmes de leurs expériences sur le chemin de la maternité - ou sur le chemin de ne pas être mère.

Raffi est sans doute le chanteur pour enfants le plus célèbre du monde.

Je suis heureux d'avoir écrit "Comment une personne devrait être?" Et je n'aurais pas écrit ce livre précis si nous venions de faire la pièce. Une grande partie du livre concerne l'anxiété de l'échec - l'échec de la pièce et l'échec du divorce et l'échec de ne pas se sentir comme une bonne personne.

Ensuite, s'il a mal avec moi, laissez-le jeter mon cul. Cela me donnera juste plus de temps pour être un génie.

Lorsque je modifie, j'essaie de faire ressortir une structure dramatique. Je pense qu'il s'agit du théâtre d'une manière ou d'une autre; C'est un peu de jeu.

Raffi n'a pas de grandes théories sur les raisons pour lesquelles sa musique a connu un tel succès, mais il attribue à un groupe appelé The Babysitters comme inspiration précoce.

C'est juste un autre homme qui veut m'apprendre quelque chose.

Aucun enfant, par sa propre volonté, ne peut retirer une mère de sa souffrance, et en tant qu'adulte, j'ai été très occupé.

Pour moi, un mémoire est censé être compris comme une représentation de votre vie, alors qu'un roman est consciemment symbolique.

Beaucoup de traits de mes personnages sont des exagérations de choses que je vois en moi-même. Mais dans «comment une personne devrait être? Je n'essayais pas d'écrire sur moi-même une combinaison de moi-même et de ces femmes que je voyais dans notre culture.

Je ne pense pas que la «maternité» soit une carte pour les femmes. Je ne dirais jamais que c'est un modèle pour chaque femme en réponse à sa biologie.

J'ai toujours eu des amis individuels, mais je n'ai pas trouvé les gens que je voulais apprendre en tant qu'adulte jusqu'à mes middenties.

Pour moi, je me sens plus naturel d'écriture ou de romans que des pièces d'écriture. Je me sens plus comme moi, comme si je pouvais m'exprimer mieux, et comme si j'avais une plus grande clarté sur ce que je veux faire.

Je crois qu'il y a un idéal platonique pour chaque livre écrit, comme la version parfaite du livre quelque part dans l'éther, et mon travail est de trouver ce que ce livre est à travers mon montage.

Je vois des amis à moi qui ont des enfants et continuent de faire leur art. C'est profondément impressionnant. Je ne peux même pas faire un retour Amazon dans la journée. Il est assis sur mon bureau depuis deux semaines.

Vous n'allez pas aux lecteurs ou aux médiums du tarot quand tout se passe bien. C'est toujours des preuves de rock-fond.

L'écriture de fiction est un bon moyen d'habiter d'autres esprits, sinon d'autres vies.

Écrire des jeux, je me suis toujours senti un peu comme je devine - moins sûr de ce qui est bon et de ce qui n'est pas bon. Je pense que c'est parce que ce n'est pas une œuvre d'art complète.

Il y a quelque chose dans les choix de vie d'une femme qui invite les commentaires, qu'il soit invité ou non.

Je passe la plupart de mon temps dans ma tête. Vous pouvez toujours y élaborer des solutions et des satisfactions. Peut-être que vous ne pouvez pas réellement les réaliser, mais il y a généralement un agréable oreiller de temps entre imaginer que vous pouvez et réaliser que vous ne pouvez pas.

Je ne sais pas quelle est cette ligne entre la fiction et la non-fiction que les autres ont dans leur esprit, mais pour moi, quand j'écris, c'est comme quelle que soit la prochaine phrase, c'est la prochaine phrase. Ce n'est pas cette division artificielle.

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